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Caricature douteuse. (il faut être con, par exemple, pour douter de la connerie)
Caricature douteuse. (il faut être con, par exemple, pour douter de la connerie)
Médaille prix Nobel

Le théorème du con a été formulé en 2007 par Yann Pérodin, prix Nobel du génie, 1921.

Sommaire

[modifier] Interprétation

Le théorème du con formalise, d'une façon incroyablement complexe, une question toute simple: Est-ce que cet individu est con ou pas? La subtilité candide avec laquelle l'Équation répond à l'Énigme lui valut, en 1922, le prix Nobel du génie.

[modifier] Formulation

[modifier] Sa formulation exacte est:

 Connerie = h \left(Intelligence^2 - Imbecilite^2\right)\sqrt{\frac{ MasseCerebrale}{VolumeCerebral}}

Où:

h est la constante de Planck
\left( \cdot \right) sont des parenthèses avec un point au milieu

[modifier] Sa formulation relativiste est:

 Connerie = \frac{\sqrt{VitesseNeuronale^4}}{c\hbar}\left(\left(Intelligence^2 - Imbecilite^2\right)\sqrt{\frac{ MasseCerebrale}{VolumeCerebral}}\right) /c^2

Où:

\hbar est la constante de Dirac
C est la vitesse de la lumière dans le vide.
\left( \cdot \right) sont des parenthèses avec un point au milieu
sont des idéogrammes, probablement chinois, qui veulent dire quelque chose.

[modifier] Impossibilité quantique

Pour des raisons qui dépassent l'entendement, il est impossible de penser le théorème du con en terme quantique.

La superposition d'état:

|\psi\rangle = \left| Intelligent, Imbecile \right\rangle

est évidemment hors de question, puisque même les systèmes quantique ne peuvent se trouver que dans un seul de ces deux état à la fois.

[modifier] Solution

Le résultat, d'une élégante subtilité, est sans équivoque:

Soit on est con, soit on ne l'est pas.

[modifier] Voir aussi

[modifier] Liens externes