Discuter:Islamisme

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Sommaire

[modifier] Histoire de l’islamisme

J'ajoute ces titres car je pense qu'ils sont nécessaires à la compréhension de ce terme. Améliorons ensemble la définition de ce mot pour rendre cet article moins malhonnête qu'il ne l'est actuellement.

début de mon ajout

[modifier] « islamisme », et « usage rationnel de ce mot »

Depuis l’établissement de l’islamisme, les historiens les plus distingués ont embrassé dans leurs recherches tous les événements des siècles passés, afin de pouvoir les inscrire dans des volumes et les enregistrer ; mais les charlatans (de la littérature) y ont introduit des indications fausses, tirées de leur propre imagination, et des embellissements fabriqués à l’aide de traditions de faible autorité. La plupart de leurs successeurs se sont bornés à marcher sur leurs traces et à suivre leur exemple. Ils nous ont transmis ces récits tels qu’ils les avaient entendus, et sans se mettre en peine de rechercher les causes des événements ni de prendre en considération les circonstances qui s’y rattachaient. Jamais ils n’ont improuvé ni rejeté une narration fabuleuse, car le talent de vérifier est bien rare ; la vue de la critique est en général très bornée ; l’erreur et la méprise accompagnent l’investigation des faits et s’y tiennent par une liaison et une affinité étroites ; l’esprit de l’imitation est inné chez les hommes et reste attaché à leur nature ; aussi les diverses branches des connaissances fournissent une ample carrière au charlatanisme ; le champ de l’ignorance offre toujours son pâturage insalubre ; mais la vérité est une puissance à laquelle rien ne résiste, et le mensonge est un démon qui recule foudroyé par l’éclat de la raison. Au simple narrateur appartient de rapporter et de dicter les faits ; mais c’est à la critique d’y fixer ses regards et de reconnaître ce qu’il peut y avoir d’authentique ; c’est au savoir de nettoyer et de polir pour la critique les tablettes de la vérité. IBN KHALDOUN selon la traduction de W. MAC GUCKIN DE SLANE (1801-1878)

[modifier] « islamisme », et « dérive de l'usage de ce mot »

A REMPLIR

[modifier] « islamisme », et « islamophobie »

A REMPLIR

[modifier] « islamisme », et « statistiques au sein de la population musulmane »

A REMPLIR

fin de mon ajout

[modifier] Les Tanzimat et la Nahda

Tandis que les ulémas contrôlaient le culte, l'enseignement et la jurisprudence, le XIXe siècle est le siècle de triomphe de la colonisation et de l'impérialisme européen. C'est aussi le siècle du déclin politique de l'Islam, avec un nombre de plus en plus grand de territoires musulmans qui sont soit conquis (en Afrique), soit dominés (Indonésie, Afghanistan, golfe Persique) par les Européens. Si l'empire ottoman reste indépendant, il est très affaibli. Les Européens ont des vues sur «l'homme malade de l'Europe», pour reprendre la formule du prince Alexandre Gorchakov à la signature du traité qui clôt la guerre russo-turque, le 3 mars 1878. Des rébellions et des sécessions sont appuyées par les grandes puissances, à l'intérieur même de l'empire. Celui-ci veut réagir par des réformes mises en œuvre pour le rénover et le moderniser selon le modèle européen : il faut récupérer les moyens de la puissance. Commence alors une lutte contre les résistances conservatrices des milieux religieux et militaires, comme celle du corps des janissaires, détruit en 1826. Elle sera suivie à partir de 1839 par le Tanzimat (réorganisation en turc), une période de véritables réformes avec la modernisation de l'enseignement, de l'armée, de l'administration, de la justice et des impôts. A la même époque, la Nahda est une véritable renaissance arabe, et pas uniquement islamique, à la fois politique, culturelle et religieuse. Les intellectuels s'ouvrent sur les doctrines occidentales, en partant faire leurs études à l'étranger par exemple. Ils entament une réflexion historico-sociologique pour faire le point sur la situation sociale et culturelle de leur société, déterminer les causes de leur retard par rapport à l'Occident et en trouver la solution. La Nahda a été initiée notamment par les familles maronites Al Boustani (surtout par Boutros Al Boustani, fondateur de la Al Medrassa al watania, l'Ecole nationale, en 1863) et Al Yaziji, importatrices du modèle européen de scolarisation.

[modifier] Le réformisme religieux

L'objectif de l'Islah (le réformisme islamique) est de penser l'Islam en termes modernes pour l'adapter à un empire qu'il faut rendre plus conforme aux nécessités de son temps. Le réformisme religieux est favorisé par la modernisation politique et par la poussée du wahhabisme, une doctrine intransigeante, mais visant à une refondation de la religion. Ce réformisme est marqué par le rationalisme du XIXe siècle, avec l'idée de prouver que l'Islam n'est pas contraire au progrès scientifique et qu'il n'est donc pas la cause de la régression des peuples musulmans. Ce retard est alors imputé à une sclérose de l'Islam, qui serait devenu au fil du temps une idéologie au service de la classe dominante. L'idée consiste à puiser dans la mémoire religieuse et d'y intégrer des valeurs de la modernité puisque l'Islam est compatible avec elle. S'opposant aux conservateurs qui rejettent toute idée d'interprétation et de modernisation, les réformateurs plaident pour une rénovation de la religion qui aurait été dénaturée par des siècles de méconnaissance et qui serait en dégénérescence. Leur objectif est de lutter contre les ulémas, c’est-à-dire le pouvoir clérical qui s'est mis en place contrairement aux fondements de la religion. Il s'agit donc d'une contestation de la pratique de l'islam telle qu'elle est vécue à ce moment-là et d'une volonté de retour aux sources d'un islam pur. L'objectif est de faire table rase de quatorze siècles pour renouer avec les textes fondamentaux, régénérer l'islam et la société. Ils prônent aussi l'émancipation : on peut travailler l'islam à partir de la rationalité, ce qui rouvre les portes de l'interprétation. Confronté aux influences contradictoires du patrimoine religieux et du rationalisme moderne, le réformisme se divise en deux branches. La première est le courant libéral qui rencontre la faveur des intellectuels arabes et musulmans parce qu'elle peut constituer un instrument permettant d'établir un contact avec l'ensemble de la population musulmane. C'est une ressource pour faire le lien entre le religieux et la modernité sociale et politique. C'est le courant constitutionnaliste musulman le plus ouvert sur la culture occidentale : il considère qu'il faut aller au-delà du religieux et s'inscrire dans une action politique. La modernisation va exiger de séparer l'Etat et l'action sociale. C'est donc une vision séculariste, voire laïque. Ali 'Abd Ar-Râziq, penseur de ce courant, écrit en 1925 sur l'islam et les fondements du pouvoir. Il cherche à démontrer que le califat n'a rien de religieux, que ce gouvernement n'a aucun fondement islamique. L'autre branche forme l'ancêtre du courant islamiste.

[modifier] Les premiers mouvements islamistes

Les Frères musulmans sont une confrérie politico-religieuse fondée en Egypte en 1929 par El Banna. Ils prônent une nécessaire rupture avec la société contemporaine. S'ils ne réfutent pas le progrès moderne scientifique et technique, les Frères musulmans luttent contre l'impérialisme occidental. Ils veulent construire un Etat éloigné du modèle communiste et du modèle capitaliste. L'accent est mis sur l'action sociale et politique, le respect de la loi islamique restant sur un second plan. Ils réclament une réorganisation totale de la société à partir d'un Etat vraiment islamique et refusent le strict respect de la charia tant que cet Etat islamique n'aura pas été mis en place. L'objectif final est la justice sociale, atteinte par une prise en charge par l'Etat de la collecte de l'impôt islamique et sa redistribution. Initialement, la confrérie est bâtie sur le modèle d'une confrérie religieuse avec un guide et un devoir d'obéissance à ce guide. Dans un deuxième temps, elle se transforme en mouvement politique, qui crée certaines organisations syndicales, de femmes, d'étudiants contrôlés par ce mouvement. L'occident est à la fois le modèle et l'ennemi. Le mouvement est doublé d'une organisation secrète de sabotage, de terrorisme, dans un contexte d'occupation. L'organisation secrète assassine en 1947 et 1948 les Premiers ministres égyptiens, en représailles El Banna est exécuté par la police secrète en 1949. Ils y avait des liens ambigus entre Nasser et la confrérie : liens étroits au début, puis opposition idéologique entre le nationalisme arabe et la communauté arabe. La confrérie a été dissolue après l'attentat manqué contre Nasser. Le mouvement d'Abdul Ala Mawdudi définit lui aussi l'islam comme une troisième voie entre le capitalisme et le socialisme. Il estime également l'opposition nécessaire entre l'islam et le monde occidental. Il réfléchit sur une Constitution pour unifier l'ensemble de la communauté musulmane, tout en mettant l'accent sur l'importance du social et du politique. L'occident est l'ennemi, mais il récupère des idées occidentales comme l'Etat-nation adapté à l'ensemble de la communauté musulmane. En 1941 est fondée la Jamaat i islami qui se comporte comme un parti politique, se présente aux élections et s'oppose à la partition de l'Inde en 1947. Les confréries sont des contre-sociétés appliquant les principes de la future société islamique, mais intégrées à la vie sociopolitique de leur pays. Pour ces deux mouvements, aucun pouvoir de l'époque n'est vraiment islamique. En effet, l'application du droit islamique ne suffit pas, il faut établir un mode d'accès et d'exercice du pouvoir qui soit légitime vis-à-vis de l'islam. Il faut dépasser la dimension juridique pour fonder un projet social et politique. S'il faut prendre en considération la société moderne, il faut également rompre avec cette société qui s'est éloignée de la religion. Par une rupture individuelle et collective, par la reconquête de l'ensemble de la société, il faut opérer un retour aux sources pour retrouver les principes de vie. L'objectif est donc la lutte contre l'oppression, la prise de pouvoir et l'instauration d'un Etat islamique. Par opposition à la vision occidentale, la souveraineté doit venir de Dieu, pas du peuple. Mais cet Etat reste flou : la justice sociale régnera et le peuple connaître la souveraineté divine, sans besoin d'une structure institutionnelle politique. L'inspirateur de tous les mouvements extrémistes sunnites est Sayyid Qutb (1906 - 1966), un Egyptien qui fait parti des Frères musulmans. Il a eu un rôle important dans l'Egypte nassérienne. Suite à la répression qui empêche les Frères d'accéder au pouvoir, il promeut une radicalisation politique et idéologique et l'usage de la violence. Il insiste sur le fait que l'on peut déclarer infidèle un gouvernant, même s'il se déclare et se montre musulman : si ses actions ne sont pas entièrement islamiques, il est infidèle. Il appelle à une possible guerre civile et met la violence au cœur de son projet politique. Il insiste sur la notion de djihad, «l'effort sur le chemin de Dieu». Dans l'islam traditionnel, il est conçu comme une guerre en vue soit de la défense, soit de la propagation de l'islam. Ce n'est d'ailleurs pas forcément une lutte armée, ça peut être par persuasion. Le djihad est collectif et occasionnel, soumis à certaines conditions précises. Il ne peut être mis en œuvre contre un autre musulman, par exemple. Il existe également une acception plus personnelle : c'est un effort individuel et personnel pour aller dans le chemin de Dieu. Pour Sayyed, le djihad devient obligatoire et individuel, en tout temps et en tout lieu. Chacun doit dans sa vie sociale et collective, mener cette guerre. La rupture avec l'ordre existant par le biais du djihad est au cœur de son discours. Plus que la charia et le formalisme des prescriptions religieuses, ce qui importe c'est l'Etat islamique, l'ordre politique englobant. L'objectif est un projet global révolutionnaire en rapport avec ce qu'est véritablement l'islam. Il est donc nécessaire de disposer d'un pouvoir d'interprétation, c'est le guide qui doit définir le projet, tracer la voie que doivent suivre les fidèles. Ces prescriptions renforcent donc le rôle du guide religieux. L'ayatollah Khomeini exerce la même fonction dans le monde chiite. Il fonde une pensée : «Velayet e faqih», c'est «la souveraineté du docte» ou «la régence du docteur de la loi». Le guide est à la fois celui qui détient la primauté du savoir religieux, mais aussi le chef politique. Une vision homogène et simplifiée des mouvements islamistes dans le monde renvoie l'idée d'une organisation internationale. Cependant, si l'islamisme renvoie à un mouvement d'idées, et à une communauté de valeurs, il en existe de multiples formes dans le monde. Les tentatives d'implanter des sections nationales des Frères musulmans ont rapidement évolué en mouvements indépendants : Hamas en Palestine, Hassan Tourabi au Soudan par exemple. Au Maghreb, si le Front islamique du salut en Algérie exerce un rôle dans l'arabisation de l'enseignement, il s'est crée sans structuration des Frères musulmans en Algérie. De même si l'Iran a joué un rôle important dans le financement du Hezbollah au Liban, ce dernier est resté un mouvement inséré dans la logique nationale libanaise.

[modifier] L'échec de la modernisation

Les années 1950 et 1960 sont marquées par la lutte contre le colonialisme et pour l'émancipation nationale. Les mouvements indépendantistes, dont l'élite est partie étudier à l'étranger, utilisent les valeurs occidentales (liberté, république…). L'appartenance religieuse est utilisée par ces élites comme ciment de l'identité des colonisés. Une fois arrivées au pouvoir, ces élites changent d'attitude sur la question religieuse, pour contrôler les institutions et réprimer les mouvements islamistes. Une fois l'indépendance politique acquise, l'accent est mis sur les questions économiques : politiques de nationalisation des pétroles, gaz, moyens de production et des infrastructures (canal de Suez). L'idée de développement et de progrès est mise en avant. On retrouve dans les discours des élites une terminologie occidentale marquée par l'anti-impérialisme marxiste. Ils cherchent à affermir leur indépendance politique par l'indépendance économique et laissent de côté l'indépendance religieuse, ce qui entraîne un renouveau d'influence de la culture de l'ancien colonisateur. Par exemple, le Maghreb développe l'éducation et appelle des coopérants français en Algérie et au Maroc. La culture française y a plus d'influence que pendant toute la colonisation et, vingt ans après l'indépendance, il y avait dix fois plus de francophones dans les pays du Maghreb que pendant la domination française. Les institutions religieuses sont considérées comme des ennemis de la modernité est sont mises sous contrôle de l'appareil d'Etat.

[modifier] L'islamisation de la contestation

Dans les années 1970, l'échec des politiques développementistes mises en place par les gouvernements est patent. Ils n'y a pas de développement économique des sociétés, alors les gouvernants cherchent à rester en place par tous les moyens. Ils n'arrivent pas à ouvrir le jeu à d'autres acteurs. Dans les années 1980, la pression financière internationale devient de plus en plus forte avec l'augmentation de la dette. L'échec de l'opposition à Israël est le symbole de l'incapacité des gouvernants. Ces échecs politiques et économiques permettent aux islamistes de se positionner comme leaders de l'opposition au détriment des courants de gauche. B-INRS-/19-10-2005

[modifier] Signification du mot "islamisme"

Je sais pas qui a vu que l'islamisme et le socialisme c'était tout "un spectre d'idéal et d'action" mais il faudrait quand même remarquer que l'islamisme (si l'on veut dire les partisans de l'islam politique ultra consevateur voir violent) sont des integriste religieux qui pronent comme les intégristes religieux des autres religion quelle quelle soit des valeurs ultra conservatrices et d'extreme droite et non "un spectre d'idéal et d'action" on peu les rattacher plutôt au mouvement d'extreme droite de par le monde car ils ont a la fois un discours commun et un des interet convergent voir le dernier film de Michael Moore sur la question.

justement non, l'islamisme n'est "que" l'islam politique et cela n'implique pas forcément d'être "ultra consevateur voir violent", il y a d'autres mots pour les courants ultra-conservateurs et violents. L'islamisme n'est pas non plus l'intégrisme religieux. c'est difficile de situer l'islamisme sur un spectre gauche-droite notamment parce que les partis islamistes peuvent~, par exemple, tout à fait soutenir des théses économiquement socialistes comme libérales. Enfin, on peut tout à fait être islamiste modéré, tout comme il existe des démocrates chrétiens qui font référence à la culture religieuse sans pour autant être d'extrême droite. Un conseil, lis Burguat.
Avoir ta conception de l'islamisme ( qui est certe la conception des médias occidentaux) c'est avoir une conception biaisée qui ne permet pas de comprendre la vie politique dans les pays arabes ou les partis islamistes peuvent paraitre plus progressistes et plus démocratiques que les partis au pouvoir... Michmaa 1 jun 2004 à 18:49 (CEST)
justement si: l'islamisme est bien le courant "ultra consevateur voir violent" de l'islam, l'islamisme ne désigne pas l'islam politique et si il y a "d'autres mots pour les courants ultra-conservateurs et violents", et bien j'aimerai les connaitre. Et d'ailleurs, il suffit de prendre un "vrai" dictionaire de langue francaise pour en etre certain. (je dis "vrai", car wikipédia peut etre écrit par n'importe qui). Il est incencé de trouvé cette article ici alors que l'islmasisme est bien ce courant radicale dont parle celui qui a ecrit cette note. --ke20 22 février 2007 à 15:35 (CET)

[modifier] références ?????

S'il vous plait, puis je savoir d'ou vous viennent la définition de tout ces mots ??

C'est une définition "commune" ? car c'est un mot tres récemment inventé, je me demande meme s'il est reconnu par l'académie

[modifier] Fusion avec Islam

Voir page de discussion de islam. ξ Libre @ 5 janvier 2006 à 12:48 (CET)

[modifier] Lien externe mort

Bonjour,

Pendant plusieurs vérifications automatiques, un lien était indisponible. Merci de vérifier si il est bien indisponible et de le remplacer par une version archivée par Internet Archive si c'est le cas. Vous pouvez avoir plus d'informations sur la manière de faire ceci ici. Les erreurs rapportées sont :

Eskimbot 31 janvier 2006 à 05:14 (CET)

[modifier] Lien externe mort

Bonjour,

Pendant plusieurs vérifications automatiques, un lien était indisponible. Merci de vérifier si il est bien indisponible et de le remplacer par une version archivée par Internet Archive si c'est le cas. Vous pouvez avoir plus d'informations sur la manière de faire ceci ici. Les erreurs rapportées sont :

Eskimbot 31 janvier 2006 à 05:15 (CET)


[modifier] Source non citée

"mais aussi l'invasion démographique, comme en Europe qui, partie de quasiment rien, compte en 2006 environ 50.000.000 de musulmans." La personne ayant ecrite cette phrase ne fournit aucune source et le nombre de 50 millions me parait exagere pour ne pas dire faux. Partizan

Le chapitre Islamisme et impérialisme me parait être un Travail inédit qui ne s'appui sur aucune source, et qui est rempli d'approximation et de raccourci. Le chapitre devrait donc être supprimé. --Shaolin128 5 octobre 2006 à 02:37 (CEST)

Ce chiffre de 50 millions est definitivement faux, un rapport de l'UE ne parle que de 15 millions, voici le lien: http://fr.news.yahoo.com/18122006/290/les-musulmans-d-europe-feraient-face-a-une-forte-discrimination.html

[modifier] manque de sources

cet article manque totalement de sources , ce ne sont que opinions non attribuées "on dit", "pour certains" et du coup manque de pertinence : ne traite même aps le sujet, faute de définition du terme et de références voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:Citez_vos_sources ; j'ajoute pour cette raison les bandeaux correspondants (évidemment le modèle inaccessible pour un non informaticien professionnel ne sort pas correctement formaté) --La glaneuse 19 octobre 2006 à 13:15 (CEST) j'ai fini par trouver les bandeaux : manque de pertinence, car tout est confondu (islamisme, intégrisme, fondamentalisme, terrorisme) faute de définition, et par manque de sources : pas un de ces courants n'est nommé--La glaneuse 19 octobre 2006 à 13:28 (CEST)

[modifier] Islamisme en tant qu'idéologie

Il me semble que "islamisme" pourrait virer de la liste. Certes il est sur le modèle en anglais, mais sionisme aussi et ça a été viré (à raison). A ce compte-là faudrait mettre aussi intégrisme catholique, etc. --Horowitz 14 novembre 2006 à 00:05 (CET)

Quand tu m'aura trouvé un courant politique qui se revendique du catholicisme intégriste, on en reparlera. N'hésite pas à en faire part sur en: pixeltoo⇪員 14 novembre 2006 à 00:32 (CET)
Euh, c'est peu court comme réponse ! Si c'est toi qui a traduit ce modèle, pourquoi avoir conservé islamisme en supprimant sionisme ? A mon avis les 2 doivent virer de cette liste. --Horowitz 14 novembre 2006 à 15:21 (CET)
Je ne me souviens pas avoir supprimé sionisme. Il a du être ajouté par la suite. Je vais vérifié. De toute façon ça me semble une idéologie très localisée. Par contre ce n'est pas le cas de l'islam politique. pixeltoo⇪員 15 novembre 2006 à 00:16 (CET)

J'ai vérifié. La création du modèle sur fr: date du mois d'octobre alors que selon l'historique sur en: l'ajout du sionisme date (apparemment) seulement du 10 novembre. Je ne comprends toujours pas pourquoi tu veux virer l'islamisme. Il y a des partis islamistes au Maroc, en Algérie, ... et même en Turquie sous le label Islamistes modérés. pixeltoo⇪員 15 novembre 2006 à 00:30 (CET)

OK pour la chronologie, au temps pour moi.
Je ne me battrai pas là-dessus, mais de même il y a des partis trotskistes et trotskisme n'est pas dans la liste : tout simplement parce qu'il y a déjà communisme. L'islamisme est aussi appelé "fascisme vert"... et fascisme est déjà là. Bon, enfin, t'as peut-être raison. --Horowitz 15 novembre 2006 à 01:57 (CET)
Je ne suis pas d'accord pour réduire l'islam politique au fascisme. Bon je sait a quel point Guy Sorman peut être agaçant. Mais je ne saurais trop te conseiller la lecture de ce texte dont j'ai repris les différents points qui y sont évoqués et qui distinguent le fascisme de l'islamisme dans ce tableau:
fascisme islamisme
1 Le fascisme était une exaltation de la nation l’islamisme refuse l’enfermement des musulmans dans des frontières nationales, entend s’en débarrasser pour remplacer la nation par la communauté universelle des croyants.
2 Le fascisme était une organisation efficace, hiérarchique et technocratique de l’Etat l’islamisme est en principe égalitaire et ne se soucie ni d’efficacité, ni de progrès, ni d’Etat.
3 le fascisme (...) était anticlérical et exaltait la forme physique. L’islamisme est un mouvement de rédemption des âmes et ne s’inquiète pas des corps ;
4 le fascisme a séduit des Argentins et des Britanniques autant que des Italiens, des Chinois autant que des Français. l’islamisme ne vaut que pour les musulmans, il n’est pas universaliste ;

pixeltoo⇪員 15 novembre 2006 à 11:53 (CET)

Ce tableau est tout à fait inexact (le fascisme a donné l'autonomie d'un Etat au Vatican, par exemple), limite ridicule ("l’islamisme est en principe égalitaire"). Je trouve toujours que Islamisme ça n'a pas sa place sur ce modèle, mais bon je ne me battrai pas. Il me semble que ça résulte plus d'un phénomène de mode (en 56 y'aurait eu Poujadisme dans la liste ?) que de la rigueur encyclopédique. --Horowitz 16 novembre 2006 à 14:05 (CET)

  1. Je n'ai fait que retranscrire le texte. Ce tableau est juste un outil pour que tu puisses répondre point par point. Je t'invite à lire le texte qui est loin d'être inintéressant. Et je suis plutôt d'accord avec lui: c'est facile de dire fascisme=islamisme. Prouve-le. Le fascisme se fonde sur une Nation ce n'est pas le cas de l'islamisme.
  2. Le Vatican est un micro-état.
  3. L'islamisme est égalitaire, biensûr une égalité qui ne vaut qu'entre musulmans (et de sexe masculin).

pixeltoo⇪員 18 novembre 2006 à 18:28 (CET)

Je suis mort de rire. Mais oui c'est égalitaire,faut juste être musulman et être un homme. Bel exemple d'égalité...

"L'islamisme est égalitaire, biensûr une égalité qui ne vaut qu'entre musulmans (et de sexe masculin)." Alors là pixeltoo, je t'avoues que je suis impressionné de voir de tels propos sur wikipédia! Au moins on a la preuve que la connerie ne tue pas.. Je te conseillerais plutôt d'allais faire ta propagande islamiste radicale sur d'autres sites.

[modifier] 14 juin 2007

J'ai enlevé les parties chiantes, lourdes et dont on ne sait pas où elles veulent en venir. Le texte est vraiment rebutant : un bon coup de balai devrait redonner l'envie aux personnes intéressées d'y contribuer sans avoir à s'arracher les tifs en se demandant ce qu'a voulu dire l'auteur de certaines lignes. Cet article est une notion importante du monde actuel et il devrait être possible d'apporter les analyses de plusieurs auteurs tant la littérature est fournie. Moez m'écrire 14 juin 2007 à 08:44 (CEST)