Utilisateur:Rvince/Brouillon 1

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[modifier] France

Faitle répit du travailleur : à paris : Square Jean-Pierre Timbaud 92, rue Jean Pierre Timbaud (http://www.mairie11.paris.fr/mairie11/jsp/site/Portal.jsp?article_id=13094&portlet_id=2225)

A mi-chemin entre beffroi et cheminée, le Répit veille. De son vrai nom Le « Répit de l’Agriculteur » il a été sculpté en 1907 pour la première fois par Pendariès à destination d’une place de la capitale. C’est à Paris que le Maire de Villeurbanne Lazare Goujon a remarqué ce « penseur » à la manière de Rodin, et a souhaité en avoir un pour sa ville. Commande a donc été passée au sculpteur pour un exemplaire de plus grande taille que l’original parisien. D’où la naissance tardive du Répit local. L’artiste aurait dû d’abord se procurer le bloc de 3,5 tonnes nécessaire à la taille du géant (2,6 mètres). La pièce achevée sera installée en 1932 en même temps que la construction des Gratte-Ciel source : http://www.motpassant.fr/en-passant-par-le-mot.htm



Pendaries : Né à Carmaux en 1862, Jules Pendariès grandit à Cordes, terre d'artistes. Ses dons pour la sculpture se développent très vite, puiqu'il réalise à 14 ans une statue de St-Joseph pour le couvent de Cordes. Aidé par la municipalité, il entre à l'Ecole des Beaux-Arts de Toulouse. Une fois marié, il monte à Paris et fréquente le groupe des "Toulousains", dont Falguières et Mercié. Il fait aussi la connaissance du jeune Albigeois Col, qui peindra le plafond du Théâtre municipal d'Albi. Il expose aux salons parisiens à partir de 1885, et est récompensé dès 1891. Sa notoriété grandissante lui attire l'estime de Rodin ( la statue de Pendariès intitulée "le Répit" fut réalisée 3 ans avant le "Penseur"), Sarah Bernardht, Toulouse-Lautrec ou Montoya, qui lui rendent visite. Le ministre des Beaux-Arts lui confie la mission de restaurer une quarantaine de statues mythologiques du Parc de St-Cloud, travail qu'il réalise en huit ans pour l'Exposition des Beaux-Arts de 1925. L'oeuvre est considérable : bustes-portraits mais aussi beaucoup de compositions personnelles dont certaines seront conservées à Albi, Carmaux, Cordes, Gaillac... "La sculpture de J. Pendariès, inspirée souvent par un sentiment de tristesse bien rendu, est des plus honorables" Ch. Portal. Il meurt en 1933. Le Centre Culturel de Carmaux lui a dédié une salle d'exposition, où l'on peut admirer l'une de ses sculptures : "le mineur".


[modifier] Maroc

[1] à traduire en français : Driss_Benhima