Relativisme éthique
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Le relativisme éthique est la position de pensée qui consiste à dire qu'il n'est pas possible d'ordonner les valeurs morales grâce à des critères hiérarchiques de classement.
L'objectif du relativisme éthique est de justifier que puisqu'il n'est pas possible de trouver de critère satisfaisants, toutes les valeurs morales se valent[réf. nécessaire]. Le relativisme éthique permet d'échapper à toute critique[réf. nécessaire], à toute objection sur les valeurs. Comme le scepticisme, il est plus une argumentation de défense qu'un réel travail philosophique[réf. nécessaire]. Une valeur morale définit ce qui est, pour elle, "sa vérité" et le relativisme éthique la protège.
Des penseurs idéalistes comme Kant chercheront à imposer l'unicité de "la Morale" en laïcisant la morale chrétienne unique[réf. nécessaire] et universelle.
Des penseurs matérialistes comme Spinoza ou Nietzsche conserveront la pluralité des morales humaines tout en tachant de trouver des critères qui permettent de juger une valeur ("Quelle est la valeur d'une valeur morale ?"). La favorisation ou la nuisance de la vie est le critère le plus souvent rencontré chez les penseurs matérialistes[réf. nécessaire].