Utilisateur:VonTasha/Bac à sable

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Sommaire

[modifier] Calanoida

Doc sur Calanoida

Description. Head. Rostrum present or absent; eyes absent; eyes naupliar eyes present, or naupliar eyes absent. Antennules (antenna 1) uniramous; geniculate in males; peduncle and flagellum indistinguishable; exopod well developed, whip-like, with 21-27 articles. Antennae (antenna 2) biramous; with 10 articles; endopod with 4 articles. Mandible biramous; palp present, or absent. Maxillipeds, 1 pair, or 2 pairs; uniramous. Thorax. Carapace absent. Thorax and abdomen differentiated, boundary between fifth pedigerous somite and genital somite (gymnoplean tagmosis). Peraeopods (legs) 5 pairs; biramous; non-phyllopodous; undifferentiated (simple); each article joined by intercoxal sclerite; anterior peraeopods (swimming legs) with 1 robust seta on outer margin of exopod article 1. Abdomen with 5 somites (or fewer). Epimera absent. Pleopods absent. Uropods well developed, 1 pair, positioned terminally or subterminally; rami absent; subrectangular to subquadrate. Telson absent.

Larval development. Metamorphic. Embryos carried in paired or single sacs attached to first abdominal somite, or eggs shed or deposited externally.



[1] [1]

[modifier] albatros tete grise

This species is in sharp decline in all monitored populations, with an estimated overall decrease of 48% over three generations (90 years). As with many other albatross species, this decline is largely owing to mortality on longline fisheries (1). In Australian waters up to approximately 400 individuals (over 80% juvenile) were killed annually between 1989 and 1995 by Japanese longliners. In the Indian Ocean an estimated 10,000-20,000 albatrosses, mainly the grey-headed albatross, were killed in 1997 and 1998 by illegal or unregulated fishing for Patagonian toothfish (Dissostichus eleginoides). In contrast, the long-term decline at Cambell appears to be caused predominantly by environmental factors, with rising sea-surface temperatures thought to be causing food shortages (7). Squid fisheries may also impact on populations in some areas (3).

back to topConservation The grey-headed albatross is listed on Appendix II on the Convention on the Conservation of Migratory Species (CMS), which states that these species would significantly benefit from international cooperation (4). It is also on Annex 1 of the Agreement on the Conservation of Albatrosses and Petrels (ACAP), which seeks to coordinate activity to mitigate known threats to albatrosses (8). Population monitoring and foraging studies are being undertaken at South Georgia, Diego Ramirez, Marion, Macquarie and Cambell Islands. Macquarie and Cambell are World Heritage Sites and the Prince Edward Islands are a special Nature Reserve (7). As with all migratory species, however, it is unlikely that conservation action by one country acting independently of other nations will be fully effective, and clearly international action is required (8). Crucially, progress needs to be made in preventing entanglement in fishing gear and bycatch by longline fisheries if this albatross is to flourish once more.


[modifier] Chaussée : Appearances in popular culture

  • The Causeway appears on the cover of the Led Zeppelin album Houses of the Holy designed by Hipgnosis. Its surrounding waters formed the background for the cover of The Stone Roses (album) (as part of John Squire's painting 'Bye Bye Badman').
  • German dance group Scooter released a B-Side entitled "Giant's Causeway" on the 2003 single "Maria (I Like It Loud).
  • On film it was used as a backdrop by Marillion for their video "Easter", and by Dave Finlay in a filmed vignette shown ahead of his WWE debut. It also features in the third film of Matthew Barney's The Cremaster Cycle, and in a regionally aired BBC Two Northern Ireland station ident.
  • H.P. Lovecraft referred to the Causeway in his story of Antarctic horror, At the Mountains of Madness.
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55°15′00″N 6°29′07″W / 55.25, -6.48528


[modifier] Foulque d'Amérique

Identification : La foulque d'Amérique a la tête et le cou noirâtres, avec une petite plaque frontale brun-roux sur le front. Le bec est blanchâtre avec une bande foncée près de l'extrémité. Son corps est gris ardoise. Les sous caudales extérieures sont blanches, alors que les intérieures sont noires. Les pattes sont gris verdâtre chez les immatures, à jaune ou orangé chez les adultes. Elles sont puissantes avec de longs doigts pourvus de lobes. Le juvénile est clair. Le premier hiver ressemble davantage à l'adulte, mais il est encore clair avec les extrémités des plumes blanchâtres, spécialement dessous.

Chant : Le cri typique de la foulque d'Amérique est un « krok » enroué. Ils ont une grande variété de sons, le plus commun étant calme, mais avec des gloussements et des caquètements enroués.

Habitat : La foulque d'Amérique vit près de l'eau. Elles aiment les eaux peu profondes des lacs d'eau douce, des étangs et des marais, mais quelquefois, on peut les voir dans des eaux saumâtres. Elles peuvent vivre aussi sur les étangs des parcs urbains et des parcours de golf. Distribution : en été, la foulque d'Amérique se trouve dans le nord des Etats-Unis (New York et Massachusetts) et au sud du Canada. En hiver, on la trouve dans la partie sud des Etats-Unis, depuis la Californie jusqu'en Floride. On a pu observer quelques oiseaux aussi loin que l'Alaska ou l'Amérique du Sud.

Comportements : La foulque d'Amérique est un oiseau migrateur, et elle migre en groupes. La migration est basée sur les conditions climatiques et par conséquent, est très irrégulière. La foulque d'Amérique est grégaire. C'est le seul membre de cette espèce à vivre en groupes. Elle possède une grande variété de bruits et de sons, depuis le grognement jusqu'au caquètement, pour communiquer, et pour menacer les éventuels prédateurs. La foulque d'Amérique se nourrit comme un canard barboteur, flottant sur l'eau et plongeant son bec sous la surface. Elle glane aussi de la nourriture sur le sol, et capture des insectes, des escargots, et arrache des baies et des feuilles aux plantes aquatiques. La parade nuptiale montre le mâle poursuivant une femelle, pédalant sur l'eau avec la tête tendue vers le bas et les ailes et la queue dressées. Les sous-caudales blanches sont déployées. Si la femelle est harcelée, elle plonge pour échapper aux avances du mâle, mais si elle est d'accord, elle aussi se met à parader en déployant ses sous-caudales. Le processus commence comme un grand spectacle. Les deux adultes démarrent, paradant en face l'un de l'autre. Ils commencent dans l'eau et finissent sur la terre ferme. La femelle adopte une position de soumission, accroupie avec la tête baissée, comme une invitation envers le mâle. Elle garde cette position pendant l'accouplement.

Vol : Pour s'envoler, la foulque d'Amérique doit courir sur l'eau en battant furieusement des ailes avant de commencer à s'élever. Ses ailes arrondies rendent cet acte difficile. Mais une fois en l'air, elle vole aussi bien que n'importe quel oiseau.

Nidification : La foulque d'Amérique niche sur les eaux douces des lacs, étangs, rivières et marais. Les deux adultes sélectionnent un site, sur l'eau, dans la végétation haute qui le cachera. Le nid est construit dans la végétation, caché sur le sol près de l'eau, juste au bord, ou flottant sur l'eau. Tous les nids ont une rampe d'accès jusqu'à l'eau qui rend les allées et venues des poussins plus faciles. Le nid est une coupe, faite de tiges de plantes sèches, et tapissé de fins brins d'herbes, sur une plate-forme de végétation aquatique. Cette plate-forme est fixée aux plantes proches. La femelle dépose 8 à 12 oeufs rosâtres, tachetés de brun noirâtre. L'incubation dure environ 21 à 25 jours, assurée par les deux parents. Les poussins naissent couverts de duvet épais et long, ressemblant à des poils dressés sur le dessus. La calotte est nue et rougeâtre, la peau sur les yeux est bleue, le bec est rougeâtre avec le bout blanc, les pattes sont noirâtres. Ils sont capables de se débrouiller seuls très rapidement après l'éclosion. Ils obtiennent leur plumage à l'âge de 49 à 56 jours, parfois plus tard. Avant cette période, les parents les nourrissent et les surveillent, se partageant les jeunes entre eux. Il arrive que deux couvées aient lieu dans une saison.

Régime : La foulque d'Amérique est omnivore, et consomme des invertébrés variés, des plantes, des algues, et de petits vertébrés comme les poissons et les têtards. Occasionnellement, la foulque d'Amérique mange les oeufs d'autres oiseaux aquatiques, et pirate la nourriture des canards.

Protection / Menaces : La foulque d'Amérique adulte est la proie du balbuzard pêcheur et du pygargue à tête blanche. Les oeufs et les poussins sont davantage la proie des ratons laveurs, des renards, des coyotes, des tortues voraces (chelydra serpentina) et d'autres petits prédateurs. La foulque d'Amérique est une espèce abondante et largement répandue. Elle n'est pas en danger.


Fiche créée par Nicole Bouglouan Sources - Version imprimable Mis à jour le 18/12/2007 05:31:03 - © 1996-2007 Oiseaux.net

[modifier] Martin-chasseur du Sénégal

Halcyon senegalensis

Ordre : Coraciiformes

Famille : Alcédinidés  ;

Biométrie : Taille : 21 à cm Envergure : Poids :


Synonymes : Alción del Senegal (es), Martin pescatore di bosco (it), Senegalliest (al), Senegalese ijsvogel (nl), Woodland Kingfisher (en)

Identification : Cet oiseau de taille moyenne présente un dessus bleu verdâtre, une tête et une nuque gris clair nuancé de bleu. Les scapulaires sont noires ainsi que l'extrémité des primaires qui forme une fine bordure. Les plumes du dessus de la queue sont bleues. L'ensemble de parties supérieures n'est pas sans présenter quelques ressemblances avec celles du martin-chasseur à tête brune, autre espèce africaine dont l'aire de distribution n'est pas très éloignée.Le dessous affiche une coloration blanc grisâtre assez uniforme de la gorge jusqu'aux sous-caudales. C'est le seul martin-chasseur de l'Est africain qui présente un bec bicolore : Le maxilaire supérieur est rouge alors que le mandibule inférieur est noir. Les tarses et les pieds sont gris-brun, l'iris brunâtre. La face est striée par une bande noire qui prend naissance à la base du bec et rejoint la bordure de l'oeil.

Habitat : Le martin-chasseur du Sénégal n'est pas strictement dépendant de la présence de l'eau. Il vit aussi bien dans les savanes boisées que sur le bord des rivières, des lacs ou des mangroves. La sous-espèce fuscopilea, qui est la plus centrale et la plus sédentaire vit dans la forêt équatoriale qui se présente comme une masse initerrompue de très hauts arbres d'au moins 40 mètres. La végétation y est d'autant plus dense que troncs et ramures sont réunis par un enchevêtrement de lianes, de plantes aériennes et de mousses. Sous-espèces (3) : Halcyon senegalensis cyanoleuca, Nord-Ouest de la Tanzanie, Sud de l'Angola, Botswana and Nord-Est de l'Afrique du Sud - Halcyon senegalensis fuscopilea - de la Sierra Leone jusqu'au Sud du Nigeria, Fernando Póo et le bassin du Congo. Halcyon senegalensis senegalensis, race type, de la Sénégambie en direction de l'Est jusqu'à l'Ethiopie et du Sud jusqu'au Kenya, Nord-Ouest de la Tanzanie, Rwanda et Burundi

Comportements : Le martin-chasseur du Sénégal ne manifeste guère sa présence dans le milieu de la journée, car il reste immobile dans les feuillages, à l'abri du soleil. en revanche, par temps pluvieux et couvert, il est beaucoup plus actif et on peut l'apercevoir facilement. La voix de cet oiseau est caractéristique, c'est une sorte de trille aigü qu'il répète souvent pendant la période de reproduction. Le martin-chasseur du Sénégal est l'un des alcidénidés africains migrateurs. En effet les espèces situées au Nord et au sud de l'équateur, au delà du Huitième dégré de latitude Nord et sud, effectuent des déplacements saisonniers alors que celles qui sont situées à l'intérieur de la zone équatoriale propre sont vraiment sédentaires. Les migrateurs prennent leur envol pendant la nuit et voyagent en solitaire ou en petits groupes lâches.

Nidification : La saison de nidification va d'Octobre à janvier dans le nord de la Rhodésie et s'étend de Novembre à Fevrier au Transvaal. Le nid est situé au fond d'un trou creusé dans la berge d'une rivière, mais l'oiseau adopte aussi les anciens nids de pics ou de barbus dazns les arbres, utilise parfois des termitières arboricoles. dans les talus, le tunne lmesure de 80 centimètres à un mètre de long . Des oeufs blancs, au nombre de 3 ou de 4, sortent les osillons qui sont couverts d'un plumage gris tacheté de brun.

Régime : Perché à faible hauteur, le martin-chasseur du Sénégal chasse à l'affût, attendant le passage d'une proie. Il s'agit généralement d'insectes capturés en plein vol selon une technique identique à celle des gobe-mouches. Parmi les espèces capturées, on a relevé des coléoptères, des libellules, des mantes et des criquets. Mais l'oiseau mange aussi des lézards, des jeunes oiseaux ou des petits rongeurs.

Fiche créée par Daniel Le-Dantec Sources - Version imprimable Mis à jour le 18/12/2007 05:31:03 - © 1996-2007 Oiseaux.net



[modifier] Puffin yelkouan

Certains ont des motifs foncés au niveau des axillaires et des sous caudales. Son bec est noir et légèrement recourbé au bout. Chez cette famille, les narines tubulaires sont très développées. Les deux sexes sont semblables mais Il est simple de les distinguer au chant.

Chant : Le chant des mâles est différent de celui des femelles : en effet le chant est composé de deux parties. La seconde partie du chant chez le mâle est plus courte et plus aiguë.


Comportements : Ils pêchent collectivement et forment des radeaux au large (rassemblement). Leur passage en masse au soleil couchant est appelé la rivière à Puffins sur les îles d'Hyères.

Vol : Le Puffin yelkouan vole au ras de l'eau. Si la mer est calme et plate, il va alterner quelques battements d'ailes (3 ou 4) avec un vol plané. Son vol est droit dans ce cas. En temps venté avec une mer bien formée, il utilise les courants aériens formés par les mouvements de surface de la mer pour pouvoir se déplacer sans battre des ailes. Son vol ressemble alors à celui des albatros. En turc yel = vent et yelkovan = girouette (rappel de son type de vol).

Protection / Menaces : Le Puffin yelkouan est en Annexe I de la Directive Oiseaux. Il fait partie des espèces les plus menacées en France et à l'échelle européenne. De nombreux programmes visent actuellement à rétablir cette espèce victime des prédateurs introduits sur les îles méditerranéennes (chats, rats) et de la destruction de leur habitat (développement du tourisme côtier, urbanisation du littoral). Des actions sont menées en France (îles d'Hyères et îles de Marseille) et en Europe (Malte, Espagne). S'il est possible de mener des actions de protection efficaces sur les sites de reproduction (piégeage des prédateurs, pose de terriers artificiels, limitation de l'accessibilité au site de nidification, campagne de sensibilisation...), il est plus difficile d'intervenir en mer. Chaque année des centaines d'individus meurent pris dans des filets de pêche et des palangres. Les estimations des populations sont très variables (entre 10 000 et 50 000 couples) avec de gros points d'interrogations pour la Grèce et la Turquie. En France, les îles de Marseille abritent 40 à 50 couples et les îles d'Hyères plus de 500 couples avec une population importante sur l'île militaire du Levant (interdite au public). Les actions menées au sein du Parc National de Port-Cros commencent à montrer des signes d'amélioration (nombre de couples en augmentation, meilleur succès de reproduction...).