Discuter:Pierre Terrail de Bayard

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Motif du déplacement de Pierre du Terrail vers Chevalier Bayard : en vertu des Conventions sur les titres d'articles (et notamment du point 19, qui invoque un « principe de moindre surprise »), le titre le plus évident serait Bayard (avec risque d'homonymie lié aux éditions Bayard, notamment) puis, à défaut, chevalier Bayard. L'appellation Pierre du Terrail est inconnue de la plupart des gens, ce dont on trouve un (vague) indice dans les requêtes Google "Pages francophones", qui rapportent 3 490 "chevalier Bayard" contre 620 "pierre du terrail". Sans même parler des dictionnaires et encyclopédies qui font un classement à Bayard (Petit Robert : « BAYARD (Pierre du Terrail, seigneur de) », Petit Larousse : « Bayard (Pierre TERRAIL, seigneur DE) », etc.). Hégésippe Cormier | ±Θ± 20 déc 2004 à 14:57 (CET)

D'accord avec toi Hégésippe. La Palice 30 mars 2007 à 14:48 (CEST)

[modifier] déplacé depuis interieur article (posté par IP)

Camille Monnet a écrit ceci « La pique vénitienne a épargné l’artère et la veine fémorales, mais elle peut avoir lésé des organes voisins, avoir mutilé Bayard de façon grave et même l’avoir atteint dans sa virilité. S’il en était ainsi, on comprendrait le refus embarrassé opposé par l’évêque Laurent Ier Alleman à la reine de France qui lui proposait un mariage avantageux pour son neveu. » (Petite histoire véridique des faits et gestes du capitaine Bayard – Page 121) Vous pouvez donc juger de la valeur de cette information, émise par C. Monnet, et seulement par lui, qui ne repose sur aucun fait réel, que sur une conjecture de l’esprit. Après cela, l’un de ses proches amis a écrit un livre populaire où il reprend les dires de C. Monnet avec un gros titre « Bayard était-il émasculé ? ». Ainsi va la rumeur, qui va en s’amplifiant, en se déformant, et qu’il est difficile de stopper.

Il aurait fallu que C. Monnet nous explique comment Bayard, après avoir été « lésé des organes voisins », a pu faire 250 km « à cheval » de Brescia jusqu’à Ravenne ; et dans quel but, une fois à Grenoble par la suite, il a demandé à son valet, nommé Cordon, d’aller lui chercher une femme pour la nuit. Voici textuellement, ce qu’a écrit son biographe en 1527 (en vieux français) : « Comme assez povez entendre qu’il n’estoit pas sainct, ung jour lui print voulenté d’avoir compaignie françoyse. Si dist à ung sien varlet de chambre, qu’on nommait le bastard Cordon : Bastard ! je te prie que aujourd’huy à coucher avcques moy j’aye quelque belle fille… ». On voit, par ces paroles, que Bayard n’était pas un saint, ni un emasculé. Adoubement de François Ier par le chevalier Bayard Il existe aux Archives départementales des Hautes Alpes, un document référencé F2167, volume IX des pièces manuscrites, pièce No 23, qui atteste cet adoubement. Il s'agit d'une requête, rédigée en latin, adressée à François Ier en personne par la ville d'Embrun qui comporte la phrase suivante (Traduction): "De même pour l'arrivée du dit notre seigneur le roi François; de même, parce qu'il a été fait chevalier par la main du seigneur de Bayard". Voir copie de ce document dans : http://chevalier_bayard.monsite.orange.fr