Sophie et le crime

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Sophie et le crime
Réalisation	Pierre Gaspard-Huit
Acteur(s)	Marina Vlady Peter Van Eyck Jean Gaven
Scénario	Pierre Gaspard-Huit Pierre Lary
Musique	Georges Van Parys
Décors	James Allan Paul Bertrand
Photographie	Michel Kelber
Montage	Yvonne Martin
Producteur(s)	Roger Richebé
Format	Noir et blanc Monophonique
Durée	100 min
Sortie	17 août 1955 France
Langue originale	Français
Pays d'origine	France
Fiche IMDb

Sophie et le crime est un film français réalisé par Pierre Gaspard-Huit et sorti en 1955.

[modifier] Synopsis

La jeune Sophie fait ses débuts de journaliste à Paris lorsque sa voisine, Louise Richter, est assassinée. Le principal suspect est son mari Franck qui a disparu immédiatement après le drame. Un soir, celui-ci fait irruption chez Sophie, clamant son innocence. Convaincue, Sophie fait alors son enquête afin de le disculper.

[modifier] Fiche technique

Titre : Sophie et le crime
Réalisateur : Pierre Gaspard-Huit
Scénario : Pierre Gaspard-Huit et Pierre Lary d’après le roman homonyme de « Cécil Saint-Laurent » alias Jacques Laurent (1953)
Dialoguiste : Marcel Achard
Assistante-réalisateur : Olga Varen
Musique : Georges Van Parys
Directeur de la photographie : Michel Kelber
Ingénieur du son : René Sarazin
Décorateurs : James Allan, Paul Bertrand
Monteuse : Yvonne Martin
Pays d’origine : France
Producteur : Roger Richebé
Directeur de production : André Deroual
Sociétés de production : Ardennes Films (France), Les Films Roger Richebé (France), Synimex (France)
Format : noir et blanc – son monophonique – 35 mm
Genre : film policier
Durée : 100 min
Date de sortie : 17 août 1955 en France

[modifier] Distribution

Marina Vlady : Sophie Brulard
Peter van Eyck : Franck Richter
Jean Gaven : Ernest Sapinaud
Pierre Dux : le commissaire Moret
Dora Doll : Louise Richter
René Havard : Tony
« Olga Baïdar-Poliakoff » alias Olga Varen : la journaliste
Daniel Emilfork : le barman du Montana
Paul Guers : Claude Broux

[modifier] Autour du film

Marina Vlady^[1] : « Je joue dans un film, Sophie et le crime, écrit par Jacques Laurent, mis en scène par Pierre Gaspard-Huit — que j’ai surnommé Gontran-Neuf — et produit par Richebé — que la profession a baptisé « Pauvre C. » C’est un film policier à l’intrigue complexe, avec un rôle très quelconque, une ou deux scènes de terreur aussi mal jouées que mal filmées, bref, un ratage malgré la présence d’un magnifique acteur, Peter Van Eyck, un battage publicitaire autour de mes jolis dix-sept ans, et le sentiment euphorique d’être sollicitée de toutes parts… »