Discuter:Totalité et infini

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Cet article a été créé à partir du résumé de Utilisateur:José Fontaine. Seule la première partie de l'oeuvre est véritablement traitée. J'envisage d'ajouter des résumés pour les autres parties. Il faudrait également une partie pour expliquer l'évolution ultérieure de Lévinas (dans Autrement qu'être par exemple) et les facteurs expliquant cette évolution (critiques derridiennes mais sûrement d'autres choses aussi). nicostella 23 septembre 2006 à 11:37 (CEST)

Merci cher nicostella d'avoir créé cette page. Je pense que pour illuster la définition du Désir ce serait intéressant de citer Lévinas, mais je connais la phrase par coeur tellement elle me fascine: Le Désir de l'absolument autre est satsifait dabns la mesure où il ne l'est pas. Le français de Lévinas est un français fascinant, un français juif, jouant sur le travail de l'écriture d'une manière qui n'est pas gratuite, je trouve.

Je dirai à mes élèves de venir lire cette page.

Peut-être ne faudrait-il pas dire que Levinas est encore influencé par la phénoménologie car je pense qu'il est demeuré constamment sous l'influence de celle-ci. Ah! je viens de retrouver mes notes sur Husserl et Lévinas. Tiens, si nous collaborons sur ceci, j'aimerais bien savoir qui vous êtes un peu mieux, si cela ne vous dérange pas. Indépendamment de cela, je suis content de collaborer avec vous. José Fontaine 23 septembre 2006 à 20:45 (CEST)

Réponse sur votre page

nicostella 24 septembre 2006 à 16:46 (CEST)

[modifier] Bien que l'exercice soit certes difficile sur un tel sujet...

... serait-il concevable, et de préférence à l'auteur initial lui-même, d'en remanier un peu la forme ? Sans que le fond soit en lui-même contestable, force est de reconnaître que :

"Le projet du bourreau génocidaire hitlérien n'est pas seulement l'extermination simple des Juifs, mais aussi la volonté d'humilier (par un travail forcené et parfois inutile, par le déshabillage au moment de l'incarcération ou peu avant la mort etc.). Dans la haine génocidaire"

Il ne semble pas opportun (et il me semble même insultant envers les victimes, dont la mémoire demande plutôt le recueillement que des tentatives d'instrumentalisation !) d'utiliser une telle langue de bois. Le lecteur n'est tout de même pas un idiot et les mêmes choses peuvent tout de même être indiquées en utilisant un vocabulaire qui ne lui dit pas à la place e sa conscience ce qu'il faut penser ! Soit il faut donner des faits soit, s'il est question de points de vue, mieux vaut les imputer à l'auteur de façon explicite en le citant, et avec des guillemets ou des italiques comme il se doit. 81.65.27.156 23 septembre 2006 à 20:59 (CEST)

J'ai pris sur moi de supprimer le passage en question, mon intention initiale étant de parler de Totalité et infini, et non de polémiquer sur un sujet beaucoup trop délicat pour moi. Si l'auteur initial veut reformuler, il le fera à sa manière.

nicostella 24 septembre 2006 à 16:46 (CEST)


Je ne veux pas polémiquer non plus, mais la phrase mise en cause qui n'est pas une citation directe de Levinas est là pour aller à la rencontre de la pensée d'un homme qui a vu disparaître toute sa famille dans le génocide. Ceci dit, si elle choque, je veux bien la réécrire. Il y a peut-être un certain détachement - mais philosophique - par rapport au drame du meurtre génocidiare mais pour le comprendre, le resituer dans une pensée qui est de celle dont la dénonciation du judéocide est le plus radicale, d'autant plus radicale qu'elle met en cause le geste violent de toute la pensée occidentale elle-même... C'est vrai que lorsque l'on explique, on peut apparaître froid, mais cette froideur n'est pas insultante.

José Fontaine 26 septembre 2006 à 01:00 (CEST)

Finalement, j'ai retranché un passage de la p. principale pour la mettre sur T et I. Les mots sont plus sobres et l'explication directement tirée du texte. La description révoquée (voir plus haut) était peut-être trop crue... Je retire aussi le passage sur la p. principale de Levinas (qu'à mon sens il fait écrire sans accent)...

José Fontaine 5 décembre 2006 à 22:07 (CET)