Discuter:Terres australes et antarctiques françaises

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Hello il faudrait fusionner il y a déjà une page TAFF Greatpatton 10 déc 2003 à 19:29 (CET)

Je lis: 'Le Traité sur l'Antarctique (Washington, 1959) établit un "gel" des prétentions territoriales en Antarctique.' ... jeu de mots involontaire ? --Teclo 19 juillet 2005 à 22:40 (CEST)

Sommaire

[modifier] Terre Adélie

"Terre Adélie (territoire non reconnu internationalement)." Ne vaudrait-il pas mieux écrire que la souveraineté française sur la terre Adélie n'est pas reconnu ? Et que signifie "internationalement": est-on sûr qu'aucun autre Etat ne la reconnaît ? Apokrif 24 mai 2006 à 18:04 (CEST)

[modifier] Martin de Vivies, capitale des TAAF ?

Quelles est la validité de cette information ? Quelles sont les références officielles ?Channer 29 octobre 2006 à 07:30 (CET)

[modifier] Drapeau des TAAF

Ce drapeau a été officialisé comme emblème par arrêté 2007-18 du 23 février 2007 du Préfet des TAAF
--Channer [koz a mwin] 12 mai 2007 à 11:53 (CEST)

[modifier] Retrait paragraphe entier non référencé et relevant d'une interprétation juridique très personnelle

[modifier] Politique

Les TAAF sont une exception dans la structure administrative de la France c'est vrai, mais tous les autres pays possédant des territoires sans population permanente (îles subantarctiques ou autres îles désertes) sont dans le même cas, de même pour ceux ayant des prétentions territoriales sur le continent antarctique : il n'y a pas d'élection locale (puisqu'il n'y a pas de population permanente) c'est donc une tautologie.

Encore plus exceptionnel est le statut de la Terre Adéliecertes, du fait justement du Traité de l'Antarctique, il suffit donc de s'y rapporter pour en comprendre la spécificité., revendication française gelée par le traité de l'AntarctiqueLe principe juridique est plus subtil : certains États se considèrent comme en possession d'un territoire, d'autres le contestent, mais tous se sont mis d'accord sur des règles communes de comportement qui ouvrent effectivement droit à une libre présence limitée à des objectifs scientifiques qui en fait un territoire international C'est un raccourci sans valeur juridique. Cependant, dans les limites conférées par ce traité signé par la France, une occupation humaine non permanente est autorisée en Terre Adélie à des fins strictement scientifiques, et avec des clauses sévères de préservation de l'environnement. Aussi, l'occupation française en Terre Adélie (comme les autres bases scientifiques étrangères en Antarctique) peut faire l'objet d'inspections internationales par des représentants d'autres Etats parties au Traité sur l'Antarctiqueexact.

Dans les faits, la base française Dumont d'Urville dispose d'une occupation française toute l'année par des scientifiques et personnels de maintenance, d'origine internationale, mais non permanents. Dans les zones d'activité en Terre Adélie, le droit français est appliqué en accord avec le traité international. Bien que dépourvue d'administration officielle, la Terre Adélie est gérée indirectement par un chef de base chef de districtsous l'autorité de l'administration française en métropoleles TAAF ont leur siège à La Réunion . En raison de sa plus grande proximité, l'Australie apporte aussi une assistance logistique aux personnels travaillant en Terre Adélie si l'on veut, car le navire de relève part d'Hobart et que les liaisons radio ont longtemps été relayées par les Australiens, mais rien de spécial sur place. Le projet de port ayant été abandonnéc'est possible mais très ancien, il faudrait donner les sources, il n'y subsiste plus qu'une zone d'atterrissagejuste pour les hélicos entre le pont du navire de relève et la base ; il ya bien eu un projet de piste d'atterissage très controversé, soutenu par Paul-Emile Victor mais le chantier a été emporté par une tempête avant d'être fini, l'approche de la zone et la relève du personnel scientifique n'étant possible que durant l'été australexact.

La langue française n'est pas obligatoire non plus en Terre Adélie, comme ailleurs dans les TAAF et en France, puisque le territoire est situé hors de la République françaisetous les écrits officiels sont en français mais les gens sont libres de parler entre eux comme ils entendent s'ils veulent se faire comprendre entre diverses nationalités ; cette affirmation me semble donc relever d'une déduction très personnelle assez hors sujet, et l'anglais y est couramment parlé, ne serait-ce que pour faciliter les échanges avec les autres bases scientifiques, pour l'accueil de scientifiques d'autres pays, et pour les relations logistiques et l'assistance médicale avec l'Australie.