Discuter:Gomme quantique

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

[modifier] Schéma de l'expérience

Est-ce que vous voyez bien tous les flèches en jaune clair ? Chez moi c'est impec, mais sur un autre PC, c'est moins clair. C'est mon premier essai en SVG et je constate qu'il y a plus de différence dans l'apparence entre ordinateurs que des bitmaps. --Jean-Christophe BENOIST 4 septembre 2007 à 13:10 (CEST)

Les contrastes pourrait être plus marqués mais pour ma part je vois quand même assez bien. --Le Père Odin 4 septembre 2007 à 16:49 (CEST)
Petite remarque: Le H ressemble plus à un I majuscule qu'à un H. --Le Père Odin 5 septembre 2007 à 00:30 (CEST)
Je ne suis pas encore très habile en SVG. J'ai dû faire une rotation de la figure, et le H avec. Merci pour tes remarques en tout cas. --Jean-Christophe BENOIST 5 septembre 2007 à 00:49 (CEST)
Over all Bon travail. --Le Père Odin 5 septembre 2007 à 01:01 (CEST)

[modifier] Polarisateur

Si le polarisateur G est placé à une distance plus grande que le dispositif F on perd la figure d'interférence... Mais à l'inverse: Si G est à plus courte distance que D et E je crois que nous pouvons récupérer la figure d'interférence, le polarisateur G ne serait plus dans ce cas considéré comme une gomme quantique puisque son effet sera annulé par D et E. Ne serait-il pas utile de le mentionner dans l'article? --Le Père Odin 5 septembre 2007 à 00:30 (CEST)

Non. La distance de G ne change rien. Si G est présent, la figure d'interférence est présente dans tous les cas. Je ne comprends pas pourquoi tu crois le contraire. D'ailleurs, il y a un point important et intéressant avec toutes ces expériences, à commencer par celle d'Aspect. Si on regarde l'expérience d'un point de vue relativiste (à partir d'un référentiel en mouvement) on peut rendre à volonté les distances plus grandes ou plus courtes, vu du référentiel au mouvement, mais cela ne change rien au résultat final évidemment. L'ordre temporel - et les distances - des choses ne change rien dans ce genre d'expériences (c'est pourquoi les choix retardés marchent aussi..) --Jean-Christophe BENOIST 5 septembre 2007 à 00:39 (CEST)
Je croyais le contraire pour la raison suivante: Le photon signal passe par D ou par E ce qui donne au photon témoin une polarité D ou E. Ensuite le photon témoin passe par G ce qui efface l'information D ou E. Maintenant si G est plus pres de la source A que D et E, le photon témoin passe par G d'abors, cela donnera au photon signal une polarité G ensuite le photon signal passe par D ou E ce qui efface la polarité G du photon témoin pour la remplacer par D ou E donc rétablir l'information which way. En d'autre terme, je croyais qu'en inversant les distances, les polarisateurs D et E prendraient, en quelque sorte, le rôle de la gomme quantique. J'ai de la difficulté à comprendre ou ce trouve l'erreur dans mon raisonnement. --Le Père Odin 5 septembre 2007 à 00:58 (CEST)
La fin de ta démonstration est bonne : je croyais qu'en inversant les distances, les polarisateurs D et E prendraient, en quelque sorte, le rôle de la gomme quantique : effectivement, et c'est pourquoi le résultat est exactement le même : la figure d'interférence peut être retrouvée même quand G est plus près. En revanche, ce que tu dis en fin de ta démonstration est incompatible avec ce que tu dis juste avant : rétablir l'information "which way". Si D/E rétablissait l'information ce ne serait pas une gomme ! En fait, l'information n'est pas rétablie par D/E quand G est plus près, car on ne peut retrouver cette information par aucun moyen. Le seul moyen de retrouver l'information serait de mesurer la polarité en H, ce qui est impossible puisqu'elle a été imposée par G bien que plus près. L'effet EPR n'a pas le pouvoir de changer une polarité qui a déjà été imposée ! (c'est là l'erreur de ton raisonnement je crois), sinon ce serait un excellent moyen de communiquer plus vite que la lumière ! Après G, le photon témoin n'est plus en état de superposition. L'effet EPR a simplement le pouvoir de déterminer quelle possibilité d'un superposition va advenir (en respectant les probabilité). Mais s'il n'y a plus qu'une seule possibilité..., rien à faire. --Jean-Christophe BENOIST 5 septembre 2007 à 09:57 (CEST)
Ah je vois! Maintenant... Dans l'expérience de Marlan Scully, nous devons attendre pour recevoir les corrélations de tous les détecteurs pour pouvoir déchiffrer la figure d'interférence. Il en est de même ici aussi j'imagine, mais je ne comprend pas ce que nous avons à déchiffrer puisque que contrairement à l'autre expérience je ne vois pas pourquoi nous aurions deux interférences en opposition de phase en F. --Le Père Odin 5 septembre 2007 à 15:31 (CEST)
Si; ce n'est pas expliqué dans l'article pour ne pas compliquer, mais je pense en fait que ce sera nécessaire. Les deux polarisateurs D et E brouillent (mais pas de manière irrémédiable, comme dans l'expérience de Scully) la figure d'interférence : les photons "D" et les photons "E" étant polarisés à l'inverse, ils n'interfèrent pas de manière visible. Les correlations sont ici aussi nécessaire. De toutes manière, il n'existe pas de gomme quantique fonctionnant de manière visible sans correlations, sinon on pourrait communiquer plus vite que la lumière, et reçevoir des messages du futur ! --Jean-Christophe BENOIST 5 septembre 2007 à 15:59 (CEST)