Discuter:Réflexe photo-sternutatoire

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Comme d'après Saint Gogole, l'expression photo-sternutatoire n'est pas très usitée, j'invite donc les spécialistes à renommer cer article. Ripounet 8 août 2006 à 19:39 (CEST)

[modifier] Aqua

Je suis "atteint" par ce réflexe et la cause m'a semblé évidente dès la première fois que c'est arrivé dans mon enfance.

Lorsque les yeux sont brutalement soumis à une hausse de luminosité, on peut resentir plusieurs réactions immédiates de ceux-ci : A) Douleur du globe oculaire à chacune des rotations (pour éviter la douleur, plisser les yeux (pour abaisser la luminosité entrante) et ne surtout pas tenter d'agir sur la direction du regard (rotation oculaire). B) Contraction involontaire d'un ou plusieurs muscles proches de la zone située juste en-dessous des sinus.

Je connais deux moyens de me faire éternuer avec 100% de réussite.

1) en introduisant un fin fil souple jusqu'à l'embouchure des sinus. Cela "chatouille" à l'intérieur et finit par provoquer le réflexe d'éternuement, après quelques larmes. Si j'arrête ce stimulus, je constate que les larmes seules ne me font pas éternuer.

2) En pincant par impulsion mon nez à un emplacement très précis. Cette méthode ne fonctionne pas sur tous les individus.

L'emplacement concerne la pointe osseuse d'où se prolonge le cartilage formant le dessus du nez. Un pincement de chaque côté de cette zone provoque un mouvement interne des conduits nasaux ainsi que des frottements qui ont le même effet que la première méthode : un "châtouillement".


La réaction B (contraction involontaire de certains muscles proches du haut du nez) peut induire chez certains sujets (dépend de leur physionomie) ce même châtouillement.

Il n'y a selon moi aucune cause génétique directe à cette particularité qui semble être uniquement liée à la structure et aux dimensions de cette zone du visage.

Que pensez-vous de ces explications ? C'est ce que j'ai observé pour mon propre cas.