Discuter:Instruction à la maison

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Sommaire

[modifier] Titre

Je ne suis pas très fier du titre de cet article... Ca me fait trop penser aux méthodes qui visent à reproduire pratiquement tous les aspects de l'école traditionnelle, mais à la maison. Je n'ai rien contre ça, c'est d'ailleurs un sujet qui sera certainement abordé dans l'article, mais je trouve que ça laisse trop à l'écart les autres philosophies qui sont plus centrées sur les capacités des enfants à s'auto-instruire avec une plus grande liberté.

Les anglophones disent "unschooling". Je prefere mais c'est un néologisme en anglais, ce qui ne convient pas vraiment à un article français.

[modifier] Titres alternatifs proposés

  • Instruction en famille
oui, c'est bien d'ailleurs le titre officiel, celui de la loi, c'est instruction dans la famille

[modifier] Autres propositions concernant le titre

  • Ligne "voir aussi" avec les titres alternatifs

[modifier] Proposition de renommage

D'accord avec ce qui est dit ci dessus; le titre est impropre puisque ce n'est justement pas une école. Je propose Instruction à la maison, qui me parait le plus clair. Instruction en famille peut aller aussi mais à une connatation plus restrictive je trouve (que ce soit un terme légal ne suffit pas, cela ne concerne que la France). Mica 24 septembre 2006 à 08:52 (CEST)

Sauf objection, je renomme dans quelques jours en Instruction à la maison Mica 29 septembre 2006 à 22:08 (CEST)

[modifier] Ce sujet devrait etre elabore le plus possible

1) je comprends et partage les doutes sur le titre. Mais c'est une "expression connue/souvent utilisé" qu'on devrait en tout cas trouver dans wikipedia. Je propos de creer l'article, de mettre quch comme (me manque le mot francais, je suis allemande): on cherche "école à la maison", la on trouve soit une courte description comme cursiv en bas ou "voir aussi ...." les titres homeschooling, unschooling, l'instruction parental, l'instruction en famille, non-scolarisation. Personellement je mettrai l'article principal sur "instruction en famille", parcequ'il s'appele comme ca dans la loi.

2) non d'accord avec "en dehors du contexte scolaire traditionelle", parceque l'instruction en famille et le contexte scolaire le plus traditionelle et plus vielle de tous. Soit remplace "traditionelle" par "habituelle", "visiter une ecole" ou autre, soit, mieux, 'mettre le texte de la loi et continuer comme "les familles qui choississent la possibilite d'instruire leurs enfants sont dits/disent souvent de "faire "l'ecole a la maison" Ce term et ambigue, parceque chaque famille choisit individuellement sa pedagogie, donc il existent beaucoup facons different de le faire. Il y a des familles qui appliquent ces mots parcequ'ils pratique une methode traditionelle scolaire avec leurs enfants, il y a d'autres qui n'utilise jamais des utiles "scolaires", ni des programmes, ni des horaires, ni des tests, parfois decrit comme "apprendre sans ecole". Dans une vaste sens, mais utilise aussi, "école à la maison" peut etre appliquer aussi pour des familles qui suivent les cours par correspondance, ce que sera regarde legalement comme "scolarisation".

3) Comme j'ai dit dans le titre, ce sujet devrait etre elabore. Par exemple "Aspects legaux" devrait citer la texte de la loi et les buts decrit dans le circulaire, puis des aspects qui se montre dans la pratique. Birgit

[modifier] sur le terme "traditionnel"

Il peut etre remplace par le mot "classique". JC - Je suis d'accord avec cette modification, laissons-là trainer encore un peu et si personne n'y voit d'inconvénients, on fait la modif -- DarioSpagnolo

[modifier] sur la notion d'obligation

Instruire les enfants, est-ce une obligation ou une responsabilite ? Entre ces deux notions, il y a celle de la "conscience" ... Or, on peut difficilement imposer une conscience ... Mon experience me montre qu'en placant son enfant dans une structure scolaire organisee, il y a, en meme temps, transfert d'une part de responsabilite parentale. Le probleme majeur, il me semble, est que cette responsabilite est, d'une part, abandonnee "morceau par morceau" par les parents, et, d'autre part, grignotee de plus en plus par l'institution sinon par les enseignantEs. (On retrouve les memes caracteristiques en ce qui concerne la naissance.) JC

Personnellement je parlerais plus de devoir que d'obligation ou de responsabilité. Devoir moral ou/et légal mais un devoir. Lilian 29 août 2005 à 23:39 (CEST)
Oui devoir, c'est très beau. Il y a eu, au fil du temps une perversion de la notion d'obligation. Au début, en 1882, c'était clairement une obligation de l'Etat et/ou des parents envers l'enfant. Actuellement on assiste à une nette soumission de l'enfant à cette obligation.
De plus, "Droits" de l'enfant obligent, ce n'est plus un don, c'est un dû. L'allongement de la période d'obligation d'instruction a eu beaucoup d'effet dans la dégradation de la situation.

[modifier] textes de loi

Il me semble que placer les textes de loi, ici, prendrait pas mal de place ... surtout si nous brossons sur plusieurs pays ... D'autant que certaines lois evoluent, changent, des arretes s'y ajoutent, etc ... Autant mettre des references vers des sites qui, eux, sont remis regulierement a jour. JC

Ce paragraphe est assez incorrect. Il faudrait le réécrire en étant précis, en évitant de dire "La doi dit" en citant la circulaire d'application par exemple. On ne peut pas non plus faire abstraction des conventions internationale (Le PI-2 de la CEDH par exemple) pour décrire la situation en France. L'association "Les enfants d'abord" publie un guide juridique très bien fait qui pourrait guider pour la rédaction de ce paragraphe. Luc

[modifier] liens vers d'autres pages

J'ai placé un lien dans la page concernant l'ecole (en France et en Belgique), mais en utilisant "instruction en famille". JC

[modifier] Critiques

Je n'ai pas vu de traces de la moindre critique de ce système. Je me suis permis d'en rajouter. Relisez-moi, étant instit il est bien évident que je risque d'être de parti pris, bien que je trouve le sujet très intéressant.

TP 21 mai 2005 à 16:01 (CEST)

[modifier] Section "Critiques"

Comme si il fallait "nécessairement" un paragraphe critique dans cet article, on devrait compter le nombre d'articles de wikipédia ou cette dialectique critique est également présente, on serait surpris cela doit représenter moins de 0,1% du total. Cela montre en tout cas que les professionnels comme TP, qui par ailleurs à l'air d'être un prof sympa, semblent craindre terriblement le phénomène, est-ce un effet du très fort corporatisme enseignant ?

Ce commentaire était à l'origine présent dans la page de l'article. Je l'ai donc remis à la bonne place. Son auteur légitime (JC ?) peut y rajouter sa signature tout en bas. DarioSpagnolo 1 jun 2005 à 23:48 (CEST)

Je ne sais pas tres bien, dans la redaction de telles pages, ce qu'il y a lieu de faire lorsqu'une personne ecrit un texte, exprimant sa pensee personnelle, pouvant contenir des erreurs ou des affirmations non fondees ou non demontrees ...

Instruire ses enfants a la maison et/ou en famille n'est pas necessairement une "forme d'education" ... ce serait plutot une "forme de vie en commun". Ainsi, l'instruction ne se fait pas necessairement dans l'idee d'une education ou de la transmission de connaissance. Les familles qui ont ete confrontees au systeme classique de l'enseignement trouveront toujours matiere a critiques negatives (Pas moins en tout cas que les enseignantEs eux-memes !) mais cela passe rapidement quand on en est sorti ...

La socialisation des enfants est un theme qui a deja fait couler enormement d'encre, et l'hemorragie n'est pas tarie ... La plus grande majorite des enfants qui ne frequentent pas l'ecole, ont d'autres activites durant lesquelles ils peuvent avoir des relations avec d'autres enfants, et qui plus est avec des enfants du meme age et d'autres ages que le leur. Ces activites (que l'on nomme d'ailleurs extra-scolaires ... ) ne sont pas necessairement soumises a des reglements limitant leur liberte et ne represente pas non plus necessairement un cadre rendu strict par son mode de fonctionnement.

Les avantages sont trop nombreux que pour etre cites.

En ce qui concerne les inconvenients, les trois points cites plus hauts font preuve d'une absence d'experience reelle d'instruction en famille. Il ne peut y avoir d' "absence de confrontation avec les idées des autres enfants" que si l'enfant n'en rencontre pas d'autres ... ce qui n'est jamais le cas (j'exclus les enfants incarceres) ; l' "homogénéité sociale" ne veut rien dire dans des pays dont les frontieres ne sont pas fermees ; plusieurs etudes realisees notamment en Angleterre et aux USA, montrent qu'en general les enfants instruits en famille n'ont pas de "difficultés d'adaptation au système scolaire dans les études supérieures" ... Par contre, on pourrait citer les difficultes que rencontrent les parents pour acceder a certaines informations, aux relations parfois tres tendues avec les autorites administratives mal ou non informees des lois et avec le systeme controleur - Les inspecteur/trices ne peuvent interagir avec les parents comme s'ils etaient des pedagogues diplomeEs soumis hierarchiquement ; ils ne peuvent evaluer les connaissances/competences des enfants que sous le filtre connu du systeme classique ou par le biais du canevas des theories psychologiques. Leur tache est extremement difficile sur le plan humain ... JC

  • Je ne suis peut-être pas le plus compétent pour critiquer ce système, cependant il me semblait que, pour un article encyclopédique, il n'était pas neutre (et il ne l'est toujours pas). "L'école à la maison" (si on doit l'appeler comme cela), je l'ai découverte en lisant l'expérience de gens qui sont partis faire le tour du monde en bateau avec leurs deux enfants. J'ai vu qu'un contributeur anonyme a atténué mes propos, et c'est bien comme cela. Cependant, on ne m'enlèvera pas de l'idée qu'enseigner est un métier. Maintenant, si tu juges que ma contribution est inutile, enlève-là. De toutes façons, elle sera limée peu à peu par les contributeurs qu'elle énerve, jusqu'à disparaître. J'aurais au moins le mérite d'avoir soulevé un point : cet article est définitivement non-neutre, il fait l'apologie de l'école à la maison. Amicalement, Thomas TP 2 jun 2005 à 06:59 (CEST)
JC : "Instruire ses enfants en famille" n'est pas un **systeme**, l'ecole est un systeme - complexe -. Ce n'est pas comparable.
Enseigner est effectivement un metier qui s'apprend. Je vais faire un parallele avec "mon" metier. Je suis sage-femme, et, grosso-modo, j'ai appris a aider les couple a enfanter et aux bebe a naitre ... Mon savoir me permet-il d'affirmer aux femmes comment accoucher ? Telle femme ne sait-elle pas mieux ce qui est preferable pour elle-meme. Mon role se limitant alors a lui donner qlq informations, a proposer des elements de reponse a ses questionnements ... Une chose est certaine, c'est qu'elle ne *se fait" pas "accoucher", elle accouche.
Bon parallèle. Que les femmes accouchent donc à la maison. Sauf quand ça se passe mal. Là, on a besoin de l'hôpital. TP 2 jun 2005 à 19:18 (CEST)
J'accompagne les familles dans leur projet de naissance a la maison depuis dix ans ; mes trois derniers enfants sont nes chez nous ... En effet, l'hopital est tres bien concu pour les accidentes, les malades et les situations de sante a hauts risques. Dans ton argumentaire, plus bas, tu parles d'une ecole pour enfants defavorises socialement issus de familles intellectuellement - et culturellement (francais) - pauvre. JC
Je faisais ce parallele (et restons a cette forme-la), pour dire que nous parlons de deux choses fort differentes, meme si en tres grande ligne nous avons les memes objectifs. JC
Il en est de meme pour l'instruction des enfants en famille versus leur enseignement par un tiers. Un parent n'enseigne pas a son enfant, il vit avec lui, et chemin faisant des elements d'apprentissage apparaissent ... D'une famille a l'autre, d'une personne a l'autre, les interactions seront plus ou moins structurees.
Imaginons un instituteur avec deux, trois, voire quatre enfants (au lieu de 20) ... combien de temps lui faudra-t-il pour revoir toute sa methodologie ? Imaginons qu'il les reveille le matin, les aide pour leur toilette, les repas, recoit leurs confidences le soir en assistant a leur endormissement ... Lui-meme, souvent, en tenue legere ... Combien de temps faudra-t-il a cet instituteur pour s'adapter ? Apres combien de temps, ses principes et theories pedagogiques vont-elles fondre comme neige au soleil ?
Notre travail ne consiste pas à laver et habiller les enfants. Il consiste à instruire, à enseigner, en utilisant les cynergies de la collectivité. Même si on sait le faire, j'ai fait des classes neiges et des colos. TP 2 jun 2005 à 19:18 (CEST)
Bien sur ! Toutes ces activites de la vie de tous les jours, entrainent un autre type de relation ... les elements d'instruction s'y entremelent ... Il peut etre plus amusant de parler du principe d'Archimede en prenant un bain a deux plutot qu'a 20 autour d'un aquarium ... JC
Toutefois, la vie au quotidien, ainsi, entraine necessairement une revision des principes d'autorite. D'une famille a l'autre, l'exercice de l'autorite varie enormement. JC
Je n'irai certainement pas enlever une contribution - et je suis desole d'ete intervenu directement sur la page, il aurait ete preferable que nous en discutions d'abord, ici. -. Cependant, ce qui me gene, c'est que tu t'exprimes avec details par rapport a ce que tu ne connais pas en pratique. Que tu aies un avis personnel sur le phenomene a partir d'une experience est une autre question.
Oui, c'est vrai. Mais es-tu sûre de bien connaître notre métier ? L'as-tu pratiqué ? TP 2 jun 2005 à 19:18 (CEST)
Non. C'est la raison pour laquelle je n'irais pas ecrire dans un chapitre le decrivant. Ou alors, j'ouvrirais un lieu de debat ayant peut-etre pour titre : "et si nous parlions du vecu des parents face a l'ecole classique". Ceci dit, je n'y participerais pas beaucoup, car je ne vois pas ou y serait mon interet. Peut-etre le jour ou un de mes enfants voudrait y aller ? Au fait, a part pour le principe de l'anti-neutralite, pour quelles raisons veux-tu absolument ajouter des bemols a ce texte ? Je ne comprends pas bien. JC
Je pourrais parler longuement de mon experience a l'ecole, en tant qu'etudiant, idem sur les fonctionnements de telle et telle ecole que j'ai frequentees et celle ou ont ete mes deux enfants aines qlq annees, idem sur le systeme general pour avoir lu les reglements et autres directives du systeme belge francophone, idem sur le vecu de qlq enseignantEs que je connais personnellement ... Mais je n'en ferais pas une generalite.
L'école que tu as vécue est bien loin de l'école moderne. Et les études supérieures n'ont rien à voir avec l"élémentaire. TP 2 jun 2005 à 19:18 (CEST)
Oui. C'est aussi pour une raison pour laquelle je me tais a ce sujet. JC
J'aime bien l'idee du debat contradictoire. Je propose donc que nous discutions, ici, touTEs ensemble, des points qui pourraient etre alligner sur les avantages et inconvenients de l'instruction des enfants en famille ... Pas necessairement en comparaison avec un autre systeme de fonctionnement, ou alors en circonscrivant bien les sujets comparables. Enfin, l'unE ou l'autre pourra amener les references d'etudes scientifiques realisees et de temoignages pour enrichir les arguments. JC (comment ajoute-t-on une signature plus complete ?)
En ce qui concerne le débat, je suis d'accord, tant qu'il reste dans le respect des personnes, ce qui semble être le cas (j'ai lu des insultes dans les pages de discussion et ça me choque). J'espère faire preuve de respect également, sinon n'hésite pas à me remettre à ma place. En ce qui concerne ma contribution, je prépare un argumentaire complet, afin que le dialogue soit plus riche. Amicalement, Thomas TP 2 jun 2005 à 19:18 (CEST)

[modifier] Argumentaire

Tiens, ce que je dis semble repris par un adepte de ce système. Je n'étais donc pas vraiment à côté de la plaque : [1]

JC : Texte tres pauvre ...

Une méfiance par rapport au système institutionnel : Clairement oui. Il suffit de lire les sites consacrés à ce sujet. On y parle plus de philosophie que de pédagogie. Notamment du fait que l'école publique impose une vision du monde qui échappe au libre choix des parents. La seule vision du monde que j'impose à mes élèves c'est d'écouter les autres et de respecter leur libre parole.

JC : Encore une fois, je ne comprends pas ta demarche. Il ne me semble pas avoir lu dans le texte initial des critiques acerbes a propos de l'ecole pour vanter ou vendre les vertus de l'"instruction en famille". Il me semble evident qu'en discutant d'un mode de vie on puisse en arriver, a certains moments, a le comparer avec ce qui se fait d'habitude. Tout naturellement, certains arguments peuvent alors avoir des reflets negatifs. Mais cette partie de la discussion-debat peut se charger aussi tres vite d'emotions tres fortes. Autant d'un cote : souvenirs desagreables du milieu familial ou du milieu institutionnel dans l'enfance que l'on a pas envie de faire connaitre a son enfant ? Une occasion de decharge des rancoeurs anciennes en prenant son interlocuteur du moment comme bouc-emissaire ?
JC : Ceci dit, je serais tres heureux d'entendre unE enseignantE parler exclusivement positivement de son milieu de travail ...

Il se pose également un problème d'inégalité sociale : Les parents de mon quartier sont des ouvriers. Ils bossent tous les deux afin de subvenir à la famille. Pas le temps de faire classe. Certains ne s'intéressent pas au travail de leurs gamins. D'autres savent à peine écrire. Ce n'est pas le cas général, bien entendu.

L'école a le mérite d'accepter tout le monde, et les enfants qui bénéficient d'un suivi à la maison ou qui se débrouille bien aident leurs copains. Ils sont les moteurs, et c'est bénéfique pour eux comme pour les autres.

JC : Oui ... Et qu'est-ce que cela a a voir avec le fait que certaines familles instruisent leurs enfants autrement ?

Socialisation : Cale ne consiste pas à faire du basket une fois par semaine avec d'autres enfants. C'est de bosser 6 heures par jour avec les autres. Échanger des opinions. Vivre des moments forts. Apprendre par et avec les autres.

JC : Je suis plutot gene par ta maniere de traiter les arguments. Je constate que tu minimises ceux qui ne t'interesses pas - ou qui ne vont dans le sens de ce que tu defends (mais que defends-tu, en fait, exactement ?), voire, tu les galvaudes ou tentes d'en ridiculiser l'image ...
JC : Les activites non scolaires que peuvent vivre des enfants ne se resument pas seulement a une seance hebdomadaire d'un sport ...

homogénéité sociale : Bien entendu. La majorité des familles défavorisées ne sont pas capables d'enseigner à leurs enfants. Sans compter qu'il faut être mère ou père au foyer.

JC : A-t-il ete ecrit qlq part que les familles qui vivent l'instruction de leurs enfants a la maison souhaitent l'abolition de l'ecole ? L'annee passee le directeur d'une ecole d'un village voisin, section "maternelle", nous a demande si nous pouvions y inscrire un de nos enfants. Ainsi, disait-il, il atteignait un cota lui permettant d'obtenir un mi-temps d'encadrement supplementaire. Nous l'avons fait, pensant au bien-etre des enfants de cette ecole.

Difficultés d'adaptation au système scolaire dans les études supérieures : Je ne peux pas argumenter, vu que c'est ce que j'ai lu.

JC : ... et tout ce qu'on lit n'est pas necessairement "vrai" ... C'est un des principes que je transmets a mes enfants. Argumenter et defendre des idees ce n'est pas accumuler 'simplement' des arguments "pour" et "contre".

L'éducation de masse a montré ses limites :" Quand la famille s'intéresse à l'enfant, à sa scolarité, on n'a pas de problème pour qu'il apprenne. Notre problème c'est :

  • les gamins battus ou victimes d'abus
  • les gamins qui se couchent à minuit
  • les enfants dont les résultats scolaires indiffèrent les parents

Nos gamins sont heureux à l'école. Dans mon quartier, ils s'embêtent en vacances. On se défonce pour leur offrir des spectacles, pour les sortir (la plupart ne quitte jamais la ville), faire des fêtes. Les premiers de la classe parlent turque ou arabe à la maison.

Les règles qu'on fixe sont des règles pour vivre en commun. Genre, quand j'ai fini mon boulot, je prends un livre, je vais sur l'ordinateur mais je ne parle pas au copain qui n'a pas fini, ou alors pour l'aider.

JC : Je suis vraiment tres heureux de constater que tu aimes ton travail. Mais je ne vois pas ce que cela vient faire ici.

Tout cet article "pue" (désolé du terme) le rejet d'une expérience mal vécue par les parents.

JC : Ce peut etre le cas ... Oui. Mais pas toujours.
JC : Personnellement, cela est entre en ligne de compte, mais en partie seulement. (Je suis issu d'une famille d'ouvriers et je n'imagine pas bien ce qu'aurait ete mon parcours si mes parents avaient decide de ne pas me mettre a l'ecole. Neanmoins, je m'y suis profondement ennuye. Je ne parle pas de l'ecole bourgeoise elitiste dans laquelle il ne faisait pas bon etre fils d'ouvriers ; ni d'une autre, a la population totalement opposee, passant son temps a tenter de regler les conflits ... En ce qui concerne notre experience avec nos deux enfants aines, nous avons ete confrontes au discours generaliste paradoxale des parents qui 'abandonnent' leurs enfants a l'ecole mais qui n'ont strictement rien a dire a propos de la pedagogie qui y est pratiquee (nous pouvions, neanmoins, tenir les stands et ranger les bancs lors de la fete annuelle ...). Par contre, ma compagne a eu une scolarite tres epanouissante.)
JC : Mais cela n'est qu'une toute petite partie de la reflexion qui nous a menee a les descolariser. En diminuant notre temps de travail, et donc en reorganisant notre vie par rapport a des revenues moindres, nous avons decouvert les plaisirs de vivre au quotidien avec notre troisieme enfant plutot que de le mettre en creche ... C'est tout a fait par hasard que nous avons decouvert que l'ecole n'est pas obligatoire - en Belgique - Et c'est ainsi que nous avons commence 'notre' voyage.
JC : Tres regulierement, nous remettons tout cela en question ... aides par notre fille ainee devenue adolescente ;-)] ...

Oui, il y a des profs cons. Mais il y a aussi la richesse de tomber sur différentes personnes, qui ont toutes une spécialité. L'un vous passionnera en histoire, l'autre fera de la musique, le troisième du théâtre et le quatrième vous fera aimer les math. C'est aussi ça l'école. Prétendre remplacer non pas un, mais neuf professionnels de l'éducation en primaire me semble très prétencieux. Je ne parle pas de moi, mais de tous les gens formidables que j'ai croisé!

JC : Je n'en doute pas un instant. Et encore une fois, je me rejouis de lire que tu es heureux dans l'environnement que tu as choisi.

J'ai choisi le métier d'instit alors que je n'ai pas aimé l'école, où je me suis franchement fait chier. J'ai trouvé des gens dans cette carrière qui sont formidables, en majorité. Pourquoi priver les enfants de ces contacts?

Je vous prie de m'excuser. Je parle de mon boulot avec passion. Je n'ai pas à en avoir honte, c'est la preuve que je l'ai bien choisi :-) J'espère n'avoir heurté personne. Là, je rentre d'un festival de théâtre où mes élèves ont joué, et je suis un peu crevé. Amicalement, Thomas TP 2 jun 2005 à 20:04 (CEST)

JC : Peux-tu simplement envisager l'idee que cette page d'encyclopedie ""informe"" que l'ecole n'est pas obligatoire, qu'il y a d'autres possibilites realistes ... Un eclairage de facon a ce que chacunE puisse faire un choix conscient.
Je suis tout à fait d'accord avec tes réponses. J'y souscris tout à fait. Cependant, en me documentant sur le sujet, je ne suis pas tombé sur tant de pondération. Je cite : "la médiocrité de l'école", "l'uniformisation des enfants", etc. Pour les associations présentes sur Internet, les enfants sont assis 6 heures par jour, se taisent et écoutent la parole du Maître. La socialisation est forcée, elle oblige 30 enfants à vivre dans une parfaite homogénéité sociale (carte scolaire). C'est une caricature de l'école à papa. Là où je suis d'accord, c'est que si je devais faire l'école à mes enfants, j'utiliserais des méthodes bien plus performantes : Freinet (dur avec 20 élèves, bien qu'on s'en inspire), jeux de sociétés etc. Il y a des enseignants-parents merveilleux. Bien entendu qu'un parent qui se passionne pour le boulot obtiendra de meilleurs résultats. Mais cela reste très élitiste. Les enfants qui ont la chance d'avoir de tels parents s'en sortiront de toutes façons. Mais ils privent les autres de leur contact. C'est cela qui me gène : cracher sur l'enseignement traditionnel, nier le fait que l'enseignement de masse élève le niveau général. Tout en utilisant, bien sûr, des méthodes inventées par l'école. L'article, dans sa philosophie, nie totalement le fait que pour faire l'école à la maison il faut : avoir des moyens intellectues et financiers et rester à la maison (bien entendu, ce sont les femmes qui restent, pas les mecs (lu sur les sites des assos).
Prenons un exemple : l'informatique. Oh oui, un ordinateur sera mieux utilisé dans une famille qu'à l'école, en admetant que les parents sachent s'en servir vraiment (sans moutonisme windowsien). Mais combien de familles ont un ordinateur ? Dans mon quartier, 5 sur 20. Pour les cinq, un traitement de texte s'appelle Word, on bourre des espaces pour faire une mise en page, et on ne connait pas les règles élémentaires de typo. Tu me diras que chez les instits, c'est souvent ça aussi.
Tout ça pour dire quoi ? Et bien que l'école à la maison c'est très bien, mais que passés les exemples de gens formidables, il faut aussi accepter que sur les 2% d'enfants concernés (chiffres des assos), il faudrait faire le ménage. Tout ce que je lis, y compris cet article, laisse croire que l'école est nulle, que tout le monde devrait et va faire la classe à ses enfants. Ce n'est pas le cas de tes réponses.

Je vais réécrire la section critiques, avec bien plus de neutralité qu'ici. Là, on discute. Je vais soumettre une version dans cette page. Si c'est ok pour vous tous, je poste. Juste une chose : "Je suis vraiment tres heureux de constater que tu aimes ton travail. Mais je ne vois pas ce que cela vient faire ici." Cette phrase me laisse perplexe. C'est juste pour dire que les limites de l'éducation de masse tiennent aussi aux limites de l'éducation des parents. Amicalement, TP 3 jun 2005 à 20:57 (CEST)

JC : En te lisant, j'ai l'impression de voir un gerant de grande surface venant critiquer l'organisation d'un petit epicier. Je comprendrais si tu avais fait l'experience d'accueillir un enfant qui aurait ete des/non-scolarise, et que cela se serait mal passe pour lui, pour toi, les autres enfants de l'ecole ... Je comprendrais si la moitie des enfants de ta classe decidait de la quitter ... Je comprendrais aussi s'il etait demontre que ce sont les enfants nonscolarises volontairement qui sacagent la voie publique, derobent ton auto-radio, ou raquettent a la sortie de ton ecole, ... s'ils constituaient une charge sociale en etant les seulEs futurEs chomeurs/euses ... et que tu n'aies pas envie d'etre solidaire financierement de leur prochain etat ...
JC : Par contre, je trouverais interessant, en annexe de la page **informative** de la possibilite legale qu'a tout parent/enfant de ne pas le scolariser, d'ecrire un texte sur les difficultes que rencontrent les familles qui tentent l'aventure. Qlq'unE pourrait m'expliquer comment creer un nouveau chapitre ?

[modifier] Nouveau chapitre

Il suffit de cliquer sur "modifier" dans la section qui précèdera celle que tu veux ajouter. Ensuite, tu mets des "égals" autour du titre que la section doit prendre. J'espère avoir été clair. Au fait, il sera bien que tu t'enregistres, plutôt que rester contributrice anonyme. C'est plus simple pour communiquer. TP 4 jun 2005 à 12:52 (CEST)


[modifier] Rééquilibrage ?

Je viens de voir les modifications de 83.199.58.145 du 7 juillet. Ok, je retire cet article de ma liste de suivi. Je vous laisse aussi corriger ses nombreuses fautes (ça ne fait une très bonne pub pour votre cause). Je trouve assez déplorable, mais c'est un avis tout à fait personnel, qu'un article d'encyclopédie puisse devenir une promotion du sujet qu'elle traite. Qu'on ne me fasse pas croire que le "home schooling" n'est pas complètement élitiste ! Il suffit de regarder les homepages des personnes qui le pratiquent : achats de jeux éducatifs, investissement en temps, lecture des plus grands pédagogues. C'est vrai que c'est tellement confortable de penser qu'on serait tous en mesure de se passer de "l'éducation de masse", pour reprendre ce terme affreux.TP 7 juillet 2005 à 09:21 (CEST)


commentaires

amusant ces critiques de "TP" relues plus tard... en parlant d'ortho il en fait de belles lui aussi une pub pour les non-sco?? (regarder son "cynergie" avec un beau "c" plus haut!!... mais de notre point de vue qu'est ce que on en a f. de l'orthographe.... c'etait juste pour remettre la balle dans "son camp"... Et s'il reponds a Jc en lui disant connais tu "notre metier" là aussi c'est amusant, nous sommes une famille d'enseignants ( des "bouchers vegetariens" quoi... (comme s'auto designes les anglosaxons unschoolers).

eh bien nous pensons tout comme JC , le sage homme belge, et meme bien pire encore! (cela ne'empache pas aussi de reconnaitre qu'il y a de tres brave gens a l'en qui font le mieux du mieux de leur possible. helas comme jules ferry voulait que les races superieures "civilisent" les races inferieures, cou "que comme catherine baker et christiane rochefort, le retrace "on occupe les enfants comme on occupe un pays"... voila voila).

si on veut casser les mecanismes de pauvreté, d'alienation et d'exploitation, est ce en "ensaignant" (cf pour cette orthograpbe anne querrien) ou en detruisant ces systemes, et leurs principaux outils de reproduction?

C'est la seule faute trouvée ? Zut, je ne serais donc pas parfait ? Tu me l'apprends. Face à ton charabia, je m'en sors bien. Bon, je repars traumatiser une masse d'enfants, en attendant que leurs familles les retirent de mes griffes pour les éduquer chez eux. Commence donc par signer tes messages. Contrairement à ce que tu crois, je respecte énormément les gens qui pratiquent l'école à la maison. Ils sont sûrement d'excellents enseignants pour leurs enfants. Simplement, je maintiens que c'est une pratique élitiste car il faut des moyens et rétrograde car elle oblige les femmes à rester à la maison. TP 25 août 2005 à 13:10 (CEST) (qui n'est pas d'une race supérieure, loin de là)
J'ai corrigé quelques fautes, enlevé des NPOVs "évidents", mais il y a encore à faire. Eskimo 25 août 2005 à 18:13 (CEST)
Fait de même. Les arguments "pour" sont intéressants et je les ai laissés tel quel. Il faudrait xcependant un peu mieux les sourcer. Qui sont les peersonnes qui ont fait les études favorables à ce système? Bradipus 25 août 2005 à 22:54 (CEST)
J'ai fais aussi quelques modifications. L'article anglais comporte de nombreuses informations, ca serait bien de s'en servir pour completer l'article francais. Parce qu'en dehors de nous dire "l'ecole a la maison c'est super chouette", il nous apprend pas grand chose dans la pratique. Aineko 26 août 2005 à 04:16 (CEST)
J'ai ajouté le point de vue des lois françaises. Histoire d'équilibrer... Voilà qui ne va pas plaire, je le sens venir. Ceci dit, cela n'empêche pas que de nombreuses familles françaises n'ont d'autre choix que d'éduquer eux-mêmes leurs enfants, suite aux carences de l'EN, notamment en ce qui concerne les enfants handicapés (mentaux, ou autres). TP 30 août 2005 à 12:47 (CEST)

[modifier] Exemple

montrant que le "home schooling" n'est pas un handicap : en:Jedediah Purdy, un intellectuel qui a fait parler de lui ces dernières années en publiant des livres de philospophie politique, a été éduqué de cette façon jusqu'à son entrée à Harvard. --Teofilo @ 1 septembre 2005 à 13:46 (CEST)

Ce genre d'argument me fait doucement rigoler. Je peux répondre qu'il y a plein de gens qui ont fait Harvard en passant par l'école. Ça avance à quoi ? Qu'il y ait des gens très bien et très intelligents qui passent par le homeschooling, personne ne le met en doute. Pas plus qu'on ne met en doute que cette forme d'instruction peut avoir des avantages. TP 1 septembre 2005 à 18:40 (CEST)
N'y a-t-il pas écrit dans l'article ci-joint : Parmi les critiques:(...)* difficultés d'adaptation au système scolaire dans les études supérieures ? --Teofilo @ 1 septembre 2005 à 18:50 (CEST)

[modifier] Risque d'embrigadement

Au risque de rajouter de l'huile sur le feu, je trouve qu'un des arguments qui pourrait expliquer la méfiance des lois françaises envers ce type d'enseignement ne figure nullepart : des enfants n'ayant comme seule reférence que le savoir et l'opinion de leurs propres parents risqueraient de se forger des idées biaisées sur la science et l'histoire. Tant que les parents sont les êtres parfaits que l'article présente, tout est pour le mieux. Mais si ceux-ci développent des opinions plus douteuses sur le négationnisme, le révisionnisme, le racisme ou la pédophilie, quels sont les moyens de l'état pour protéger les enfants de leur influence pernicieuse? HB 24 septembre 2005 à 18:27 (CEST)

On peut retourner l'argument, tant que l'instituteur est l'être parfait auquel on veut nous faire croire, tout est pour le mieux, malheureusement ce n'est pas toujours le cas, il peut être : idiot, politisé, partial, souvent en grève, imbu, etc (je n'aurai pas votre grossiereté et je n'inscrirai pas ici la pédophilie)
Et puis son pire défaut, on en parle jamais ici, c'est d'être avant tout le principal agent du pouvoir.
La première motivation d'une grande partie des familles n'est évidemment pas la perversion dont vous semblez les affubler, cette motivation c'est de resister. Resister aux multiples aggressions dont les enfants sont l'objet, cette imposition de pouvoirs et de savoirs, cette imposition de normes et comportements.
Quant à la "protection de l'Etat", si vous persistez à vouloir l'imposer à tous, je vous cite Victor Hugo.


Quand on voit qu'aux USA ce sont souvent les parents d'élèves qui font pression dans certains états pour que la création du monde en 7 jours soit enseignée sur le même plan d'égalité que l'évolutionnisme ont peut légitimement s'interroger comme le fait HB sur la pertinence de confier le dével scolaire de leurs enfants à ces parents.Thierry Lucas 13 novembre 2005 à 17:20 (CET)

Confier l'éducation de ces enfants à G.Bush (par délégation) ne me semble pas une garantie de ce point de vue. Et puis vous semblez oublier que "Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d'éducation à donner à leurs enfants." Déclaration universelle des doits de l'homme. Mépriser les parents, de la part d'un professionnel ou d'un politique, est une très mauvaise attitude, aussi je vous dédie la jolie phrase d'Alain Tourraine : "Les parents n'ont pas démissionné, ils ont été licenciés", elle vous sied bien.

Ce n'est pas l'état fédéral qui s'occupe de l'éducation aux USA (ou si peu) donc il ne s'agit pas de les confier à G Bush. Quand à votre citation de Touraine sortie de son contexte elle n'a à mes yeux aucune valeur (surtout si anonymement exprimée). L'école agent du pouvoir, dans notre pays en tout cas, c'est un fantasme et fort mal connaître l'institutionThierry Lucas 14 novembre 2005 à 08:52 (CET)

Agent du pouvoir autoritaire de l'état, probablement pas autant que sous la troisième République, Mais affirmer qu'il n'y a aucun enjeu de pouvoir dans l'Education Nationale, je pouffe ! Etes-vous inspecteur ou apparenté ?

[modifier] Censure

J'ai censuré le paragraphe suivant parce qu'il s'agit de Wikipédia:Contenu évasif et qu'il me parait de plus complétement hors-sujet. Les critiques portent, selon le texte lui-même, sur l'éducation en général tandis que les affirmations des défenseurs sont assénés sans la moindre source. Je suis en train de rechercher de la doc sur les autres critiques mais je n'hésiterais à couper de la sorte dans le reste de l'article si je n'arrive pas à mettre la main sur des références précises. En outre, j'ai ajouté une allusion aux États-Unis dans l'intro parce que c'est le seul pays pour lequel j'ai trouvé des chiffres - que j'ajouterai très bientôt dans l'article. Est-ce que le contributeur qui a ajouté une référence au Royaume-Uni en a aussi ? GL 13 novembre 2005 à 18:37 (CET)

Oui, il y a actuellement plus d'une centaine de milliers d'enfants instruits à la maison au Royaume-Uni. (Soucre Education Otherwise). Chaque année près de dix mille personnes se retrouvent au mois de Mai dans le sud de l'angleterre pour feter le bonheur de l'instruction parentale.
Je cherche plutôt des chiffres sur l'évolution. GL 13 novembre 2005 à 19:29 (CET)


Avant de réinsérer ce texte, il faut des références précises aussi bien concernant les critiques que les réponse. GL 13 novembre 2005 à 18:38 (CET)

De la même manière le commentaire de la déclaration de Ségolène Royal est manifestement polémique.

Réponse; « L’instruction obligatoire peut être donnée soit dans les établissements ou écoles publics ou privés, soit dans les familles par les parents, ou l’un d’entre eux, ou toute personne de leur choix. » La référence à "L'école de la république" est une provocation de la part de Ségolène Royal, puisqu'il n'y a pas dans la loi "d'école de la république" mais des établissements publics, privés, des parents instruisant dans la famille, et ... la liberté de l'enseignement partagée par les trois.


Si une association quelconque s'est fendue d'un communiqué de presse, il faut le dire. Sinon, ce n'est pas à nous de porter ce genre de jugements, au demeurant criticables. GL 13 novembre 2005 à 18:42 (CET)

Oui, L'association "Les enfant d'abord" demande l'abrogation de la circulaire Royal
Pas moyen de mettre la main sur un texte précis sur le site de l'association. Un article de presse peut-être ? GL 13 novembre 2005 à 19:29 (CET)
Je rappelle mon intervention précédente « Si une association quelconque s'est fendue d'un communiqué de presse, il faut le dire », ce qui signifie qu'il faut dire dans l'article « L'association machin réclame blabla » ou « L'association truc accuse cette circulaire d'être blablabla », le tout accompagné d'une référence précise. En aucun cas, l'affirmation selon laquelle l'association Les enfants d'abord demande l'abrogation de la circulaire Royal n'autorise à réintroduire la formule polémique que différents utilisateurs ont supprimé plusieurs fois cet après-midi. GL 13 novembre 2005 à 20:19 (CET)
Oui mais vous pouvez lire le code de l'éducation, vous n'y lirez pas "L'école de la Républiiique ...". Cependant je conçois que vous souhaitiez un paragraphe plus argumenté, moins implicite sur la question, qui est complexe.
???? La neutralité ne réclame pas d'arguments mais des références. GL 13 novembre 2005 à 22:50 (CET)
Pourquoi vouloir de la neutralité, si vous ne pratiquez pas ce système vous n'aurez probablement pas grand chose à en dire. Et votre place est plutôt dans la rédaction d'articles sur l'école ou mieux sur une de vos passions ou spécialités.
Une petite lecture de Wikipédia:Neutralité de point de vue s'impose. GL 18 novembre 2005 à 11:36 (CET)

[modifier] Bandeau neutralité

Je trouve scandaleux de mettre un bandeau infamant "Article non neutre" et de ne pas demander à ce que cet article figure dans la liste des articles non neutres. Il est plus constructif de participer à la rédaction de l'article, en écrivant des choses exactes. (commentaire d'IP 13 novembre 2005)

Non c'est drôle de voir le coté sectaire des pro-école, qui font tout ce qu'ils peuvent pour rendre cet article méprisable ou suspect et tenter de discréditer son sujet même. Comme si les pro-homeschool allaient intervenir dans les pages sur les collèges ou les écoles primaires ! (commentaire d'IP 18 novembre 2005)

[modifier] cat:Libertarianisme ?

Je ne comprend pas la raison de cette catégorie ? l'école à la maison est une pratique utilisé par divers mouvements philosophiques... suppréssion de cette cat ? -★:Libre:★- 28 novembre 2005 à 17:57 (CET)

Peut-être s'agit-il d'un confusion avec libertaire ? En France, l'école à la maison (ou mieux l'absence d'école ou d'éducation) est défendue par Catherine Baker qui est, je cite l'article, « une journaliste française et une écrivain libertaire ». D'autre part, aux États-Unis l'école à la maison semble avoir un certain succès parmi certains milieux néo-conservateurs sans doute soucieux d'éviter à leurs enfants l'influence néfaste d'une école trop éloignée des valeurs chrétiennes et familiales et désireux de s'assurer de la pertinence de l'enseignement dispensé concernant la création. Il y a bien quelques passerelles possibles mais tout cela ne relève pas exactement du libertarianisme, au sens donné dans l'article. Maintenant si quelques libertariens pratiquent ou prônent explicitement l'école à la maison, on peut garder la catégorie. GL 28 novembre 2005 à 18:28 (CET)

Catherine Baker c'est un courant, plus important intellectuellement que quantitativement. On ne peut pas resumer l'instruction parentale en France à ce seul courant. De plus on ne peut pas dire que celle-ci ait fédéré quoi que ce soit sur son nom, malgré ses deux livres.

Ce n'est pas la question. Une catégorie sur Wikipédia ne résume rien du tout, c'est un outil de navigation. GL 10 décembre 2005 à 21:38 (CET)
Un outil ? Plutot un bras armé dans ce cas !

[modifier] Célébrités qui ont étudié à la maison

Je ne comprends pas l'intérêt de la présence de cetains noms dans cette liste : André-Marie Ampère, Michel de Montaigne, Blaise Pascal par ex. Est ce que çà n'était pas une situation courante à leur époque ? Si il y a une raison, elle devrait être précisée.

Par contre il manque des personnalités plus récentes comme Pierre-Gilles de Gennes ou Irène Curie.

Mica participante au projet Éducation 25 mars 2006 à 09:03 (CET)

Suite absence de justification, je les supprime. Mica 23 septembre 2006 à 11:54 (CEST)