Discuter:Véhicule terrestre militaire

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1°DOSSIER: Le Char Schneider

 12,5tonnes/60CV/11mmDeBlindage/80kmAutonomie/6Hommes/1mortierDe75mmEt2mitrailleusesDe8mmHotchkiss.

_intro:Dès l'apparition des tranchées en 1914, on pense a realisé des engins capables d'ecraser les barbelés et de proteger les combattants des balles par une cuirasse. Ainsi, verra-t-on apparaître des brouettes blindées, des rouleaux compresseurs blindés, des engins articulés. Autant d'inventions qui resteront sans lendemains. Mais l'année 1915 enregistre d'enormes pertes et parmi les officiers horrifiés se trouve le colonel Estienne qui commande, depuis la mobilisation, le 22°regiment d'artilerie.

1)Tracteur agricole plus canon égale char d'assaut: C'est dans son abri sur le front que le colonel Estienne imagine un engin à chenilles entièrement blindés et armés d'un canon. L'idée lui vient d'un séjour en Tunisie ou il avait pu voir des tracteurs à chenilles Baby Holt dans des exploitations agricoles. Sur le front, il a retrouvé ces tracteurs que l'artillerie britannique utilise pour la traction de ses grosses pièces. Toutefois, le colonel Estienne ne s'arrete pas uniquement à l'aspect mécanique. Il établit un reglement d'emploi d'engins qui n'existent pas encore et fixe même la quantité nécessaire pour enfoncer le front ennemi, soit 400. La tactique est simple: les chars sont utilisés en masse et débouchent à l'aube par surprise, sans la sacro-sainte préparation d'artillerie qui ecrase certes les positions ennemies, mais l'avertit aussi de l'endroit exacte ou va être lancée l'offensive. Il a donc le temps d'amener des reserves pour contre-attaquer. Son dossier boucé, le colonel Estienne demande audience au général Joffre le 1°décembre 1915. Dès lors les évenements vont rapidement s'enclencher car le colonel Estienne n'est certes pas un inconnu et il bénéficie du soutien du général Pétain.

2)Un projet prioritaire: Le 12 décembre 1915, il est reçu au GQG (Grand Quartier General) par le général Janin qui represente le général Joffre. Ce dernier, à la fin de l'entretien, lui reconnaît "un intérêt de premier ordre ". Immédiatement, le général Janin propose que le colonel Estienne soit mis en permission pour qu'il puisse se consacrer "avec toute la célébrité et le secret désirables" à la réalisation du projet. Le 20 décembre 1915, le colonel Estienne rencontre à Paris l'industriel Louis Renault qui, saisit du projet, renonce car ces usines tournant à plein pour la guerre sont surcharqées. L'officier est alors mis en contact avec la société schneider qui, justement, vient de recevoir la commande d'une quinzaine de tracteurs Baby Holt pour l'artillerie après une série d'essais réussie début décembre et à laquelle assistait le général Petain. Aussi, le 26 décembre, lorsque le colonel Estienne se rend au QG du général pétain, ce dernier lui accorde son appui, amical n'en doutons pas. Le 28 décembre, le colonel Estienne rend compte au général Joffre de l'etat d'avancement de ses travaux. Dans son rapport, il indique que Schneider possède un projet complé de "projet terreste" et qu'il serait en mesure de livrer en six ou sept mois de 300 à 400 engins. Le 5 janvier 1916, de nouveaux tracteurs à chenilles prouvent qu'ils sont capables d'évoluer sur le terrain chaotique du champ de bataille. Le 18 janvier, le colonel Estienne rencontre directement le général Joffre à Chantilly. Suite à cet entretien, le commandant en cheffait connaître au sous-secretaire d'état à la guerre le dossier du colonel Estienne et ptécise qu'il souhaite que 400 engins soit fabriqués le plus rapidement possible afin d'en disposer au plus tard pour le printemps 1917. Ainsi, le colonel Estienne a fait le tour de la question en 45 jours !

3)Les "technicons": Dans l'esprit du général Joffre les 400 "cuirassés terrestres" pourraient bien être l'outil d'une victoire au printemps 1917. L'ennemi maintenu dans l'ignorence de l'invention, ne disposera d'aucun moyen immédiat pour parer à l'action de ces engins qui enfonceront son front sur une quarantaine de kilomètres (1 char par 100m de front), l'obligeant a une retraite précipitée et à s'asseoir à la table des négociations. Las, ce beau rêve va être brisé par l'pmnipotente Direction des services automobiles qui, saisie du dossier pour execution, ne peut accepter que l'idée vienne de combattants du front. Les "technicons", comme les appelle colonel Estienne, vont s'acharner à casser son idée, essayant de l'ecarter en lui proposant d'entrer au service des inventions et en démolissant le projet schneider au profit d'un char entièrement conçu par les services, le Saint-Chamond, dont on commande secrètement 400 exemplaires. Il va s'ensuivre une bagarre d'autant plus criminelle qu'elle retardera considérablement le projet Estienne, alors que chaque jour sur le front, des centaines de soldats se font tuer.

4)Le secret dévoilé: Fin juin 1916, le colonel Estienne est envoyé par le GQG en Grande-Bretagne. Il découvre alors que les britanniques, eux aussi, réalisé des "cuirassés terrestres" qu'ils appellent "tanks" (réservoirs) pour des raisons de secret. L'officier français reçu a bras ouvert, apprecie l'organisation rigoureuse des essais, l'absence de querelles stériles et la qualités des engins plus lourds que ceux fabriqués en France. Avec ses camarades britanniques, il se plaît à imaginer une étroite coopération entre alliés pour lancé par surprise une offensive unique avec plusieurs centaines d'engins et non pas 400. La guerres pourrait être gagnée en quelques semaines. Malheureusement, les Britanniques décident à l'insu des Francais de faire une expérience réelle d'emploi des "tanks" sur le front. Le 15 septembre 1916, ils engagent 49 chars à Flers dans la somme. Trop peux nombreux les chars britanniques ne rempoetent qu'un demi-succès, mais alertent l'ennemi sur leur existence. Ce dernier prend immédiatement des mesures pour parer à l'action des chars en élargissant ses tranchées et en produisant des projectiles perforants. Aussi, le 16 avril 1917, lorsque les Francais engagent pour la première fois 132 chars Schneider à Berry au Bac, l'offensive tourne court.

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2°DOSSIER: Le char de bataille T-72

Les récents conflits et notamment la guerre du Golfe, ont servis de vitrine pour de nombreux matériels conçu dans le cadre de la Guerre froide. Le char T-72, étudié en URSS à partir de la fin de 1967, est un bon exemple de cette situation. Il est, en effet, en service dans de nombreux pays.

Le T-72/41,5tonnes/9,24m longueur/4,75m largeur/2,37m hauteur/60km/h/3hommes/500kmautonomie/1canon de 125mm, 1 mitrailleuse de 12,7mmen tourelle/1 de 7,62en tourelle co-axiale.

Ainsi, iléquipe ou à équipé le corps de bataille des armées de l'ancien bloc de l'est, mais aussi des pays africains, du Moyen-Orient, d'Asie et même un membre de l'union européenne: la Finlande. Les plus gros contingents se trouve naturellement en Russie, Biélorussie et Ukraine, mais également en Inde et en Syrie. Il a beaucoups servi sous des climats desertiques, au Moyeb-Orient, alors même qu'il avait été realisé pour un emploi en Europe centrale.

1)Entre nombre et qualité: Le lancement, à la fin de l'année 1967, de l'étude du projet 172 qui donnera naissance au T-72, a de quoi surprendre. En effet, à cette date, le char T-64 conçu par le célèbre bureau d'études Kharkov Locomotive Plant, amplanté à Kharkov en Ukraine, commence à être produit en série. Le besoin de deux matériels de catégorie ne s'imposait pas. Pourtant, le Uralvagonzadov Rail Car Plant, de Nizhni Tagil dans l'Oural, obtient l'autorisation de mener à terme le developpement du projet 172. Il s'execute rapidement et en 1972, son char T-72 entre en production. Cette dualité de matériels semble avoir plusieurs causes. Tout d'abord, le T-64 apporte en URSS une conception nouvelle inspiré des pays occidentaux (un char sophistiqué capable de surclasser ses adversaires et donc de remplacer le nombre par la qualité). en attente...

Dossiers suivants: - _chars... + - Le char Leclerc; Panzerkampfwagen 1,2,3et4; Le Sherman, un char libérateur; Le char de cavalerie Somua modèle 1935; Le char de bataille T-72(en cours); Le char de bataille Ariete; Le char léger M 24 Chaffee; L'A7V Sturmpanzer premier char allemand; Le char M 1 Abrams; L'AMX 30; Le char de combat Pz 68; le char M 26 Pershing; Le char britannique Challenger 1 + - _engins de combat à roues... + - _canons automoteurs... + - _véhicules de servitudes et de liaisons...

"merci de bien vouloir ne rien modifier ou supprimer !"B.Meleck


[modifier] Discussion

Le char Schneider, que pensez vous de ce tout premier char francais?

A l'intention du contributeur, unique à première vu, de cette page.
Le contenu de ces deux dossiers n'a rien à faire sur wipkipédia sous ce titre, peut être "histoire des chars d'assauts " et sur wikilivre.
D'autant plus que plusieurs articles sur le sujet existe déjà : Char Schneider CA1, Char Renault FT-17, Char AMX 30 pour ne parler que des engins français.
Il n'est pas souhaitable signer, pire savez vous que c'est une injure pour un wikipédien que de lui intimer l'ordre de ne pas modifier un texte, qui est de surcroit mal présenté, mal mis en page, parssemé de fautes d'orthographe.
Et pour finir les conseils, sur les pages de discutions, vous êtes engagé à vous présenter et même à dater vos écrits.
polo 4 novembre 2005 à 23:53 (CET)

[modifier] Interwiki

L'interwiki correspondant à cet article est-il en:Armoured fighting vehicle ?

País de sol Ultrogothe - ¡Hola! 1 février 2007 à 18:07 (CET)

L'amateur d'aéroplanes 1 février 2007 à 20:07 (CET) L'article anglais s'applique aux blindés en général, Véhicule terrestre militaire est un terme plus généraliste et il me semble que l'on dit plus véhicule militaire tout court. On peut parler des camions aux Jeeps en passant les trains blindé dans l'article.