Discussion Utilisateur:Kimdime69/Essai

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INTRO ET TABLEAU FAIT

Sommaire

[modifier] Étymologie

FAIT

[modifier] Histoire

FAIT

[modifier] Géographie

FAIT

[modifier] Subdivisions

FAIT

[modifier] Politique

[modifier] Politique intérieure

[modifier] Politique extérieure

Après son indépendance en 1968, Nauru a rejoint tout d'abord le Commonwealth en tant que membre spécial puis est devenu membre à part entière en 2000.[1] Nauru a été admis au sein de la banque asiatique de développement en 1991 et au sein de l'ONU en 1999. C'est un membre du Forum des îles du Pacifique et de la Communauté du Pacifique Sud. Le programme américain Atmospheric Radiation Measurement dispose d'un système de surveillance climatique sue l'île.

Nauru et l'Australie sont très proches sur le plan de la diplomatie et ont conclu des accords informels de défense Nauru and Australia have close diplomatic ties. In addition to informal defence arrangements, the September 2005 Memorandum of Understanding between the two countries provides Nauru with financial aid and technical assistance, including a Secretary of Finance to prepare Nauru's budget, and advisers on health and education. This aid is in return for Nauru's housing of asylum seekers while their applications for entry into Australia are processed.[2] Nauru uses the Australian dollar as its official currency.

Nauru has used its position as a member of the UN to gain financial support from both Taiwan and the People's Republic of China by changing its position on the political status of Taiwan. During 2002, Nauru signed an agreement to establish diplomatic relations with the People's Republic of China on 21 July 2002. This move followed China's promise to provide more than US$60 million in aid. In response, Taiwan severed diplomatic relations with Nauru two days later. Nauru later re-established links with Taiwan on 14 May 2005,[3] and diplomatic ties with China were officially severed on May 31 2005; however, the PRC continues to maintain a diplomatic presence in the island nation.

[modifier] Économie

Icône de détail Article détaillé : Économie de Nauru.
Limestone pinnacles remain after phosphate mining.
Limestone pinnacles remain after phosphate mining.
A ship being loaded with phosphate in Nauru.
A ship being loaded with phosphate in Nauru.

L'économie de Nauru est basée presqu'exclusivement sur la mono-industrie déclinante du phosphate; il y a peu d'autres ressources et la plupart des produits de consomation doivent être importés.[4]. L'activité minière est poursuie par la Nauru Phosphate Corporation (NPC) à une échelle bien moindre que par le passé. Le gouvernement place un poucentage des taxes qu'elle perçoit de la NPC dans le Nauru Phosphate Royalties Trust. Ce fond fait des placements censés constituer une ressource pour les habitants après que les réserves aient été épuisées. Cependant une mauvaise gestion, de mauvais investissements et la corruption ont fortement réduit les ressources du fond de placement. Par exemple la Nauru House, un gratte ciel de 190m de haut construit par le fond d'investissement a été vendu en 2004 pour rembourser les dettes de Nauru For et le dernier Boeing 737 d'Air Nauru a été saisi en décembre 2005 .[5][6]. On estime que les finances du fond ont plongé de 1,3 milliards de dollars en 1991 à 138 en 2002.[7] Naru manque en 2007 d'argent pour financer les fonctions basiques du gouvernement, la banque nationale de Nauru est insolvable et le PIB par habitant a chuté à 5 000 dollars par an.

Il n'y a pas d'impots directs sur Nauru et le gouvernement emploie 95% des Nauruans qui travaillent. On estime que le chômage touche 90% des habitants.[8][9]. La banque asiatique de développement note que bien que des réformes économiques conduisant à une diversification de l'activité économique ait été demandée par la population les pouvoirs publics n'ont mené aucune politique en ce sens en raison de l'absence d'autres ressources, le futur économique repose donc à moyen terme sur une dépendance de l'aide exterieure.[7] La vente des droits de pêche dans les eaux territoriales nauruanes génère cependant quelques revenus. Le tourisme est peu développé en raison de l'absence d'infrastructures adéquates, l'hotel Menen et l'hotel OD-N-Aiwo sont les deux seuls de l'île.

Dans les années 1990, Nauru est devenu un paradis fiscal et et l'on pouvait obtenir un passeport nauruan en échange d'une taxe. L'île est alors devenu le receptacle de l'argent sale de la maffia russe In the 1990s, Nauru became a tax haven and offered passports to foreign nationals for a fee. It became a favourite spot for the dirty money of the Russian mafia. A no-questions-asked policy enabled an estimated US$70bn dollars of assets belonging to Russian gangsters to be funnelled to Nauru.[8] The inter-governmental Financial Action Task Force on Money Laundering (FATF) then identified Nauru as one of 15 "non-cooperative" countries in its fight against money laundering. Under pressure from FATF, Nauru introduced anti-avoidance legislation in 2003, following which foreign hot money flowed out of the country. In October 2005, this legislation—and its effective enforcement—led the FATF to lift the non-cooperative designation.[10]

[modifier] Démographie

Icône de détail Article détaillé : Démographie de Nauru.
Nauruan districts of Denigomodu and Nibok.
Nauruan districts of Denigomodu and Nibok.

Parmi les 13 048 residents de l'île 58% sont d'origine nauruane, 26% viennent d'autres îles du Pacifique, 8% sont d'origine chinoise et 8% Européene.[9] La langue officielle est le Nauruan. l'Anglais est très répendu en tant que langue de travail du gouvernement et dans le commerce.

Les habitants sont majoritairement chrétiens (deux tiers sont protestants, un tiers catholiques). La constitution octroit la liberté de culte; cependant le gouvernement a restraint ce droit pour deux religions, le mormonisme et l'Église des Témoins de Jéhovah dont les fidèles sont le plus souvent des travailleurs étrangers travaillant pour la Nauru Phosphate Corporation.[11]

L'acroissement du niveau de vie au fil du XXème siècle a eu des effets néfastes sur la santé publique. Les Nauruans sont l'une des populations où le taux d'obésité est le plus élevé au monde, Parmi les adultes, 90% ont un surpoid [12] Nauru possède le plus fort taux mondial de diabète de type 2, 40% de la population étan affectée par cette maladie.[13] On constate aussi un taux alarmant de problèmes rénaux et d'insufisance cardiaque, l'espérance de vie a chuté à 58 ans pour les hommes et 65 pour les femmes.[14]

Le taux d'alphabétisation est de 97%, l'éducationl'éducation est obligatoire pour les enfants de 6 à 15 ans ).[15] Il existe un campus de l'Université du Pacifique Sud sur l'île, avant que ce dernier soit construit les étudiants devaient se rendre en Australie pour faire des études universitaires.

[modifier] Culture

Icône de détail Article détaillé : Culture nauruane.
La finale de football australien jouée dans le stade Linkbelt Oval
La finale de football australien jouée dans le stade Linkbelt Oval

Les Nauruans sont issus du métissage de Polynésiens et de Micronésiens, peuples de la mer qui croyaient en une déesse, Eijebong et en un esprit de la terre, une île appelée Buitani. Deux des 12 tribus originelles de nauru se sont éteintes au cours du XXème siècle. Le jour d'Angam célébré le 26 Octobre fête le renouveau de la population nauruane suite aux deux guerres mondiales qui toutes les deux réduisirent le nombre d'habitants à moins de 1500. L'acculturation des nauruans est palpable, en raison de l'influence de la culture occidentale importée par les colonisateurs puis adoptée par les îliens par la suite. Très peu des ancienne coutumes ont été préservées, on note cependant encore leur influence dans la qusique, l'artisanat, l'art et les techniques de pêche.

Il n'existe pas de presse quotidienne, publiée sur l'île, cependant on trouve des hebdomadaires et des bimensuels le Bulletin, le Central Star News et le The Nauru Chronicle. Il existe une station de télévision, Nauru Television (NTV) qui diffuse des programmes de Nouvelle Zélande et une radio, Radio Nauru qui reprend les programmes de la BBC et de Radio Australia. Toutes deux appartiennent à l'État.[16]

Le football australien est le sport le plus populaire sur nauru il existe un championnat local de première division composé de sept équipes. Toutes les parties sont jouées dans l'unique stade de l'île, le Linkbelt Oval. Parmi les autres sports populaires ont compte le softball, le cricket, le golf, la navigation, le tennis, et le football. Nauru participe aux Jeux du Commonwealth et aux jeux olympiques d'été, où Nauru a plusieurs fois été qualifié en haltérophilie; Marcus Stephen qui a gagné plusieurs titres dans cette discipline a été élu au parlement nauruan en 2003. Les deux meilleurs joueurs nauruans de tennis, David Detudamo et sa soeur Angelita Detudamo, poursuivent actuellement une formation sport-études aux USA.


Une chasse à l'oiseau traditionelle est pratiquée, à l'aube les hommes se réunissent sur les plages munis d'un lasso nauruan composé d'une corde souple avec un poid attaché au bout, il s'agit alors d'attrapper les anous qui viennent de la mer pour se nourrir à l'aide de cet instrument qui frappe et s'enroule autour des oiseaux qui tombent alors à terre.[17]

[modifier] Notes et références

  • (de) Cet article est partiellement ou en totalité issu d’une traduction de l’article de Wikipédia en allemand intitulé « Nauru ».
  1. Republic of Nauru Permanent Mission to the United Nations URL Accessed 2006-05-10
  2. Australian Department of Foreign Affairs and Trade. Republic of Nauru Country Brief - November 2005 URL accessed on 2006-05-02.
  3. AAP. May 14 2005. Taiwan Re-establishes Diplomatic Ties with Nauru URL Accessed 2006-05-05
  4. Big tasks for a small island URL Accessed 2006-05-10
  5. McAloon. C. April 18, 2004. Receivers take over Nauru House. The Age URL Accessed 2006-05-09
  6. Air Naru flight Schedule URL Accessed 2006-05-02.
  7. ab Asian Development Bank. 2005. Asian Development Outlook 2005 - Nauru URL Accessed 2006-05-02
  8. ab "Paradise well and truly lost", The Economist, 20 December 2001 URL Accessed 2006-05-02.
  9. ab CIA World Fact Book URL Accessed 2006-05-02
  10. FATF. October 13, 2005. Nauru de-listed URL Accessed 2006-05-11
  11. US Department of State. 2003. International Religious Freedom Report 2003 - Nauru URL accessed 2005-05-02.
  12. Obesity in the Pacific: too big to ignore. . 2002. Secretariat of the Pacific Community ISBN 982-203-925-5
  13. King, H. and Rewers M. 1993. Diabetes in adults is now a Third World problem. World Health Organization Ad Hoc Diabetes Reporting Group. Ethnicity & Disease 3:S67-74.
  14. WHO The world health report 2005. Nauru URL Accessed 2006-05-02
  15. Waqa, B. 1999. UNESCO Education for all Assessment Country report 1999 Country: Nauru URL Accessed 2006-05-02.
  16. BBC News. Country Profile: Nauru. URL Accessed 2006-05-02.
  17. Banaba/Ocean Island News. URL Accessed 2006-05-11.

[modifier] Voir aussi

FAIT (liens internes et externes, biblio, sources, palettes de navigation) en:Nauru