Vert-le-Grand

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Vert-le-Grand
Blason de la commune.
Carte de localisation de Vert-le-Grand
Pays France France
Région Île-de-France
Département Essonne
Arrondissement Arrondissement d'Évry
Canton Canton de Mennecy
Code Insee 91648
Code postal 91810
Maire
Mandat en cours
Jean-Claude Quintard (UMP)
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes du Val d'Essonne
Latitude
Longitude
48° 34′ 23″ Nord
         2° 21′ 31″ Est
/ 48.5730555556, 2.35861111111
Altitude 54 m (mini) – 121 m (maxi)
Superficie 15,93 km²
Population sans
doubles comptes
1 911 hab.
(1999)
Densité 119 hab./km²

Vert-le-Grand est une commune française, située dans le département de l'Essonne et la région Île-de-France.

Ses habitants sont appelés les Grandvertois.

Sommaire

[modifier] Géographie

Vert le Grand est un village d’île de France situé sur les plateaux agricoles du Hurepoix. A une distance de 34 km de Paris Porte d’Orléans, dans le département de l’Essonne,Vert le Grand appartient au canton de Mennecy et à la communauté de commune du Val d'Essonne Les différents accès pour rejoindre Vert le Grand : R.N.20 Paris-Orléans, sortie La Norville Autoroute A6 sortie nº 7 Evry, direction Bondoufle Francilienne, sortie nº39 Brétigny-s/Orge et sortie nº37 direction Bondoufle S.N.C.F. - R.E.R. ligne C gare de Brétigny-s/Orge, R.E.R. ligne D gare de Ballancourt-s/Essonne

[modifier] Histoire

Les collines situées au Nord-Est de la commune font partie du Massif de Fontainebleau, et ont constitué un lieu privilégié d'habitation depuis la préhistoire. La découverte de gisements paléolithiques sur la butte de Montaubert, dont un biface acheuléen en grès et un vase protohistorique, semble attester l'ancienneté de la présence de l'homme sur ce domaine. Des vestiges gallo-romains révèlent la présence d'habitants dans l'antiquité. Le village existe quand à lui depuis plus de 14 siècles, la découverte dans les années 70 d'un cimetière mérovingien en plein centre témoigne cette antériorité. Le village est signalé dès le XIe siècle dans les archives du prieuré de Longpont : il est à cette époque partiellement en possession de Guy de Montlhéry et de sa femme Hodierne. A plusieurs reprises, le domaine est donné aux religieux du prieuré. Braseux et Montaubert deviennent des seigneuries qui sont, plus tard, rattachées au village. La diversité des seigneurs et des établissements ecclésiastiques qui possèdent tour à tour le domaine conduit à distinguer 2 entités : un grand Ver et un petit Ver. Pendant longtemps, Valgrand et Valpetit désignent respectivement la grande et la petite vallée. De nombreuses maisons ou bâtiments de ferme existent quasiment sans retouche depuis 400 ans et certaines caves au cœur du village ont plus de 1000 ans d'âge. La plupart des grandes demeures du village ont été habitées dans le passé par des personnages historiques. Vert accueille Philippe de Valois en 1313, et le chancelier Michel de l'Hospital y vit vers la fin de sa vie, Monsieur de Beaumarchais et bien d'autres dont un roi de France et quelques rois étrangers en exil ont séjourné dans le village..

En 1642, la seigneurie est érigée en baronnies. Aux XVIIIe et XIXe siècle, Vert-Le-Grand devient un lieu de villégiature privilégié pour les riches parisiens (comme Victor HUGO), comme en témoignent plusieurs demeures bourgeoises et châteaux. Au début du XIXe siècle, l'une des buttes de la commune porte un télégraphe optique, détruit en 1850. A la fin du XIXe siècle, la commune est composée d'un bourg, du hameau de Berthault, du domaine de la Saussaie et des trois grandes fermes que sont Braseux, Montaubert et Les Noues. Du château de la Saussaye, brûlé à l'époque de la révolution, il reste de magnifiques dépendances dont une tour carrée d'Ile-de-France, des douves et un parc aux arbres bicentenaires.

L'activité de la commune est depuis toujours agricole : aujourd'hui 80% des terres sont occupées par des terres cultivées. L'église actuelle date du XIe, XIIIe et XVIe siècle. Elle possède l'un des plus haut clocher (32 m) de la région, après celui de Mennecy. De vieux lavoirs et des fontaines ajoutent au charme de l'endroit.

[modifier] Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
2001 en cours Jean-Claude Quintard UMP
Toutes les données ne sont pas encore connues.

[modifier] Démographie

Évolution démographique
1962 1968 1975 1982 1990 1999
801 828 1248 1282 1477 1911
Nombre retenu à partir de 1968 : Population sans doubles comptes

[modifier] Jumelage

Idanha-a-Nova Histoire d'un jumelage

Le 28 Septembre 1996 étaient signés à Idanha-a-Nova (prononcer "IDAGNA") les actes officiels attestant du jumelage des communes d'Idanha-a-Nova et de Vert le Grand. Mais pourquoi un jumelage avec le Portugal, et pourquoi Idanha-a-Nova….comment ces deux communautés se sont elles rencontrées. Les années 70 ont été en île de France propices à la réalisation de beaucoup de cité pavillonnaires, l'amélioration du pouvoir d'achat permettant à des jeunes ménages d'accéder à la propriété. Vert le Grand n'échappait pas à la règle, et le lotissement du "Guichet" fut une réalisation de ce type. Mais pour construire, il faut des bâtisseurs, il se trouve que dans le même temps le Portugal soumis à un régime politique peu progressiste, avait du mal à nourrir ses enfants, et que beaucoup de ceux ci allaient gagner ailleurs le pain qu'ils ne pouvait obtenir dans leur pays. Il se trouva donc qu'une communauté importante de natifs de Idanha-a-Nova, et de sa région vint travailler à la réalisation du lotissement de Vert le Grand. Bien sur un certains nombre de ceux là s'installèrent et fondèrent une famille à Vert le Grand. Et voilà, on à presque tout dit…. On ajoutera quand même, que le soir dans les cafés Grandvertois ou le week-end sur les stades de foot, jeunes Portugais et Français se rencontraient, discutaient, les un donnant aux autres l'envie de venir à leur tour découvrir leur bien jolie région. C'est presque naturellement que les premiers "échanges" se firent par l'intermédiaire du club de football, ce sport constituant une passion commune. En 1995 enfin, la municipalité voulut officialiser ces liens du cœur, et proposa le jumelage des deux communautés. La commission jumelage fut chargée de concrétiser ce désir dans les faits Une exposition sur le Portugal en général et sur Idanha-a-Nova et sa région fût donc organisée. Cette manifestation reçut le soutien actif de l'ambassade du Portugal, et permit en associant images, musiques et même gastronomie de montrer aux Granvertois un peu de ce qu'il pourrait découvrir plus tard, s'ils désiraient s'associer au prochain jumelage. Le 10 Avril 1996 naissait le comité de jumelage Idanha-aNova - Vert le Grand, la suite vous pouvez la vivre avec nous en rejoignant le comité de jumelage.

Découvrir idanha-a-nova.

Ville, préfecture de Région, composée par l7 paroisses, la deuxième plus grande du pays en termes géographiques, couvrant 1413 km². On ne connaît pas vraiment les origines de cette ville mais on pense que la construction de son château, en 1187, par Gualdim Pais, maître des Templiers, constitue une date importante. En 1206, le roi Sancho I, l'éleva à ville et afin qu'on la distingue de l'ancienne ville Idanha-a-Velha ( Egitânia ), il la nomma Idanha-a-Nova. Les Templiers furent chargés de son administration et le roi Manuel I lui accorda une nouvelle charte en 1510. Ses terres étant fertiles, elle fut en d'autres temps le cellier de cette région, la Beira Baixa, même si aujourd'hui les intérêts des agriculteurs vont vers d'autres types de production comme le tabac, la tomate, le blé...

Où se situe idanha ?

Dans la région de Beira Baixa, dans le district de Castelo Branco et à la frontière avec l'Espagne ( Extremadura ), et les régions de Segura et Termas de Monfortinho. Idanha-a-Nova est à 36 Km de Castelo Branco, 286 Km de Lisbonne, 334 Km de Porto, 231 d'Evora, 132 Km de Cáceres et 320 Km de Madrid.

Wingham

Histoire d'un jumelage

Dés son installation en 1989, le conseil municipal a engagé une réflexion sur les possibilités d'associer notre village à une autre commune d'Europe. Beaucoup d'idées furent avancées, mais celle qui retint les suffrages fut un jumelage avec un village anglais de dimension similaire à Vert le Grand. Un groupe de travail fut constitué, des petites annonces furent placées dans un certain nombre de journaux anglais. En 1991, quelques réponses étaient parvenues, il fut décidé d'une mission sur place, ils partirent à trois (JC.Branville, M.Ligonnet, et A.Watt). Adher Watt anglais d'origine installé à Vert le Grand depuis de nombreuses années, n'était sans doute pas le moins motivé pour voir s'établir des liens avec un village d'outre Manche. En fait la mission en elle même fut un peu décevante, sur le chemin du retour, avant d'embarquer, ils passèrent la nuit dans un village entre Canterburry et Douvres. Le matin, ils firent une petite promenade dans les rues, et découvrirent un endroit plein de charme et de caractère, vous l'aurez deviné, ils étaient tout à fait par hasard à Wingham. A leur retour, Adher contacta la mairie du lieu en soumettant l'idée d'un jumelage avec Vert le Grand. En fait Wingham n'était pas particulièrement demandeur d'un jumelage avec un village français, mais petit à petit, l'idée fit son chemin, soutenue avec force par quelques personnes en particulier Ms Margaret Richards secrétaire du "parish council" (sensiblement équivalent à notre conseil municipal). Enfin, en 1993, après un vote de la municipalité et une consultation de la population, notre équipe, fut invitée à assister à une réunion du conseil au cours de laquelle le principe du jumelage était adopté à l'unanimité. Après l'acceptation réciproque du jumelage par le conseil municipal de Vert le Grand, les signatures officielles des actes attestant de notre jumelage eurent lieu en Juin 1994 à Vert le Grand, et en Novembre de cette même année à Wingham. De part et d'autre, des comités de jumelage furent constitués, dont la mission était de dépasser les mots et les idées, et de mettre en place concrètement les différentes possibilités d'échanges et de découvertes. Depuis de nombreuses rencontres eurent lieu, au moins une visite de part et d'autre chaque année, avec à la clé de grandes ballades ensembles, de très conviviales soirées, de très douloureuses séparations, et des liens qui se tissent de famille à famille. Beaucoup de choses sont encore à faire pour ces deux jolis villages d'Europe qui ont décidé de faire un bout de route ensembles, car un jumelage est un édifice qui se construit tranquillement si l'on désire qu'il soit solide.

Aujourd'hui, Wingham - Vert le Grand, c'est du solide. Decouvrir Wingham.


Wingham, avec ses larges rues bordées d'arbres et ses vieilles maisons noires et blanches, est un village plaisant à visiter, et à vivre. Mais il est également intéressant en raison de son passé et de ses liens étroits avec l'histoire, parce que beaucoup de ce passé peut encore être vu. Il est situé là où les dernières pentes des collines du nord, se fondent avec la plaine. Le sol est riche, et Wingham a été un modèle pendant beaucoup de siècles. Wingham a certainement été occupé durant l'âge de pierre, mais aussi par les tribus celtiques qui sont entrées en Grande-Bretagne en venant du continent et ont établi dans le Kent leur civilisation. On traversera pour arriver à Wingham une campagne verdoyante et riche ça et là de petits hameaux apparaissent dans le lointain, attention les routes sont étroites et la circulation est à gauche. le village de Wingham est distribué de part et d 'autre de la A 257 un peu comme l'était Vert le Grand avant que n'existe la déviation. tout autour de Wingham c'est la campagne, une campagne vallonnée à découvrir lors de belles ballades a pied.

Une circulation importante existe sur la a 257 qui devient en partie "High street" en passant dans Wingham il faudra être prudent en traversant cette voie et, en particulier faire attention aux sens de circulation inversés.

Où se situe Wingham

De l'autre cote du "channel", la ou se trouve Wingham, c 'est le Kent, le comté de Kent. le comté est divise en districts, Wingham appartient au district de Douvres. Le district de Douvres regroupe environ trente paroisses Wingham est l 'une de ces paroisses.

Les trois grandes villes du district sont Douvres, Deal & Sandwich

[modifier] Nature et environnement

   La chasse

La pratique de la chasse, activité à caractère environnemental, culturel, social et économique, participe à la gestion durable du patrimoine faunistique et de ses habitats. Investie par la Loi " Chasse " de juillet 2000, la Fédération Nationale des Chasseurs propose une charte nationale de la chasse.

Celle-ci expose les principes d'un développement durable de la chasse et sa contribution à la conservation de la biodiversité. Ce document établit un code du bon comportement du chasseur et des bonnes pratiques cynégétiques mises en œuvre par chaque Fédération Départementale des Chasseurs et ses adhérents. Activité authentique et conviviale, la chasse d'aujourd'hui est un Art de vivre fondé sur la recherche, la poursuite et la capture d'un gibier dans son milieu. Le chasseur de France se reconnaît ainsi dans les principes ci-dessous énoncés.

Curieux de nature et héritier d'une culture séculaire, je pratique " l'art " de la chasse tant dans le respect d'autrui que de l'animal chassé. Acteur engagé dans le maintien d'une chasse durable, je participe activement à la défense des habitats et à l'amélioration de la biodiversité. Gestionnaire de l'espace naturel, je veille à maintenir l'harmonie entre l'homme et son milieu et à parfaire jour après jour mon savoir dans les sciences de la nature.

Homme d'ouverture, je vais à la rencontre de tous les intervenants dans les milieux naturels en les sensibilisant à la pratique raisonnable de la chasse et au respect de la nature.

Attentif aux risques que mon activité peut induire, j'améliore sans cesse les conditions de sécurité de la chasse tant pour les non-chasseurs que pour les chasseurs.

M'inscrivant dans une démarche citoyenne, je donne du temps à la formation et à l'accompagnement des futurs chasseurs car ils sont la chasse de demain et le garant d'une meilleure cohésion sociale.


La chasse, un bonheur à partager dans la nature vivante, riche et diversifiée.


La gestion de La chasse sur notre commune est née dès 1925 par la création d'une association de propriétaires nommée La St Hubert de Vert le Grand. Son but est encore, l'amélioration et La protection de la chasse sur les territoires de l'association. Chaque année son bureau constitué de 12 membres, définit la gestion de la campagne de chasse. Pendant toute l'année, ces membres travaillent pour sauvegarder les animaux ; ils leur apportent eau et nourriture ; ils implantent des cultures spécifiques pour que Le gibier se mette à l'abri des prédateurs ; ils définissent des zones de réserves. Dans le même but, les haies sur la commune sont entretenues mais pas arrachées, afin de garder des refuges, un seul coté des fossés est nettoyé. La société en partenariat avec la fédération des chasseurs emploie un SAGE(surveillant, aménageur et gestionnaire de l'espace) qui à comme rôle d'aider la société dans L'amélioration du territoire et de La conseiller. Tous ces éléments font que le territoire de Vert Le Grand, ainsi , garde encore un certain potentiel d'oiseaux et d'animaux. Depuis quelques années la mentalité des chasseurs a évolué et fortement changé .Le chasseur est avant tout un écologiste de terrain. Son but est de sauvegarder ce que la nature peut encore nous offrir en la protégeant. En effet pour gérer le prélèvement de gibier, il est mis en place des plans départementaux de chasse, qui indiquent à chaque société donc à chaque chasseur Le nombre d'animaux à prélever, (ex : La saint Hubert doit prélever au maximum 30 lièvres en 2003 ; nombre décidé par La fédération après comptage sur Le territoire pendant L'année et attribué par la préfecture en réunion plénière.) Comme chaque année la société s'est réunie la veille de l'ouverture pour informer les actionnaires du déroutement de la saison qui commence et des règles définies. Cette année trente deux personnes passionnées, curieuses de nature et héritières d'une culture séculaire pratiquent La chasse sur le territoire de la société.

 La pèche

On pourrait sans doute dire : "A Vert le Grand, pécheur passe ton chemin." Car de lieu de pêche sur notre commune, il n'y en a pas, tout au plus, quelques bassins dans le parc de la Saussaie dissimulent sans doute quelques carpes et autres habitants tranquilles, mais même si par le passé on organisait en ce lieu des concours de pêche à la truite, le lieu est une propriété privée, et la pêche n'y est pas tolérée.

Par contre dans l'immédiate proximité de Vert le Grand, c'est la vallée de l'Essonne, et là "Pécheur tu t'arrêteras."

L'agriculture

Les territoires

Vert le grand se situe dans la petite région agricole de l'Hurepoix. Région caractérisée par ses plateaux, ses buttes et ses vallées. Le plateau agricole de Vert le grand adossé au nord sur les buttes de montaubert, brazeux et du télégraphe s'étend au sud-est jusqu'à la vallée de l'Essonne au niveau de vert le petit ; au sud sur la vallée de la juine à st Vrain et se prolonge à l'ouest sur la commune de Leudeville. Le territoire de vert le grand a une superficie de 1570 hectares dont 157 ha de bois et 1256 ha de terre cultivées, l'altitude moyenne est de 75 m. Son territoire vaste et ses sols fertiles permettent à l'agriculture d'y avoir une place prépondérante. Son territoire est découpé par plusieurs kilomètres de chemin ruraux et drainé par un ensemble de fossés et mares. Les hommes

Une quinzaine d'entreprise agricole ont leur siège d'exploitation sur le territoire de la commune, ce qui est une richesse importante de vie et d'économie pour le village. Si les villages voisins se sont appauvris de leurs entreprises agricoles (vert le petit 3, st vrain 3, leudeville7), Vert le Grand reste par le nombre de personnes travaillant la terre, privilégié. (environ 50 personnes).

Les productions

Les principales productions agricoles sont les céréales (blé, orge, mais), les oléagineux (colza alimentaire, colza diester) et la betterave sucrière. L'assolement est en moyenne - 48% BLE. - 20% COLZA. - 12% ORGE DE BRASSERIE. - 7% MAIS GRAIN. - 3% AUTRES. -10% JACHERE(dont 6% colza diester).

Les productions sont commercialisées auprès de la coopérative agricole ou bien auprès de négociants privés. Le blé en majorité sert en alimentation humaine pour la meunerie ; le colza a deux débouchés, un alimentaire pour l'huile et l'autre industriel pour le carburant vert le diester. Les orges sont commercialisées pour la fabrication de bière et un peu en alimentation animale. Les débouchés du mais sont l'alimentation animale et l'amidonnerie. La betterave elle, est cultivée pour la fabrication du sucre. Les exploitations appliquent les méthodes d'agriculture raisonnée afin d'obtenir le meilleur compromis entre les besoins de la plante cultivée, la préservation de l'environnement et le résultat économique.

Plusieurs entreprises se sont diversifiées voir spécialisées dans d'autres productions : - un rosiériste (roses de l'hurepoix) - un pépiniériste. - ventes à la ferme et productions avicoles, paille et fourrage. - ventes à la ferme, maraîchage et production avicole. - Ferme chambres d'hôtes. - Entreprise de travaux agricoles. - Elevage de gibier. - Poney club.

Les structures d'exploitations sont variables entre 50 et 200 hectares par exploitations, suivant leurs superficies les exploitations doivent trouver des diversifications pour assurer un revenu.

Devenir de l'agriculture en region periurbaine.

La spécificité de l'agriculture de notre région est d'être en milieu rurbain pour cette raison, on parle d'agriculture périurbaine. Ce milieu entraîne des contraintes spécifiques et évolutives telles que : -emprise importante des terres agricoles pour l'urbanisation. -Un prix du foncier plus cher. -un morcellement plus important. -une circulation des engins agricoles plus difficile. -des contraintes de voisinages(odeurs, bruits…. -difficultés pour implanter des élevages. -déprédations des cultures, dépôts sauvages. -cohabitation ville campagne parfois tendue.

L'agriculture a sa place dans un milieu périurbain, elle doit servir d'équilibre, entre la ville et la campagne, elle gère l'espace et le paysage et est une richesse économique. Il faut une volonté forte des élus et des populations pour la sauvegarder.

[modifier] Lieux et monuments

[modifier] Personnalités liées à la commune

[modifier] Voir aussi

[modifier] Liens externes