Discuter:Squat (lieu)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Sommaire

[modifier] Refonte

Contrairement aux apparences, je n'ai pas massacré le contenu déjà présent... juste réorganisé le tout dans un ordre que j'espère à peu près cohérent. Par contre, exeunt les statistiques sur les logements vacants, qui n'avaient à mon avis rien à faire là. Eman 22 avril 2006 à 04:14 (CEST)

[modifier] Critique

De nombreuses analyses peuvent sembler plutot vaseuses sur cette page... avec des contrevérités manifestes.

Par exemple : les stats insee ne comptent pas comme vacants (ou les comptent à part) les logements des opérations de rénovation urbaine. Les logements en instance -dans des délais raisonables- de vente ou de relocation... etc etc... En effet le nombre de logements vides est bien supérieur alors aux chiffres annoncés.

Pour question évoquée si longuement quelques mots auraient pu être dit de l'intention qui préside a laisser tant d'espace necessaires a la vie d'autrui vides... Beaucoup de ces logements ou locaux d'activités (trés nombreuses vacances également) sont le fait de petits spéculateurs parfois... mais essentiellements de gros spéculateurs institutionnels (assurances, banques, promotteurs, regroupements de fonds spéculatifs privés etc etc... qui ainsi en asséchant le marché permettent de créer artificiellement en leur faveur de la (pseudo) valeur...

et la crainte (si légère) de l'occupation par les victimes de ce système de raréficatioon artificielle est bien légère pour tempérer cette forme d'abus caracterisé...

en effet, le fait de maintenir artificiellement la pénurie de lieux permet d'augmenter les profits spéculatifs et la pressurisation des plus démunis

alors que le cout marginal du m2 devrait être de l'ordre de 1% du cout de construction (on voit dans nos grande villes des logements ayant non pas 100 ans mais même deux trois quatre siécles et plus...) augmenté d'un cout d'entretien...- quoiqu'en justice économique vu que ce n'est pas de la location vente il y a maintien du patrimoine.... d'ailleurs il se construit en france souvent moins de 1% de logement par an et il s'en détruit ' volontairement -autre volet de l'action prospéculative d'état au sercvce de etc...) donc 1% de 3000f = 30F du mètre moins d'un franc par an 100 F pour 100M2! certains paient 100 000 fcs (voire 200 000fcs) ( et d'autres rien bien sur... et meme d'autres les percoivent!)

les prix de vente aussi sont meme souvent de 1 a 10 fois plus élévé que le cout meme de construction NEUVE ne parlons pas des logements depuis tant de decenies totalement amortis et meme 10 Fois!!

enlever cette rareaction peculative par le frein a la vacance ou la construction rehabilitation sans destructions d'immeubles... et pfuuuit vous verrez cette rente disparaitre....

qui accepterait de payer en un an le cout de construction d'un studio alors qu'il existe tans de locaux spacieux accessibles a proximité...

dl'ebauche de telle scene s'est vue par exemple apres l'effondrement du soufflé londonien en quelques mois les prix avaient alors tendu vers une valeur plus proche des realité faisant chuter les prix edu soufflé speculatif de 20 000F du metre a moins de 2000 et meme parfois pres de 1000F.

A qui profite ces mecanismes de parasitaire "rente"? .............


en general les logements occupés sont souvent vides depuis tres longtemps ( et non juste entre de courtes locations comme l'insinue l'article dont on peu douter de l'objectivité voire mem de la simple bonne foi.

aussi il amalgame la definition juridique du mot "squat" et son utiisation courante et "politique"

ainsi il est faut ( ou depourvu de sens de parler de l'illegalité d'une "occupation".

en droit francais si le domicile reel est fortement protégé (etcelui du simple occupant aussi!) les locaux vides le sont beaucoup moins et meme au contraire (tant pis pour ceux qui "abuse" du droit de propriété!?)

la protection de l'occupant se manifeste notament par le fait que (bien sur pas dans le logement habité d'une personne etc...) s'ils est entré dans les dits locaux vides/ouverts il ne peut etre contraints de les quitter qu'apres une procedure en bonne et due forme, c'est un proces civil puisque aucune regle du droit penal n'a été enfreinte (malgré les pression du lobbt speculatif qui tente toujours dans certains pays de faire passer de nouveaux textes... mais jusqu'a ce jour les liegilateurs pppourtant si souvent negligents et aux aordres ... n'ont pas envie d'encourager trop les "affameurs" cf peine capitale contre ceux-ci dans les premiers textes legislatifs republicains et meme de la periode demonarchie (pré)constitionnelle))

le juge porra d'ailleurs selon la sitation des lieux et des personnes en presence, accorder des délais et meme les renouveller sur de nombreuses années.

le prefet pour eviter notamment le trouble a l'ordre public que constitue l'absence de logements pour des personnes surseoir indefiniment a la decision de justice.

au dela d'un certain delai (apres un jugement definitif et en l'absence de delai juducuaires l'etat peut etre appelé en reglement de sommes en faveur des propriétaires de bien faisant l'objet du sursis par le prefet (idem en cas de requisition).

...


un lien sur infokiosques.net permet d'accéder à des informations moins fantaisites et plus circonstanciées. (quoique sur le plan juridique il reste quelques imprécisions...) le kit de survie juridique (même remarque que juste plus haut) permet aussi de faire face une meilleure compréhension des rapports (de force!). et d'esquisser les premiers pas d'une formation a une apprehension minimale et un debut de construction de ces situations.

[modifier] inhabitée ou inoccupée ?

Dans la définition, je trouve "l'action d'occuper une propriété publique ou privée inhabitée ou à l'abandon". Or, à ma connaissance, il est déjà arrivé que des personnes rentrant de vacances trouvent leur logement squatté. Dans ce cas je ne crois pas qu'on puisse parler de logement inhabité. Ne serait-il donc pas plus exact de remplacer "inhabitée" par "inoccupée" dans la définition ?

Iznogoud 12 septembre 2005 à 09:46 (CEST)

Vu l'enthousiasme, soulevé par ma question, je fais la modification, on verra bien si il y a des réactions...

Iznogoud 18 septembre 2005 à 18:39 (CEST)

[modifier] Langage jeune

"En langage jeune, "squatter" ou "taper un squat" signifie "ne rien faire", ou "faire des choses inutiles"."

Bonjour, je suis jeune, or il semble que le langage dont on définit l'une des expressions courantes - "squatter" - ne soit pas tout à fait le même que celui que j'emploie quotidiennement. Et je ne suis pas le seul dans cette situation. Ainsi, je suggère que l'on remplace l'expression "Langage jeune" utilisée dans cette page d'homonymie par un autre plus appropriée. Pourquoi pas : "langage familier actuel" ? Enfin, ceci ne me paraît pas assez précis non plus. Thedreamstree 23 août 2006 à 03:40 (CEST)

[modifier] L'article n'a pas une grande portée...de tous les points de vue.

Notamment sur celui de la notion élémentaire du droit à la propriété. Occulte les mesures prises en vue de matérialiser ce droit au logement ne fait apparaître l'atteinte apportée au droit à la propriété. --87.64.18.164 23 février 2007 à 12:25 (CET)