Discuter:Plan de partage de la Belgique de Talleyrand

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Talleyrand affirme, dans ses mémoires, récemment rééditées ("Mémoires et correspondances", collection "Bouquins", Robert Laffont, mars 2007) qu'il était opposé à la partition de la Belgique. Cette idée était partie de France, mais elle lui paraissait nuisible aux intérêts de son pays. La Prusse se serait rapproché des frontières française. Et la présence britannique aux frontières de l'Hexagone ne lui semblait pas opportune. Il préfèrait de loin un pays inoffensif, avec un souverain "quelconque" (texto), sans véritable armée pour garnir les 13 ou 14 forteresses qui mençaient à l'époque la frontière nord de la France. C'est du reste ce qu'il est advenu. Robert van Apeldoorn, Bruxelles, 23 avril 2007.