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Sommaire

[modifier] Jean-Thomas-Taschereau (sr)

Jean-Thomas Taschereau (1778-1832) {{voir homonymes|Jean-Thomas Taschereau|Taschereau (homonymie)}} {{ébauche politicien Québec}} Jean-Thomas Taschereau (Sainte-Marie-de-la-Nouvelle-Beauce, 26 novembre 1778 - Québec, 14 juin 1832), est un avocat, un homme politique et un juge du Bas-Canada.

Il naît à Sainte-Marie-de-la-Nouvelle-Beauce le 26 novembre 1778 au sein d'une influente famille seigneuriale. Son père, le seigneur de l'endroit, Gabriel-Elzéar Taschereau (1745-1809), propriétaire de trois seigneuries, haut-fonctionnaire, député du comté de Dorchester à la Chambre d'Assemblée (1792-1796), grand voyer du district de Québec (1794-1809), membre du Conseil législatif (1798-1809), est un homme influent du Bas-Canada[1].

Entré au Petit Séminaire de Québec en 1789, il complète ses études en moins de 6 ans[2]. En novembre 1799, son père le prend comme assistant dans sa fonction de grand voyer du district de Québec.

Jean-Thomas Taschereau, qui étudie également le droit auprès de Jonathan Sewell, reçoit sa commission d’avocat le 9 novembre 1801.

Il est élu député de la circonscription de Dorchester à la chambre d'Assemblée du Bas-Canada le 28 juillet 1800.


[modifier] Sources

[modifier] Voir aussi

[modifier] Notes

  1. Honorius Provost. « Gabriel-Elzéar Taschereau », dans Dictionnaire biographique du Canada [en ligne].
  2. Honorius Provost. « Jean-Thomas Taschereau (1778-1832) », dans Dictionnaire biographique du Canada [en ligne].

{{multi bandeau|portail Canada|portail Québec}}

{{DEFAULTSORT:Taschereau, Jean-Thomas}} [[Catégorie:Député de la Chambre d'Assemblée du Bas-Canada]] [[Catégorie:Avocat québécois]] [[Catégorie:Juge québécois]]

[[en:Jean-Thomas Taschereau (1778-1832)]]

  • portraits : (voir ANQ)


[modifier] Bibliothèque bleue

Références

Autres textes utiles

Textes en ligne de la Bibliothèque bleue

[modifier] Canard (imprimé), complainte, ballade

[modifier] Geoffroy de Charny

Compléments :

[modifier] LdeCh

Philippe Richardot, Végèce et la culture militaire au Moyen-Age, 1998

[modifier] Bourgogne

[modifier] Marie Lacoste-Gérin-Lajoie

Compléments :

Notices archivistiques
  • Bibliothèque et Archives nationales du Québec - Montréal, P120, Fonds Fédération nationale Saint-Jean-Baptiste, Notice BAnQ
  • Institut Notre-Dame du Bon-Conseil, P2, Fonds Marie Gérin-Lajoie, 1867-1945, Notice archivistique, Notice RDAQ
  • Institut Notre-Dame du Bon-Conseil, P5, Fonds Georgette LeMoyne, Notice RDAQ

[modifier] Famille Taschereau

[modifier] Révolution tranquille

[modifier] Enseigne de pèlerinage

ou Enseigne de plomb, méreau

[modifier] Ermengarde de Narbonne (d · h · j  · )

Iconographie

[modifier] Marie-Josephte Corriveau

Sources
Notes de recherche GL


Études générales
  • Wiener, Frederick Bernays. Civilians Under Military Justice: The British Practice Since 1689, Especially in North America. Chicago : University of Chicago Press [1967].
    Dans le chapitre 2, Wiener discute du cas de La Corriveau.
  • Gottlieb, Gabriele. Theater of Death: Capital Punishment in Early America, 1750-1800. thèse de doctorat, histoire, University of Pittsburg, 2005. (Résumé et téléchargement PDF) téléchargé
  • Janis L. PALLISTER. « La Corriveau, historique et legendaire », dans Janis L. PALLISTER. (dir). The Art and Genius of Anne Hebert : Essays on Her Works. Night and the Day are One. Madison (New Jersey) : Fairleigh Dickinson University Press, 2001, p. 335-342. [Consulter en ligne (Google Livres)]
    • Retour sur l'interprétation d'Andrée LeBel, les femmes battues...
  • Jean-Claude Germain, Nouvelle-France : complément pédagogique, 2004
Cage de la Corriveau
  • « A specimen of one of these barbarous engines of cruelty [gibbet] was once kept in the Boston Museum. It was brought from Quebec, and look as though it might have been put to horrid purpose. », Samuel Adams Drake, Old Landmarks and Historic Fields of Middlesex. Boston: Roberts Brothers, 1895, 8 vol. Chapter Eight : « Old Charlestown Road, Lechmere's Point, and Putnam's Headquarters », p. 170;
  • « M. Fréchette dans la Patrie du 24 février dernier, a donné une description de la cage de la Corriveau et l'histoire du crime qui avait été la cause de son exécution. Cette cage a été mise en exhibition à Montréal par un nommé Angers, de Québec, dans l'hôtel de Leclère, rue St-Paul, en face du marché Bonsecours, pendant le mois d'août 1851. Quelque temps après, cette curiosité fut vendue au musée de Boston. » (Hector Berthelot, « Le Bon vieux temps », La Patrie, mercredi 18 mars 1885, page 4.
    • Hector Berthelot et É. Z Massicotte. Montréal : le bon vieux temps, tome 2. Montréal : Beauchemin, 1924, p. 99.
La Corriveau et la problématique des femmes battues
  • FRIGON, Sylvie, « L'homicide conjugal féminin, de Marie Josephe Corriveau (1763) à Angélique Lyn Lavallée (1990): meurtre ou légitime défense ? », Criminologie, volume 29, numéro 2 (automne 1996) « L'homicide conjugal au Canada », p. 11-28.
  • FRIGON, Sylvie, L’homicide conjugal au féminin, d’hier à aujourd’hui. Montréal :, Éditions du remue-ménage, 2003.
Collectif La Corriveau
La Cage d'Anne Hébert
  • Mary Jean Green, « The Witch and the Princess: The Feminine Fantastic in the Fiction of Anne Hébert », Women Writing in Quebec: Essays in Honor of Jeanne Kissner, Plattsburgh, New York, Plattsburgh State University, Center for the Study of Canada, 2000, p. 62-73
  • Elena MARCHESE, « Le projet de réécriture historique dans La Cage et L’Île de la Demoiselle d’Anne Hébert », Cahiers Anne Hébert, no 4. résumé
  • Janis L. PALLISTER. « La Corriveau et Anne Hébert : état d’études », Cahiers Anne Hébert, no 4. résumé
  • Jane Moss. « Women, History, and Theater in Quebec », The French Review, Vol. 67, No. 6, Special Issue on Québec‎. (May, 1994), pp. 974-984. Stable URL: JSTOR
  • Maureen O'Meara, « Living with the Cultural Legacy of La Corriveau: La Cage », dans Janis L. PALLISTER. (dir). The Art and Genius of Anne Hebert : Essays on Her Works. Night and the Day are One. Madison (New Jersey) : Fairleigh Dickinson University Press, 2001, p. 161-178. [Consulter en ligne (Google Livres)]
  • RACETTE, Jacques Thomas. « Marie-Josephte Becomes Ludivine: The Family Reformed in Anne Hébert's La Cage ». dans Roseanna Dufault et Paula Gilbert. Doing Gender: Franco-Canadian Women Writers of the 1990s. Madison: Fairleigh Dickinson UP, 2001, p. 23-35.
  • Kathryn SLOTT, « La Remise en question de la Corriveau dans La Cage d'Anne Hébert », dans Janis L. PALLISTER. (dir). The Art and Genius of Anne Hebert : Essays on Her Works. Night and the Day are One. Madison (New Jersey) : Fairleigh Dickinson University Press, 2001, p. 149-160. [Consulter en ligne (Google Livres)]
Ma Corriveau de VLB
La Corriveau dans l'art
  • Field, Saul, La Corriveau, 1966, estampe, 52.8 x 37.5 cm, Montréal, Musée des beaux-arts de Montréal (Gr.1966.470d) [Notice documentaire]
  • André Théberge, La Corriveau, court-métrage d'animation, Montréal, Office national du film, 1991, 10 min 42 s. [Présentation en ligne]
Iconographie
  • [22], 2 bronzes de Laliberté représentant la Corriveau, illustration de E. Z. Massicotte pour l'Almanach du peuple de 1913.
  • Portrait de Philippe Aubert de Gaspé ou première page d'une édition des Anciens Canadiens
  • signature de La Corriveau ? (dans Lacourcière)
  • Portrait de William Kirby ou première page de Golden Dog / Le Chien d'or


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[modifier] Saint-Valentin, Valentin

[modifier] Mémoire collective

[modifier] Phares du Québec

[modifier] Trois ordres de la société médiévale

[modifier] Olifant

[modifier] Giuseppe Arcimboldo

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