Discuter:Mémoire (psychologie)

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Je ne comprends pas (lorsqu il est fait référence à la courbe de l'oublie) l'utilisation des termes asymptote et décroissance exponentielle. Lors d'une décroissance exponentielle (comme par exemple pour la loi de décroissance radioactive), on perd au cours du temps une quantité non constante de matière en volume mais un pourcentage constant de matière au cours du temps.


Désolé. Mais tout ce dossier n'est que foutaises. Episodique...procédurale...et pourquoi pas primesautière tant qu'on y est. Croyez-vous qu'il soit possible de subdiviser la mémoire en catégories ? Non seulement la mémoire est un effet intégré et fonctionne d'un seul tenant mais elle est également indissociable de l'ensemble de la fonction mentale qui elle, est strictement émotionnelle et rien d'autre. Quoi que puisse nous suggérer l'imagerie médicale assistée. Partant de ce principe du tout émotionnel, l'ensemble de la fonction mentale s'explique de la même façon pour la mémoire, la rationnalité, la conscience, l'intuition, le jugement, la volition, le comportement et tous les effets psychiques. Il faut concevoir le psychisme comme une seule fonction intégrée, et non pas comme un moteur fait de pièces détachées. Ensuite, les définitions couleront de source, s'enchaîneront les unes par les autres. N'oubliez jamais qu'un psychisme n'est pas un ordinateur, un ordinateur ne pense pas parce qu'il n'éprouve pas d'émotions. Et même en l'asservissant à des neurones, il ne pensera jamais tant qu'il n'aura pas un corps organique. Le cerveau est probablement l'objet le plus complexe de l'univers, la pensée est le fruit de millions d'interactions psycho-somatiques par seconde, mais on peut la comprendre à condition de la considérer comme une fonction exclusivement émotionnelle. On peut même expliquer la bosse des maths par l'émotionnel. Alors tout le charabia rhétorique sur la mémoire est à mettre au panier. Robocop.