Discuter:Préférence nationale

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Sommaire

[modifier] Exemple hors sujet

L'exemple des entreprises américaines est hors sujet. La protection des entreprises nationales, cela s'appelle du protectionnisme, et c'est vieux comme le capitalisme. Cela n'a rien à voir avec la préférence nationale. --Lucrèce 5 février 2007 à 23:38 (CET)

[modifier] Administration

La préférence nationale est une idéologie d’exclusion. Est-ce que le recrutement de nationaux uniquement pour les administrations est une mesure d’exclusion, ou une mesure de fonctionnement interne, visant à la sécurité entre autres ? Archeos ¿∞? 7 février 2007 à 09:36 (CET)

Bonne question. Je ne trouve pas du tout pertinent de rapprocher le cas de l'administration de la préférence nationale, qui est un ensemble cohérent de mesures d'exclusion. --Lucrèce 7 février 2007 à 11:04 (CET)

Je vois d'abord deux choses:

  1. La préférence nationale veut dire, au premier degré, "préférer les nationaux" . Il n'y a pas que l'idéologie dans la vie, il y a aussi le vocabulaire, et ce que les mots veulent dire simplement. #Partant de là il n'y a pas non plus à se laisser abuser: les choses ne sont évidemment pas sur le même pied, mais il n'y a pas à occulter une information encyclopédique, à évoquer une comparaison tout à fait pertinente, sans tomber pour autant dans l'amalgame. Voilà pour l'article.

Je verrai également un autre point, celui de l'exclusion. Quand (par exemple) l'administration de l'éducation nationale recrute, d'un côté, des vacataires de nationalité marocaine et refuse, de l'autre côté, de les autoriser à passer les concours de recrutement d'enseignants, il me semble qu'il y a exclusion. Et préférence nationale. On peut décider, comme certains, de passer cela sous silence. Ou le faire figurer dans un article. Qui s'appelerait ....? Pratique de l'exclusion? Ou préférence nationale. Kergidu 7 février 2007 à 15:55 (CET)

le dictionnaire est là pour expliquer ce que veut dire préférence et nationale. Est-ce que ce lien est fait par un auteur que tu peux citer ? Archeos ¿∞? 7 février 2007 à 22:27 (CET)

[modifier] Rafraîchir

L'information charliehebdotesque à laquelle Attis semble tenir mordicus, si jamais elle est fondée, date du siècle dernier, et de la présidence de l'UMP Josselin de Rohan. Il faudrait rafraîchir l'information ou alors la neutraliser : aujourd'hui c'est le PS qui dirige la région. Shelley Konk 10 avril 2007 à 07:16 (CEST)

Je n'y tiens pas mordicus, à cette information, je tiens à ce que les commentaires personnels ne polluent pas les articles. Sans moi, soit dit en passant, la date de l'événement cité n'aurait jamais figuré, non plus que les sources, lesquelles, Shelley Konk fait mine de l'ignorer, valident l'information. On peut tout à fait indiquer que la majorité a changé depuis, mais pas multiplier des commentaires personnels sur le temps qui a passé depuis ou l'orientation idéologique "supposée" de la source, modifier la présentation de l'intitulé des articles au gré de ses humeurs, bref se livrer à une activité polémique, et non encyclopédique, à seule fin de dénigrer une information qui, en fait, présente surtout le défaut de déplaire. Attis 10 avril 2007 à 11:17 (CET)
"Information" publiée dans un but polémique dans un organe dont les choix politiques sont farouchement antirégionalistes, et qui militait contre la Charte Européenne sous les plumes-mêmes des signataires de l'article. Vue la source, l'information (non reprise par d'autres organes) me parait douteuse. Vue la source, Attis croit ses correligionnaires: je demande l'application du principe de précaution.
Pour une fois que j'utilise le procédé de demande des références (que j'ai appris d'Attis), je demande fermement à ce que cette demande ne disparaisse pas par inadvertance. Merci. Shelley Konk 11 avril 2007 à 05:55 (CEST)
Tu as beau jeu de douter de la véracité des dires de Charlie Hebdo, toi qui, dans ta première correction du passage incriminé, a développé une information dont tu n'avais pas le début du quart de la preuve, c'est-à-dire que le journal en question ne parlait pas de la seule région Bretagne.
Ceci dit, je te demande instamment de retirer l'affirmation totalement mensongère et calomnieuse « Vue la source, Attis croit ses correligionnaires ». J'ai déjà eu l'occasion de dire que je n'étais pas "jacobin", mais il est vrai que tu traites de la même façon tous ceux qui critiquent les commentaires idéologiques que tu parsèmes trop souvent dans les articles. Dès que tes arguments ne suffisent plus, tu ne peux t'empêcher d'insulter tes interlocuteurs, c'est une manie. Attis 11 avril 2007 à 9:19 (CET)
Connaissant le sérieux des signataires de l'article, j'applique le principe de précaution. Tu devrais en faire autant. Ton enthousiasme à les croire sans preuve (lesquelles donnent-ils?) me font peut-être tirer trop rapidement des conclusions, c'est la faute à l'enthousiasme communicatif. Tu as raison de rappeler à garder raison.
Par ailleurs, je n'arrive pas à interpréter ma légère modification à ta façon.
J'essaie de ne pas utiliser le mot jacobin depuis plusieurs mois. Je tiens toujours: cette fois-ci encore il n'est pas venu de moi. Shelley Konk 11 avril 2007 à 18:50 (CEST)
Arrête de me prendre pour un imbécile, je t'en prie. Tu as toi-même écrit ici que Charlie-Hebdo était « d'orientation clairement jacobine et antirégionaliste ». Et, en page discussion, tu affirmes que ce sont mes correligionnaires. Si tu n'as pas employé le mot, l'idée était clairement là. Toute personne honnête et responsable le reconnaîtrait. Donc, si tu continues, je te préviens que tu risques à nouveau un blocage.
Pour le sérieux de la source, A. Kerloc’h et R. Marhic notent que Charlie-Hebdo a contacté le service de la formation professionnelle de la Région, qu'eux-mêmes ont eu un entretien avec le service communication et « des élus PS ». Quant à l'« enthousiasme » à l'égard de la source, il n'existe que dans ton esprit par trop politisé. Pour ma part, je n'éprouve ni haine ni amour pour les différents auteurs cités. Je dis simplement que, moi, j'ai apporté des sources à un passage qui en manquait, alors que, toi, tu n'as jusqu'à présent fourni que des supputations et l'expression de ton rejet de l'information citée. Tout le reste n'est que littérature, comme on dit. Attis 11 avril 2007 à 21:22 (CET)
'Ce que Kerloc'h et Marhig ont vraiment écrit:

ET MAINTENANT, LA PRÉFÉRENCE RÉGIONALE…

Des aides réservées aux natifs : la Région Bretagne, dirigée par un RPR, lustre le poil des nationalistes.

Ces jours derniers, des directeurs de missions locales ont manqué s’étouffer en découvrant les nouvelles aides de la Région Bretagne dans le cadre de la formation professionnelle. Dorénavant, pour bénéficier des « chèques projets » et « chèques formation » il faut en effet « être né en Bretagne ou y résider depuis plus de deux ans ». Interrogé par Charlie, le service de la formation professionnelle de la Région patauge : « C’est pour exclure de l’aide des gens qui habiteraient l’Alsace et qui viendraient solliciter une aide très intéressante en Bretagne. » Soupçonnerait-on les Alsaciens de vouloir voler le pain des Bretons ? « Non, nos offres ne sont pas suffisamment attractives », rigole la responsable.

Au service communication, ça ne rigole plus du tout. C’est que ces dispositions ont été entérinées par le vote du budget 1999, sur proposition du président de Région, Josselin de Rohan. L’attachée de presse martèle qu’il s’agit d’une pratique commune à toutes les Régions. Ce qui est faux. En Midi-Pyrénées, par exemple, on n’applique aucune restriction pour les demandeurs poussés hors du terroir.

– « Oui, c’est une préférence régionale », finit par reconnaître notre interlocutrice.

– La préférence nationale du FN aurait-elle fait des émules ?

On nous raccroche au nez..

Alertés, des élus PS se disent prêts à réagir dès la prochaine réunion de groupe. Il n’est jamais trop tard. Hier, « vivre au pays » et parler breton était le rêve de quelques-uns. Aujourd’hui, cela deviendrait-il une obligation pour tous ? Déjà Jean-Yves Cozan, vice-président de Région, membre du club Idées-Action d’Alain Madelin, offre une prime de 200 F par mois à ses collaborateurs du parc d’Armorique parlant breton ou l’étudiant pendant leurs heures de travail. J'admire le glissement entre la condition être né en Bretagne ou y résider depuis plus de deux ans et la prime liée à une compétence acquise ou en cours d'acquisition au sujet de la langue bretonne. ClaudeLeDuigou 12 avril 2007 à 20:53 (CEST)

Ce qui a pu servir comme source (mais ce n'est pas clair, car il n'y a pas de guillemets, magique invention d'un imprimeur français), et il faut vraiment chercher, donc je donne comme c'est sur le site en lien de la note 6 de l'article:

Le "breton unifié" devient critère d'embauche. Les entreprises du Club des Entreprises de Bretagne ont décidé de favoriser l'embauche de "bretennants" parlant le "breton unifié", langue artificielle comprise par moins de 1 % des habitants en Bretagne (3000), fabriquée en 1942 par les R. Hémon et autres fachos. Il y a en Bretagne 350000 locuteurs des 4 dialectes! Il s'agit en fait de créer un marché de l'emploi artificiel pour les élèves des Diwan. (Charlie Hebdo, 31.5.2000) Celui qui a écrit ça n'a visiblement aucune connaissance concrète de la langue bretonne...mais j'ai l'habitude. ClaudeLeDuigou 12 avril 2007 à 21:03 (CEST)

La remarque pourrait avoir une valeur si les auteurs que tu cites étaient les sources validantes. Ils n'apparaissent qu'en tant que page internet citant l'article de Charlie-Hebdo. Pour le reste, ils peuvent bien penser ce qu'ils veulent, ce n'est pas le sujet e l'article. Attis 12 avril 2007 à 21:28 (CET)
La présentation est telle que l'article est bien signé des deux auteurs.

ClaudeLeDuigou 12 avril 2007 à 21:57 (CEST)

Tout montre que l'article esr bien de Kerloc'h et Marhic, donc la note est mal rédigée:

Charlie Hebdo, n° 361, 19 mai 1999 Mise en ligne sur ce site : novembre 1999 Bretagne ET MAINTENANT, LA PRÉFÉRENCE RÉGIONALE… Des aides réservées aux natifs : la Région Bretagne, dirigée par un RPR, lustre le poil des nationalistes. (...)au motif que, normalien et écrivain, il a beaucoup contribué au rayonnement de la langue française… A. Kerloc’h et R. Marhic

Comment peut-on parler le breton unifié alors que c'est un standard écrit?

[modifier] Corses, Bretons, et tutti quanti

Si tu cherches des références pour la Corse, fouille encore Charlie Hebdo ou les sites anticommunautaristes notoires: apparemment c'est là qu'Archéos a trouvé les exemples qui lui ont inspiré cet article (voir la première version de l'article en février 2006). Shelley Konk 11 avril 2007 à 23:37 (CEST)

L'exemple tiré de Charlie Hebdo n'a rien a voir avec la préférence nationale. Il s'agit là de préférence régionale, probablement pratiquée dans d'autres régions, avec ici l'ouverture linguistique en plus (il existe des bretonnants hors de Bretagne, Jeffrey Shaw n'est qu'un exemple). Shelley Konk 12 avril 2007 à 10:02 (CEST)

Pour la Corse, les sources que j'ai consulté (notamment rfi) placent l'expression « préférence nationale » dans la bouche des adversaires des nationalistes. Dans la bouche des nationalistes, j'ai trouvé la « lutte contre la décorsisation » des emplois. D'autres expressions existent sans doute, la question étant de savoir si on trouve « préférence nationale ». En ce cas, les nationalistes considérant que la Corse est un pays colonisé par la France, et non une région, l'exemple ne poserait pas de problème. Idem pour la Bretagne, où les nationalistes bretons considèrent qu'ils appartiennent à un peuple distinct. Quant aux aides, elles concernent ceux qui sont nés en Bretagne ou y résident depuis au moins deux ans, rien à voir avec le fait d'être bretonnant ou non.
Pour ce qui est de la formule « probablement pratiquée dans d'autres régions », ayant déjà dit précédemment ce que je pensais de telles supputations, je n'y reviens pas.
En tout cas, ta dernière intervention est la première qui offre un argument de valeur (le caractère régional de la « préférence »), ce qui, étant donné tes premières modifications, représente une amélioration sensible. Attis 12 avril 2007 à 10:46 (CET)
Mon tuyau t'as donc servi. Mais il ne faudrait quand même pas exagérer et faire de wikipédia une annexe de l'Observatoire du Communautarisme, ni confondre communautarisme.com et neutralité.
Généralement il ne suffit pas d'appartenir au peuple français pour être conidéré comme un nationaliste français. En toute neutralité ce devrait également être valable pour les autres peuples, breton ou navajo, corse ou pygmée, etc. Le nationalisme est défini dans wikipédia.
Les aides aux personnes résidant dans un département devraient logiquement faire ouvrir un article préférence départementale. Sauf que, comme dans le cas de la préférence régionale, ce serait prendre position.
Il y a également une préférence municipale concernant les aides accordées aux enfants scolarisés dans la commune (et refusée à ceux qui viennent de la commune voisine), aides âprement discutées dans les cas des écoles bilingues qui sont loin d'exister dans toutes les communes de Bretagne.
Il n'en reste pas moins que ce qui ne concerne pas la préférence nationale n'a rien à faire dans l'article. Shelley Konk 12 avril 2007 à 19:07 (CEST)
Je n'ai nul besoin de tes "tuyaux". Par ailleurs, j'ai pu constater, au contraire, que le site communautarisme.net est considéré comme une source valable par les arbitres.
Bien évidemment, tu passes sous silence l'article de la revue Hérodote, sur lequel tu ne peux plaquer tes schémas favoris.
Quand je parle de nationalisme breton, je ne parle pas de la majorité de droite du conseil régional, mais bien des mouvements qui défendent l'idée d'une Bretagne indépendante, ceux en faveur desquels, selon Charlie-hebdo, a été votée la mesure citée.
Enfin, ne fais pas mine de confondre une aide s'adressant à l'ensemble des habitants d'une commune avec celle qui s'adresse uniquement aux personnes durablement installées. C'est cette nuance qui est jugée discriminatrice.
De même, quand le club des entreprises de Bretagne fait en sorte de favoriser l'emploi des personnes parlant breton, cette décision prête singulièrement aux critiques concernant son caractère discriminatoire.
Ceci dit, comme je te l'ai déjà dit, ton argument sur le caractère régional de la préférence est le premier qui présente un véritable intérêt et mérite discussion. Si on peut éviter des polémiques partisanes, ce serait mieux. Attis 12 avril 2007 à 22:05 (CET)
L'article semble donc reconnaître les "nationalités" corse et bretonne. Encore une manipulation séparatiste. Chapeau! :-))) ClaudeLeDuigou 12 avril 2007 à 21:07 (CEST)
Dans "Exemples en France", 2 lignes visent l'extrême-droite nationaliste française, 5 les nationalistes corses, 3 les nationalistes bretons. Comprenne qui pourra... ClaudeLeDuigou 14 avril 2007 à 17:13 (CEST)


La préférence nationale est une notion française basée sur la nationalité et la détention de papiers prouvant cette nationalité. Or, les trois-quarts de l'article portent sur des application particulière, non fondée sur la nationalité. Donc hors-sujet. Shelley Konk 15 avril 2007 à 08:03 (CEST)

"Splann!" (Lumineux): j'approuve ce qu'écrit Shelley Konk ci-dessus. ClaudeLeDuigou 15 avril 2007 à 11:05 (CEST)
Avis bien expéditif, de même que l'évaluation aux 3/4, surtout après les modifications de Shelley Konk. Il ne faut pas oublier la prétention des nationalistes corses, bretons, flamands, etc. à appartenir à une nation distincte. La plate-forme commune des mouvements corses en 1999 ou le programme d'Adsav entrent donc bien dans le cadre.
Ceci dit, la prise de mesures discriminatoires sous la pression d'organisations nationalistes (comme en Corse, ne serait-ce que pour la SNCM) n'est pas étrangère à la constitution d'une "préférence nationale".
Maintenant, ClaudeLeDuigou, répéter plusieurs fois "telle langue n'est pas difficile à apprendre", outre que c'est un avis personnel en commentaire d'une information, revient à justifier la mesure, donc à prendre parti (alors que la langue concernée n'est que l'une des langues officielles ou ne l'est pas). Sous entendu, ils n'ont qu'à apprendre la langue. On peut se passer de telles phrases, me semble-t-il. Attis 15 avril 2007 à 15:22 (CET)

1. Il faut éviter de confondre "des nationalistes" avec "les nationalistes", et donc "Adsav" avec le reste.

2. Une langue peut s'apprendre (comment "sourcer" cette information??????); si, en plus, l'autorité administrative disposant du budget PAIE les gens pour l'apprendre, où est la "préférence nationale" (cas du Finistère et, si mes souvenirs sont bons, de la Flandre - dans ce cas précis, il serait intéressant de savoir si l'apprentissage du néerlandais est obligatoire dans les systèmes scolaires de Bruxelles et de la Communauté francophone)???

3. Attaquer (et c'est bien d'attaque qu'il s'agit ici) une telle mesure en la rangeant sous la rubrique "préférence nationale" est tout autant un avis personnel.

4. Attribuer la décision de la majorité au Conseil Régional de "Bretagne", alors dominée par le RPR-UMP, aux "pressions des nationalistes" (bretons, oeuf corse) est tout simplement grotesque. ClaudeLeDuigou 15 avril 2007 à 15:50 (CEST)

Tu fais bien de mettre l'accent sur "les nationalistes" : je me rends compte que tu as fait une belle erreur. Il s'agit des organisations nationalistes corses, et il est indéniable que toutes défendent la préférence nationale, comme l'indique la plateforme de 1999.
La question n'est pas le sourçage, mais la valeur d'un avis personnel, dont je mets en doute l'intérêt.
Pour la mesure du conseil régional breton, elle est jugée comme un geste en direction des nationalistes bretons. Dans ce cas, il ne s'agit pas de pression, mais, selon Charlie-hebdo, de drague Tu veux dire RPR-UDF, je pense?. Attis 15 avril 2007 à 16:15 (CET) Tiens! L'apprentissage du français au Val d'Aoste présenterait-il une difficulté particulière, et la région formerait-elle une nation? Attis 15 avril 2007 à 16:22 (CET)

1. Majorité de l'époque: non, bien RPR devenu UMP (+ UDF, c'était sous-entendu - j'avais mis l'article au singulier).

2. OK sur la Corse, sauf pour la langue: je répète qu'une langue, ça s'apprend. Maintenant, je fais comment pour prouver ça???

3. Quelle est la valeur des autres avis personnels qui truffent cet article ?

4.1 Pour la mesure du conseil régional breton (i.e. Conseil régional de la région administrative "Bretagne"), elle est jugée comme un geste en direction des nationalistes bretons. Si "Charlie-Hebdo" l'écrit, ça doit être vrai, et si Madame Morvan et Monsieur Le Guennec pensent la même chose, ben, je me tais, je suis écrasé devant tant de science proprement encyclopédique...

4.2 Dans ce cas, il ne s'agit pas de pression, mais, selon Charlie-Hebdo, de référence nécessairedrague. Ben, sait-on jamais, si les "nationalistes bretons" renvoient l'ascenseur à Monsieur Sarkozy, ce seront peut-être leurs voix qui feront la différence. :-)))

5. C'est tout à fait volontairement que j'ai mentionné "L'apprentissage du français au Val d'Aoste", pour montrer que cet article ne tient pas debout.

ClaudeLeDuigou 15 avril 2007 à 16:47 (CEST)

Références possibles:

1. Mes quatre enfants parlent breton, or ils ne savaient pas en naissant.

2. La plus jeune des soeurs de ma compagne et ses deux enfants parlent néerlandais, or ils ne savaient pas en naissant.

Ces références sont-elles valables?

ClaudeLeDuigou 15 avril 2007 à 20:10 (CEST)

Je crois que Shelley Konk, dont j'ai percé l'identité, se débrouille bien en anglais.

ClaudeLeDuigou 15 avril 2007 à 20:12 (CEST)

De même, quand le club des entreprises de Bretagne fait en sorte de favoriser l'emploi des personnes parlant breton, cette décision prête singulièrement aux critiques concernant son caractère discriminatoire. Le fait de savoir parler breton, c'est inné ou ça s'acquiert? Débat passionnant... ClaudeLeDuigou 15 avril 2007 à 23:15 (CEST)

[modifier] Drague

Pour la drague, quelles références? Les capotes en couverture de Charlie-Hebdo? Sourire Shelley Konk 15 avril 2007 à 19:52 (CEST)

Shelley Konk, tu es sûr de l'info suivant laquelle "corsisation" est un "terme fabriqué sur le modèle de la francisation"? Quand on sait que l'article francisation évoque la transformation des mots d'origine étrangère selon les caractéristiques françaises, le rapprochement (informé?) n'en paraît que plus douteux. Est-ce une intuition, de ta part, du même acabit que l'info suivant laquelle d'autres régions que la Bretagne auraient créé des aides discriminatrices? Un sourçage est nécessaire, si c'est possible. Attis 16 avril 2007 à 20:07 (CET)
Francisation

[1] FRANCISATION, subst. fém. Action de rendre français, de donner le caractère français; résultat de cette action. Ou bien : la francisation complète (...) les Algériens (...) bénéficiant (...) de toutes les dispositions prévues pour la métropole (Doc. hist. contemp., 1959, p. 219). Spécialement DR. MAR. Action de reconnaître à un navire le droit de battre pavillon français et de jouir des privilèges qui y sont attachés; résultat de cette action. Acte de francisation. La Douane a encore dans ses attributions la « francisation » (M. BENOIST, PETTIER, Transp. mar., 1961, p. 198). LING. Action de franciser; résultat de cette action. [Correspond à franciser B 2 a] Cf. S. MERCIER, Néol., t. 1, 1801, p. 281. [Correspond à franciser B 2 b] Le Roussillon, théâtre sous Louis XIV d'une intéressante tentative de francisation par l'école (L. FEBVRE, Combats pour hist., Lang. en fr. XVIIIe s., 1926, p. 191). Prononc. et Orth. : [ FPRIVATE ]. Ds Ac. 1835-1932. Étymol. et Hist. 1796 (Néologiste français ds Z. fr. Spr. Lit. t. 35, p. 137). Dér. de franciser*; suff. -(a)tion*. Bbg. DUB. Dér. 1962, p. 33. WEIL (A.). En Marge d'un nouv. dict. R. Philol. fr. 1932, t. 45, p. 21. ClaudeLeDuigou 17 avril 2007 à 08:36 (CEST)

Ces informations auraient plus leur place sur la page francisation, à enrichir. La question, ici, est celle de l'origine du néologisme "corsisation", qui, selon Shelley Konk, tirerait sa source de l'exemple de "francisation", ce qui n'est pas encore prouvé et, pour tout dire, paraît fort douteux. Attis 17 avril 2007 à 9:51 (CET) À l'appui de mes doutes, ce lien. Je supprime l'incise. Attis 17 avril 2007 à 10:02 (CET)

[modifier] Retrait de Benoni

Benoni a retiré l'exemple du club des entreprises de Bretagne, mais ni celui du Val d'Aoste, ni celui de la Flandre, tous exemples de discrimination par la langue. Peut-il préciser les raisons de cette distinction? Merci. Attis 16 avril 2007 à 19:51 (CET)

Effectivement, il me semble qu'il faudrait aussi retirer les exemples du Val d'Aoste et de la Flandre qui ne me paraissent pas à première vue être des cas de discrimination nationale. Mais ces cas sont plus ambigus que le cas breton que j'ai retiré, et ne connaissant pas bien ces régions, je préfère laisser à d'autre le soin de les retirer. Si vous voulez, vous pouvez créer un autre article sur les "discriminations linguistiques" qui est un thème différent de celui de la Préférence nationale. Le thème de la préférence nationale est un thème quasi-exclusivement d'extrême-droite alors que le thème de la préférence linguistique est au final assez courant: cf. les entreprises françaises (mais aussi les services publics) qui exigent que ses employés sachent le français (et/ou l'anglais d'ailleurs de plus en plus souvent), cf le même exemple au Québec, et en Catalogne c'est le Catalan, etc. La "discrimination linguistique" (mais je n'adhère pas pas à ce concept) n'est pas une sélection essentialiste comme la préférence nationale, mais une sélection à partir d'une certaine compétence: la maitrise ou non d'une langue (qui comme toute connaissance peut s'acquérir). Bref, cet article mélange un peu tout et n'importe quoi de façon très préjudiciable à sa qualité.Benoni 16 avril 2007 à 23:43 (CEST)
Personnellement OK pour mettre de côté ce qui concerne les langues. ClaudeLeDuigou 17 avril 2007 à 08:27 (CEST)
Puisqu'il y a accord global... Fait. Attis 17 avril 2007 à 9:45 (CET)

[modifier] La Réunion

Kergidu avait rajouté une sous-partie "exemple à La Réunion" composée d'un exemple de La Réunion qui pouvait aussi bien être intégré dans "exemple en France" (ce que j'ai fait), de propos (très longs) de candidates à la présidence (donc rien de concret) et d'une conclusion polémique. S'extraire du plan global et créer sa propre partie pour pouvoir polémiquer, ce n'est guère constructif.
Kergidu veut distinguer "préférence nationale" et "préférence régionale"? Pourquoi pas? On peut en discuter. Pas la peine de se lancer dans des vitupérations inutiles.
J'ai par ailleurs retiré un passage sur la discrimination linguistique, étant donné qu'on a déjà dit qu'il valait mieux mettre cela dans un article à part.
En outre, toujours le même problème d'absence de sourçage.Attis 17 avril 2007 à 17:04 (CET)

[modifier] Préférence nationale linguistique

Il conviendrait de distinguer la discrimination linguistique qui est pratiquée au niveau individuel, avec ou sans base légale, et la politique de préférence nationale linguistique pratiquée par l'état qui exclut les langues nationales autres que la langue officielle de la constitution, de la protection des lois et de la vie publique et qu'il faudrait mentionner.
L'article préférence régionale est créé. Shelley Konk 18 avril 2007 à 05:11 (CEST)
Est-ce que l'expression "préférence nationale linguistique" existe? Attis 18 avril 2007 à 09:09 (CET)

C'est vrai: il n'y a que la préférence linguistique régionale, terme utilisé une fois au moins par les ennemis revendiqués de la diversité linguistique (http://www.europe-et-laicite.org/Documents/MEL-Langues.html). Moralité: ils nous fabriquent le vocabulaire et le prêt à penser, décrètent les termes qui ont droit à l'existence, donnent comme les évêques leur imprimatur: les vilains font dans la préférence linguistique régionale (sic), mais chez les gentils la préférence linguistique nationale (inscrite dans l'article 2 de la constitution depuis 1992) n'existe pas. Ben voyons! Shelley Konk 18 avril 2007 à 16:19 (CEST)

Tu veux bien te calmer! On dirait un gamin dans une cour de récré. Benoni en a déjà parlé plus haut, de la discrimination linguistique. On ne va pas créer des expressions inusitées pour te faire plaisir. Wikipedia est une encyclopédie : on explique ce qui existe, pas ce qui reste à inventer. Attis 18 avril 2007 à 20:38 (CET)
C'est dommage qu'Archeos ne soit plus des nôtres. ClaudeLeDuigou 19 avril 2007 à 09:11 (CEST)
On a clairement "préférence linguistique", qui est une expression recensable, encore qu'avec des sens divers (dans un sens souvent différent de celui que tu désires mettre en avant, d'ailleurs), de même que "discrimination linguistique". "Préférence linguistique régionale" n'est qu'une construction à l'emploi très minoritaire. Quant à "nationale"... Ni l'une, l'autre ne justifient un article, car elles ne disposent pas d'un emploi significatif. Attis 19 avril 2007 à 10:16 (CET)

[modifier] Jeunes professeurs titularisés

Étant donné que, par deux fois, il a tenté d'introduire un passage sur la langue corse tout à fait incongru, j'en déduis que Shelley Konk n'a rien compris au problème des jeunes professeurs titularisés corses.
En fait, quand les professeurs, au terme de leur deuxième année d'IUFM, sont titularisés, ils choisissent leur académie d'affectation. Selon les cas, ils disposent de plus ou moins de points, en fonction de critères professionnels ou familiaux. Les vœux de ceux qui ont le plus de points sont prioritaires. Or, les jeunes professeurs corses titularisés disposent d'un nombre de points autrement plus conséquents que leurs collègues des autres académies, ce qui leur permet de rester dans l'île et d'y interdire l'entrée aux continentaux. Or, il y a plus de titularisés que de postes ; et quand on a décidé, plutôt que de continuer à créer des postes fantômes, de les envoyer sur le continent, voilà quelques années, ils ont protesté (violemment).
C'est tout. Rien à voir, donc, avec la langue corse. Attis 18 avril 2007 à 20:53 (CET)

[modifier] La non-application de la préférence nationale

Kergidu a rajouté comme exemple de non-application de la préférence nationale le fait que les écoles Diwan recrutent également des professeurs non Bretons. Outre que, dans le cas contraire, il s'agirait de "préférence régionale" (à moins qu'il y ait une revendication de type nationale sur le sujet, évidemment), si on commence à des donner de tels exemples, on n'a pas fini. On dépasse quelque peu les limites du sujet. À moins évidemment qu'il soit explicitement fait état de ce refus d'une forme de "préférence nationale" par ces écoles. Attis 27 avril 2007 à 11:03 (CET)

Bof! Il s'agit d'une préférence de compétence, basée sur la langue (pour une fois ce n'est pas le français)  : pour enseigner en breton on vérifie la compétence linguistique, et on s'en fiche de l'origine géographique, ethnique. Un recrutement basé sur les compétences et non sur l'idéologie? inc'oyable! Kergidu 27 avril 2007 à 16:02 (CEST)