Discuter:Électricité de France

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Sommaire

[modifier] Besoin de réorganisation

L'article devient un peu gros et par endroit décousu avec des redites, des contradictions et bien souvent une confusion entre ce qui relève d'EdF, du système électrique français, des Directives Electricité, du nucléaire en général... Je pense qu'il faudrait, envisager une réorganisation assez profonde. Je lance en quelque sorte un appel à discussion sur ces points. --Diderot1 26 décembre 2006 à 20:51 (CET)

Le passage sur les ELD serait mieux à sa place ici --Diderot1 2 avril 2007 à 23:26 (CEST)

[modifier] Provisions

Les affirmations sur le non provisionnement du démantèlement des centrales sont contestables, c'est même de la désinformation car ces questions ont été discutées jusqu'au Sénat. Voici un extrait d'un rapport sur le sujet consultable à l'adresse : [1]

« EDF procède, d'ores et déjà, au démantèlement de neuf réacteurs appartenant à des filières plus anciennes, et à celui de SUPERPHÉNIX. Du fait de l'entrée en vigueur, le 1er janvier 2002, du règlement n° 2000-06 du Comité de la Réglementation Comptable relatif aux passifs, les exploitants d'installations nucléaires (EDF, AREVA et CEA), sont tenus d'inscrire dans leurs comptes la totalité des coûts de démantèlement sans compensation possible avec les actifs éventuellement attendus de tiers et sans étalement de cette charge dans le temps, ce qui conduit à majorer les provisions pour risques et charges et nécessite une contrepartie à l'actif, soit par l'intermédiaire « d'actifs de démantèlement », soit par l'intermédiaire de créances sur des tiers, si le démantèlement d'une installation est cofinancé par un partenaire industriel.

EDF constitue, depuis 1979, une provision pour démantèlement des centrales nucléaires (soit 12 276 M€ au 31 décembre 2002), et des provisions pour couvrir les charges futures engendrées pour le retraitement de son combustible usé et pour le stockage des déchets ultimes (16 371 M€ à la même date). La politique de constitution d'actifs dédiés (actions et d'obligations) au financement du coût du démantèlement se poursuit à hauteur de 0,3 G€ par an dans le cadre du contrat de groupe 2001-2003 entre l'État et EDF. »

Spedona 22 mai 2004 à 18:57 (CEST)

Si tu estimes que les charges de démantèlement des centrales sont suffisamment provisionnées, il faut donc reprendre un peu les termes de l'article. Les derniers comptes sont disponibles mais ils sont livrés dans un format "ph4" et je ne sais pas quel logiciel permet de lire ce format là. Attention je ne suis pas contre le nucléaire bien maîtrisé. Cependant :

  • La loi est effectivement tout à fait récente (2002), ce qui est curieux qu'il faille en France faire une loi pour obliger une entreprise à l'application d'un simple principe de finance, la provision de charges certaines que toutes les autres entreprises appliquent sans problème majeur.
relisez ce que dit le sénat, il parle de l'application d'un réglement européen sur les modalités de comptabilisation, réglement datant de de 2000, il n'y a rien extraordinaire à transposer en 2002 pour l'appliquer un règlement de 2000, de plus le même sénat indique d'EdF comptabilise depuis 1979 une provision pour démantèlement c'est à dire depuis la mise en service des deux premières centrales REP de fessenheim. vos doutes sont infondés et probablement mal intentionnés. --Diderot1 15 juillet 2007 à 16:52 (CEST)
  • Cette provision a bien été sous-évaluée dans le passé et même actuellement, ce qui a bien faussé le calcul du coût réel du Kwh, pour permettre la comparaison avec les autres énergies, en particulier les énergies propres et renouvelables, et donc cela a freiné leur développement.
Il s'agit d'une affirmation gratuite sans la moindre preuve. La vérité c'est que ces énergies sont plus chères, je ne dis pas sans valeur mais plus chères. Encore aujourd'hui pour se développer, elles absorbent des subventions massives : la cogénération qui s'est développée grâce aux tarifs de rachat à la fin des années 90 coûte environ 1 milliard d'euros par an aux usagers du système électrique par le biais du système de financement des missions dites d'intérêt économique général, l'éolien bénéficie de tarifs de rachats privilégiés très supérieurs à la part production des tarifs de vente réglementés, et commence à être financé de la même façon par les usagers et devraient couter à peu près la même chose que la cogénération. Pas un seul kW d'ENR n'a trouvé sa place sur la marché alors même que les prix ont explosés, à l'inverse les centrales nucléaires dégagent des marges très importantes.--Diderot1 15 juillet 2007 à 16:52 (CEST)
  • Le monopole bloque aussi les initiatives des entrepreneurs individuels. Par exemple sais-tu qu'en Suisse, ceux qui font l'effort d'équiper leur maison de système de production d'électricité (capteurs solaires, éoliennes, microcentrales hudrauliques peuvent utiliser des compteurs reversibles, c-à_d, lorsqu'ils produisent beaucoup d'électricité, le surplus de leur production part sur le réseau public et le compteur reversible enregistre la partie de l'électricité fournie. Si au contraire ils utilisent de l'électricité du réseau public le compteur reversible tourne dans l'autre sens. Imagine, en France des millions de particuliers individuels qui fournissent de l'électricité à EDF, une véritable révolution et la technique et les procédures existent et ont été testées, yapluka... Curieux non -
Ce n'est pas curieux c'est délirant. Aujourd'hui n'importe qui peut produire et se déclarer responsable d'équilibre moyennant enregistrement auprès de la CRE, et manifestement les acteurs ne se bousculent pas au portillon. Pratiquement tous les équipements développés en europe ces dernières années l'ont été par des électriciens européens ou de gros industriels, les enr? elles ne se sont développées que grâce à des subventions massives, qui garantissent aux investisseurs des rentabilités à deux chiffres. La vérité c'est que produire de manière économique de l'électricité c'est un métier comme de fabriquer des voitures, pas un passe temps.--Diderot1 15 juillet 2007 à 16:52 (CEST)

Semnoz 25 mai 2004 à 07:56 (CEST)

Je ne porte pas de jugement sur le niveau des provisions, j'en serais bien incapable ; en tout état de cause une somme de 38 milliards d'euros n'est pas négligeable. J'ai seulement été heurté par le jugement abrupt porté sur la gestion d'EDF. Il faut rappeler aussi que celle-ci n'est pas une entreprise ordinaire, à son conseil d'administration le pouvoir appartient aux représentants du Trésor et de l'Industrie, et les années de vaches grasses l'État ne s'est pas privé pour la ponctionner de milliards de francs.

► Tu parles de 38 milliards pour le démantèlement, or, selon la direction (novembre 2004), l'engagement total (retraites et provisions) ne dépassera, en aucun cas, les 35 milliards d'euros. Ton chiffre semble donc faux et cela sent la magouille de compte. De plus selon certaines estimations le seul coût de démantèlement des réacteurs installés se monteraient à 80 milliards d'euros. -Semnoz 15 jan 2005 à 07:22 (CET)

En ce qui concerne la Suisse, l'information est intéressante, mais que représente en % la production de ces microcentrales ? En France, est-il sûr que ce soit le monopole (qui ne porte pas sur la production à ma connaissance) qui bloque ? ou bien le prix de revient des sources alternatives  ? (sauf le cas des micro-centrales hydrauliques qui peuvent donner de véritables rentes de situation). Il me semble qu'on a obligé EDF à acheter le courant produit par les éoliennes à un tarif (0,0838 €/kWh) bien supérieur au coût moyen d'EDF et surtout au prix de revente qu'elle peut espérer ; EDF vache à lait des environnementalistes ?

► Justement tu compares avec un prix qui est faux à la base, si les provisions avaient été correctement faites, le prix consommateur devrait être, selon certaines estimations entre 1,15 et 1,23 frf et non pas 0,75 frf, et donc le prix de ces mini centrales devient très compétitifs. -Semnoz 15 jan 2005 à 07:32 (CET)

En ce qui concerne l'ouverture du marché et donc la fin du monopole honni, je ne suis pas sûr que ce soit une bonne chose car nous avons en France l'électricité la moins chère d'Europe et un des services les plus fiables. Il semble que la SNCF (un des tous premiers clients d'EDF, et donc un client dit éligible) ait vu sa facture bondir depuis l'ouverture du marché. Il y a sûrement matière à faire un article documenté sur le marché de l'électricité.Spedona 25 mai 2004 à 13:41 (CEST)

Les comptes d'EDF sont disponible sur le site officiel de la société en format Pdf. On y trouve notamment au compte de bilan (fin 2003, en milliards d'euros) :

  • Provisions pour fin de cycle du combustible nucléaire : 14,658
  • Provisions pour déconstruction et dernier coeur : 12,101
  • Provisions pour avantages du personnel : 2,185
  • Provisions pour renouvellement des immobilisations en concession : 13,939
  • Autres provisions pour risques et charges : 3,512

Il y a également des notes de commentaires qui font apparaître que la notion de provision n'est pas inconnue à EDF (on s'en serait douté), que des provisions sont prévues pour les charges de retraite, pour l'affaire Edison, que les provisions pour démantèlement sont antérieures à la loi de 2002, celle-ci ayant modifié certaines règles de calcul.Spedona 25 mai 2004 à 14:43 (CEST)

Effectivement ... donc acte ... aujourd'hui il n'y a peut-être plus de lézard, mais pendant longtemps le thème des provisions EDF avait bien été débattu dans les organisations écologistes. À suivre ... en attendant >> modification dans l'article. -Semnoz 25 mai 2004 à 15:36 (CEST)

[modifier] Nationalisations

Le 4 mai 2005 à 11:48 LionelMacBruSoft a écrit :

Une personne (pas inscrite), a modifié la phrase "en 1946, certaines entreprises, communes ou regoupements de communes n'ont pas accepté la proposition de nationalisation et ont créé des régies autonomes" pour écrire que TOUTES les entreprises ont été nationalisées. C'est, en effet, une idée reçue et très souvent diffusée, écrite... Cependant, c'est inexact. La nationalisation a été une proposition (très fortement appuyée et très insistante) que la plupart des compagnies, ruinées par la guerre, ont acceptées; mais pas toutes et cela n'a pas été une obligation. Mon propre grand-père peut en témoigner (il a participé aux négociations sur les Deux-Sèvres et les syndicalistes de l'époque ont refusés). Et l'état, pourtant très insistant, n'a pas contrarié les militants (de son propre camp). L'état avait tout de même réussi son coup; la grande majorité des gens avaient acceptés la proposition de nationalisation; alors bon, il a fait croire que c'était général...

Je peux même donner un autre exemple très précis sur une autre exception à la proposition de nationalisation; cette fois-ci pour le gaz. À Thouars (Deux-Sèvres) : le patron et de Compagnie du Gaz de Thouars (vous remarquerez les initiales clin d'oeil) fortement appuyé par les syndicalistes de la société refusa la proposition de rachat de son entreprise par l'état. Comme ces ouvriers syndiqués avaient très fortement résisté pendant l'occupation (par exemple : sabotages des voies ferrées; en collaboration avec les agents ferroviaires qui étaient surveillés...) et que le ministre ne pouvait tout de même pas aller contre des gens de son propre camp : la Compagnie du Gaz de Thouars (qui possèdait sa propre usine de production et était en assez bonne situation financière) continua tranquillement à vivre jusqu'à la mort de son fondateur (en 1967 ?). À cette date, comme aucun repreneur ne s'est fait connaître pour racheter la Compagnie du Gaz de Thouars, il fut proposé à l'état un rachat par Gaz De France. Ceci ne se fit d'ailleurs pas très facilement : il fallu, par exemple, une décision du conseil des ministres, un vote par le parlement... (car il fallait, par exemple, que les employés de la Compagnie du Gaz de Thouars deviennent fonctionnaires alors qu'ils n'avaient pas passé le concours, avaient dépassés la limite d'âge d'embauche...). Bref, même pour le gaz, il y a eu des refus de la proposition de nationalisation (qui n'a donc pas été générale et obligatoire comme on l'écrit souvent; mais il est vrai que c'est ce que l'état à fait croire... en oubliant les exceptions...).


[modifier] Nouveau Logo

EDF vit actuellement un changement d'identité visuelle. Je propose qu'on incorpore le nouveau logo EDF.

Celui-ci est libre de droit ? (et donc librement utilisable ?).


Le nouveau logo d'EDF n'a rien de "libre de droit" (cette expression à la mode ne désigne en réalité pas grand chose, d'ailleurs...): il s'agit d'une marque déposée et à ce titre protégée par le droit de la propriété intellectuelle. En conséquence, toute reproduction non autorisée s'analyse comme une contrefacon, sanctionnée au civil comme au pénal.

Il me semble que dans le cadre d'une utilisation "encyclopédique" un logo peut-être utilisé si son usage n'est pas détourné. Je me suis donc permis d'en ajouter la derniere version.--Pereubu 27 décembre 2005 à 10:25 (CET)

[modifier] Privatisation

Je pense qu'il faudrait diféfrencier deux articles, l'un avant et l'autre après le changement de statut et sauvegarder l'article en l'état d'avant le début de la privatisation. -Semnoz 9 décembre 2005 à 08:38 (CET)

[modifier] Light

http://www.nouvelobs.com/articles/p2158/a297634.html

Les sources doivent être ajoutées aux articles. Elles le rendent plus crédible :) Merci Plyd /!\ 17 mars 2006 à 11:10 (CET)

[modifier] nationalisation d'EDF en 1946

Qui pourrait me donner le nombre d'entreprises de gaz et d'électricité qui ont été nationalisées en 1946? D'après un petit fascicule dans le "Vivre EDF" spécial 60ème anniversaire. 200 entreprises de productions, 100 de transport, 1150 de distributions. ENviron 90% des français possèdent l'électricité chez eux au moment de la nationalisation. Il y est aussi rappellé que les anciens dirigeants des sociétés nationalisés n'ont pas été écartés. Pierre Simon, le premier président d'EDF exercait avant ses responsabilités dans le groupe de l'Energie industrielle. Les anciens actionnaires ont continué à percevoir jusqu'en 1999 1% sur les recettes à titre de compensation de la Nationalisation. De plus, contrairement à ce qui à été écrit par un intervenants, les employés d'EDf et de GDF n'ont jamais été des fonctionnaires et n'ont jamais du passer d'éxamens d'entrée dans la fonction publique.

[modifier] Concours

Je ne sais pas s'il existe encore un concours pour rentrer à EDF, mais je sais qu'en 1979 et 1980, j'ai bien passé des épreuves à Poitiers (nous étions plusieurs milliers de candidats) et que cela faisait plusieurs années que ces concours existaient.

À noter qu'il existait aussi bien pour rentrer (comme titulaire) à la Poste, à France Télécom ou encore à la SNCF tout comme à EDF une limite d'âge de 30 ans + 1 an par enfant. Cette limite d'âge (stupide !) a été récemment supprimée. Il existait donc bel et bien des conditions de recrutement. -

Il n'existe pas de concours à proprement parler. Dans mon cas, j'ai vu une annonce dans le journal, nous fûmes 1400 à répondre. La surprise d'EDF fut grande, l'année d'avant, avec une annonce similaire, ils n'eurent pas assez de réponses par rapport au nombre de places proposées et toutes les postulants de cette année là furent intégrés. Mais quand moi, j'ai postulé, il y eut 1400 réponses pour environ 50 places proposées. Ils ont sélectionnés 800 personnes d'après leur lettre de réponse. Ensuite, ils ont convoqué ces 800 personnes à une première journée de sélection. Ils ont sélectionner 300 candidats et ont fait une seconde journée de sélection. Ce qui a permis de sélectionner environ 50 personnes, 20 pour la centrale nucléaire de Cattenom et 30 pour celle de Fessenheim. Actuellement, la pratique est plutôt de sous-traiter à des cabinets de recrutement. Je connais plusieurs personnes qui sont entrées à EDF avec une simple entrevue avec un DRH ou un ingénieur. Mais, il n'est pas écrit dans notre statut qu'il faut ou pas faire passer un examen. Ceci, c'est pour la production. J'ignore si d'autres Directions d'EDF ont à certaines époques fait des concours pour ambaucher des gens. J'ai passé un concours pour entrer à la SNCF et l'esprit était totallement différent à ce que j'ai connu à mon entrée à EDF. Déja, à la SNCF le niveau demandé était le BAC (pour le concours que j'ai passé), j'étais le seul à n'avoir qu'un BAC et le niveau des questions était plutôt Bac+2, voire plus 3. Il s'agissait d'un coucours de type scolaire, sans aucune question sur le travail proposé. -

Il s'agissait d'un concours de type scolaire, sans aucune question sur le travail proposé : c'est tout à fait le type d'épreuves que j'avais passé en 1979 / 1980 : Français, mathématiques, un peu de problèmes électriques avec formules... mais à vrai dire très peu de rapport avec l'activité.

Pour ce qui est du recrutement dans une centrale nucléaire, quelques années plus tard (dans les années 80), j'ai lu une annonce dans la presse. J'avais postulé... et eu une réponse comme quoi les embauches auraient lieu sept ans plus tard... (la centrale était en construction).

[modifier] Sources et introduction

L'introduction mélange les notions france et EDF. La part de la production nucléaire dans le bilan électrique français et de 78 % en 2005 [2]

Le chiffre de 85 % est relatif à EDF seule comme le chiffre de 4.2 % concernant l'hydraulique. Il serait préférable d'adopter un point de vue unique. S'agissant d'un article sur EDF il serait préférable de prendre les chiffres EDF et non ceux du système France.

Modification du passage sur les données du mix énergétique qui est faux (ce sont les chiffres EdF appliqués à la France. Ajout des données groupes qui ne concernent pas que la France.
Suppression du passage sur l'évolution de la part du nucléaire et la réduction des énergies renouvelables, pour deux raisons :
    • L'engagement de l'UE concerne la France et non EdF. Il faut bien comprendre que la déréglementation + la privatisation ont changé la donne désormais on ne peut plus identifier EdF et l'Etat.
    • et même si on admettait qu'EdF doive en raison de sa taille, de son passé, de que sais je encore assumer des obligations particulières comme l'équilibrage du mix énergétique national; le raisonnement resterai erroné, car la variation des chiffres EdF ne correspond pas à la variation des chiffres France qui sont seuls probants vis à vis de l'engagement UE Kyoto.
Enfin je souhaite bien du plaisir à qui voudra établir les chiffres du groupe EdF en France, car ceci n'est plus lisible EdF SA n'intervient qu'en France (y compris les exports imports), les énergies renouvelables autres que celles héritées du passé comme la grande hydraulique sont portées par EDEV, mais les chiffres que celle ci publie sont mondiaux (essentiellement Europe) et le groupe lui ne publie qu'au niveau mondial. En bref les deux seuls données facilement atteignables concernant la France sont le mix d'EdF SA, mais qui ne représente pas toute la France, seulement la part EDF, et le mix national publié par RTE.

--Diderot1 3 décembre 2006 à 18:11 (CET)

[modifier] Publicité EDF

La publicité d'EDF qui utilise l'Île de Pâques… c'est n'importe quoi !!! L'argumentaire se base sur l'idée que toute la population et que tout les arbres aurait disparu… ce qui est totallement faux !!! C'est un total manque de respect de la part d'EDF envers un peuple qui vit en plein milieu de la nature… La colonisation leur a fait par contre beaucoup de mal !!! Sachant que l'idée sur laquelle ils se base est totallement fausse… est-ce que la publicité (respect de la nature) ne serait tout simplement mensongère ?

Une publicité n'a jamais eu vocation à refléter la vérité ! Laurent N. 4 mars 2007 à 22:25 (CET)

[modifier] Autres liens web concernant le sujet électrique

Cette partie contient des liens externes fourre-tout qui ne font pas honneur à l'article. Beaucoup de liens ne respectent pas les recommandations sur les liens externes dans Wikipédia. Est-ce que je suis seul à penser ainsi ? Laurent N. 4 mars 2007 à 22:28 (CET)

Les liens me semblent tous en rapport avec le secteur électrique. Certains sont parfaitement pertinents par rapport au sujet (EdF) d'autres sont plus lointain. Libre à toi de proposer d'autres sous catégorie pour que cela soit plus propre. --Diderot1 5 mars 2007 à 22:04 (CET)
Le problème est que nous ne sommes pas dans un article sur le secteur électrique mais sur une entreprise. Certains liens mènent à des problématiques générales sur l'énergie électrique et non sur EDF. Laurent N. 6 mars 2007 à 23:20 (CET)

[modifier] Vérifier la partie CE

Proposé par : --Bombastus 4 avril 2007 à 13:57 (CEST)>> signer ici <<

[modifier] Raisons de la demande de vérification

L'article manque de clarté sur qui finance (EDF? EDF et GDF? Toutes les entreprises du secteur énergétique et gazier?) et sur qui bénéficie des largesses de la CCAS (Salariés d'EDF ou salariés de EDF+GDF ou des IEG?) (en plus de la CGT et du PCF bien sur ;) ) Quelqu'un s'y connaissant peut vérifier?--Bombastus 4 avril 2007 à 13:57 (CEST)

la CCAS est une caisse pour le personnel des IEG et est censé profiter à tous les salariés des IEG (censé car des accords sont passés pour chaque entreprise). le financement de cette caisse est assez complexe dans la mesure ou elle ne couvre pas que les activitées sociales. EDF participe en trés grande partie au financement du fait de l'indexation au chiffre d'affaire du groupe.

[modifier] Discussions et commentaires

L'article me semble assez clair. IL s'agit de la CCAS qui est une instance commune à EDF et GDF. (1% élec + 1 % gaz). Les chiffres correspondent. les bénéficiaires sont les salariés actifs et inactifs des deux entreprises et leurs ayants droits. Il ne dit rien de plus.

En revanche il y a un point qui est faux et mal documenté c'est le passage entre parenthèses sur le 1% indemnitaire (ce n'est pas en plus c'est à la place). Les actionnaires des sociétés nationalisées ont pu choisir d'être payés en obligations indemnitaires émises par la Caisse Nationale de l'Energie sur une durée de 50 ans, et 1 % des recettes était consacré à bonifier le taux de ces obligations et à alimenter la prime de remboursement. Cette obligation s'est éteinte en 1996. La référence est la Loi du 8 avril 1946. --Diderot1 5 avril 2007 à 00:09 (CEST)

[modifier] Partie sur les négociations avec ENEL

Cette partie est disproportionnée en taille et en plus écrite avec les pieds. Je propose d'en faire un article autonome avec uen loupe qui vivra sa vie propre (à mon avis c'est déjà obsolète au 2/3) --Diderot1 8 juin 2007 à 22:20 (CEST)

[modifier] Compagnie Ivoirienne d'Electricité

Je n'ai rien contre la CIE, mais la présenter comme un concurrent d'eDF est un peu surréaliste. Qu'il s'agisse de la taille, de la zone d'intervention, ou des performances rien ne colle. Si on va par là le rapport de concurrence entre mobylette et General Motors était plus fort (parce qu'on peut acheter une mobylette plutôt qu'une Opel et que Opel c'est GM).

Ça n'est pas très sérieux, donc je pense que je vais supprimer cette référence d'ici quelque jours.

--Diderot1 23 juin 2007 à 22:38 (CEST)

[modifier] A recycler

La deuxième partie de la sous section politique énergétique de l'article edf est d'un niveau affligeant. L'allongement de la durée de vie pourrait à la rigeur être raccroché à cetet sous section à supposer qu'on décrive le lien logique depuis le titre., si c'est juste pour dire qu'eDF fait attention ce n'est pas d'un niveau suffisant pour un article encyclopédique. La citation détournée du slogan commercial est digne d'un news municipal (ma binette partout), elle est probablement déjà et fort heureusement pour son auteur oubliée de tous, et sera supprimée d'ici peu. --Diderot1 15 juillet 2007 à 16:26 (CEST)

[modifier] Intro à revoir

Le lien avec la page abonnés du monde n'est pas accessible par tous. Proposition de suppression. Le classement avec gazprom est sympathique mais assez incompréhensible.

  • on peut parler des sociétés ou des groupes (le résultat ne sera pas le même) de production/ transport/distribution d'électricité auquel cas gazprom en est exclu et de mémoire il y a au moins un japonais plus gros (CA, TWh, effectif)
  • On peut parler des sociétés du secteur de l'énergie, auquel cas il faut rajouter les entreprises pétrogazières et la seconde place n'a pas de sens, non plus que la première de gazprom
  • enfin il faudrait indiquer sur quel critère ce classement est établi (peut-être est-ce dans la source mais comme elle n'est pas accessible)

Bref cela ressemble à l'usual bullshit qu'on peut tirer des articles du monde. Je propose le retour à la version initiale. --Diderot1 2 septembre 2007 à 01:18 (CEST)

Pardon, au temps pour moi, je n'avais pas fait attention au fait que l'article n'est pas accessible à tous... J'ai changé la source et j'ai précisé le critère utilisé (capitalisation boursière). Disons que je pense qu'il est nécessaire de préciser en introduction qu'EDF n'est pas que le plus gros groupe national, mais aussi un des leaders mondiaux. Et plutôt que dire ceci comme je viens de le faire, je préfère donner une source et une référence (Gazprom). Frelaur 2 septembre 2007 à 01:57 (CEST)
Je reste assez peu convaincu par la capitalisation boursière comme critère
  • c'est fluctuant et reflète surtout les états d'âme des investisseurs : eDF n'est "passée" devant Total Elf Fina que récemment,
  • cela exclu les groupes non cotés (comme Sonatrach en Algérie)
j'ai également des interrogations sur l'échantillons de comparaison,
  • si on met un pétrogazier comme gazprom pourquoi pas exxon ou shell ou bp ?
  • de plus il n'y a pas de raisons particulières de comparer eDF à gazprom dans l'absolu, c'est en l'occurrence une ruse de présentation des gens qui veulent vendre la fusion gdf suez, pour dire « regardez en donnant gdf à suez on a un truc qui est gros mais pas trop, on est à peu près comme le plus gros allemand qui en l'occurrence ne fait pas que de l'électricité et du gaz, et on est derrière le gros français et le grand méchant loup gazprom ». Ce qui est sous entendu c'est qu'il n'y pas de danger à faire cette fusion et qu'en plus on est dans les bonnes tailles, tout en évacuant par le silence le projet concurrent d'une fusion edf-gdf plus facile à réaliser, plus respectueux des intérêts patrimoniaux des contribuables, mais dont le gouvernement ne veux pas entendre parler parce qu'il constituerait un ensemble public puissant. En fait l'exemple que vous donnez est une comparaison de gdf-suez, pas d'edf, avec d'autres, qui plus est orientée (vous n'y êtes pour rien, c'est le journaliste qui recopie servilement la fiche du service de com de suez).
Je comprends bien votre souhait de montrer qu'eDF est un gros électricien, un des plus gros au monde même. Dans ce cas les "bons" critères sont la puissance installée, l'énergie produite ou le nombre de clients. Et il faut faire un peu de recherche.
En europe, je n'ai pas de doute :
  • eON 400 Twh en Electricité et 960 TWh en gaz est plus petit qu'EDF en électricité et deux fois plus gros que GDF en gaz[1] ;
  • RWE avec 310 TWh vient ensuite[2] ;
  • Enel avec 42 GW (pas d'accès facile aux kWh) installés ne représente qu'un gros tiers d'EDF[3] ;
  • Electrabel (c'est à dire Suez) pèse 150 TWh[4], soit un petit quart d'EDF, et encore grâce au don fait, par les gouvernements précédents, d'Energie du Rhône ex-CNR pour une petite vingtaine de TWh ;
  • Endesa a une taille équivalente à celle d'electrabel (150 TWh[5], mais le chiffre est un peu ancien et comporte sans doute une part importante de développement internationaux, dont la participation dans SNET ex CdF un autre don du gouvernement français sur l'autel du grand marché européen) ;
  • les entreprises américaines d'électricité sont toutes des naines (avec 15 GW d'installé vous êtes gros au USA !) ;
  • la plus grosse russe doit être mosenergo d'une taille proche d'electrabel [6] ;
  • pour l'asie je n'ai pas de chiffre précis, je pense qu'on doit trouver en chine des entreprises "régionales" d'une taille proche d'EDF ;
Tout ça pour dire qu'il y a d'autres moyens de préciser la taille d'EDF, que d'utiliser une source, non fiable et non pertinente.
--Diderot1 2 septembre 2007 à 12:15 (CEST)
Ok, je comprends ton argumentation. Alors je te propose de modifier toi-même l'intro, vu que tu as l'air de t'y connaître bien mieux que moi. Il semble d'après les info que tu donnes qu'EDF soit le 1er producteur européen (voire mondial) d'électricité, est-ce juste ? Si l'on pouvait en plus avoir une source fiable et des chiffres pour appuyer cette affirmation, ça serait parfait ;-) En tout cas, je pense que c'est une information qui mérite sa place en intro. Mais tu as raison, la quantité d'énergie produite est certainement un meilleur critère que la capitalisation boursière. Es tu ok pour modifier l'intro ? Frelaur 2 septembre 2007 à 12:42 (CEST)

[modifier] EDF et Groupe EDF

Est-ce que quelqu'un pourrait expliquer clairement dans l'article la distinction entre l'entreprise "EDF" (SA) et le "groupe EDF" ? Peut-etre meme qu'un nouvel article "Groupe EDF" pourrait etre cree si vous pensez que ca en vaut la peine, meme si celui-ci serait certainement bien plus court. Mais cela permettrait de mettre les choses au clair. Le groupe EDF a-t-il d'autres filiales qu'EDF ? J'avoue etre perdue, si quelqu'un pouvait m'aider... Par exemple, l'entreprise cotee au CAC40, c'est le groupe EDF ou EDF SA ??

Et j'ajoute une question subsidiaire : le nom officiel est-il "Électricité de France" ou "EDF" ? Sur leur site internet, la denomination "Électricité de France" n'apparait jamais j'ai l'impression (contrairement a Gaz de France par exemple).

Frelaur 2 septembre 2007 à 14:07 (CEST)

D'une façon générale la plupart des articles sur les grandes entreprises, mélangent allègrement les deux notions.
La première est juridique et d'acception précise, la seconde est plus vague et d'inspiration comptablo financière (un groupe c'est ce qui est consolidé).
Pour EDF le gros morceau reste évidemment la maison mère qui porte l'essentiel des activités, mais déjà par exemple celle ci ne comprend plus l'activité de transport qui a été filialisée et bientôt plus l'activité de distribution qui va l'être.
Pour résumer, la maison mêre c'est EDF SA, elle porte actuellement les activités de production, et de distribution, elle a une filiale de transport RTE, et demain une ou plusieurs filiale de distribution. Elle porte également dans ses comptes les participations qu'elle détient via EDF International (une société filiale à 100 %) dans de multiples sociétés étrangères : London Energy, EnBW...
Ce qui est coté c'est toujours les actions d'une société, donc de la maison mêre. Mais en terme de valorisation de cette action, il est tenu compte de l'ensemble des intérêts économiques contrôlés donc du groupe, qui intègre de façon plus ou moins resserrée, les filiales.
Pour l'appellation, EDF est un nom de marque, la raison sociale qui figure sur les documents officiels est Electricité de France Société Anonyme. Pour Gaz de France, l'appellation autre fois en vigueur GDF (également une marque) n'est plus utilisée depuis que Francis Gutman, ancien président dans les années 90 en avait interdit expressément l'usage. Le pauvre monsieur, avait été chaleureusement remercié par un maire d'une petite commune, où le réseau de gaz venait d'être mis en service en ces mots : « Je remercie EDF (sic) de nous amener le gaz ! ». La grande proximité phonétique des deux acronymes, le fait que la distribution, principal interlocuteur des populations, était mixte, entretenait la confusion entre les deux entreprises. Comme tous les dirigeants d'entreprise ce monsieur avait un égo démesuré et avait donc pondu illico une note de service interne interdisant l'usage de GDF au profit de Gaz de France, le genre de décrêt imbécile dont les dirigeants raffolent, et que les subordonnés serviles appliquent en en oubliant l'origine.
--Diderot1 2 septembre 2007 à 17:24 (CEST)
hehe, tres interessant de connaitre ces petites anecdotes, merci ! Sinon, ne crois-tu pas que ce que tu viens d'ecrire sur la distinction entre EDF et le groupe aurait sa place dans l'article (voire peut-etre pourrions nous avoir deux articles distincts) ? J'ai conscience que la confusion existe pour de nombreux autres articles de grandes entreprises, mais ce n'est pas une raison pour ne pas l'eclaircir dans le cas d'EDF ! (et de meme pour l'intro, n'hesite pas a la modifier en accord avec notre discussion ci-dessus !). Frelaur 2 septembre 2007 à 18:15 (CEST)

[modifier] Notes et références

  1. http://www.eon.com/en/downloads/GB_E_komplett_geschuetzt_2006.pdf
  2. http://www1.rwecom.geber.at/factbook/en/servicepages/downloads/files/electricity_sales_volume_rwecom_fact07.xls
  3. http://www.enel.it/attivita_en/energia/
  4. http://www.electrabel.be/corporate/aboutelectrabel/keyfigures_en.asp
  5. http://www.endesa.es/Portal/en/our_business/electricity/default.htm
  6. http://www.mosenergo.ru/eng/download/r38_year_2006_eng.pdf