Discuter:Pierre Mendès France

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Vérification faite dans plusieurs dictionnaires : il n'y a jamais eu de trait d'union dans le nom de "Pierre Mendès France". Donc déplacement, et correction en cours ailleurs. Jerotito 21 mar 2004 à 17:04 (CET)

Pourquoi le passage ci dessous

"De nombreux établissements scolaires et universitaires portent son nom (à Paris et Grenoble), ainsi que le lycée français de Tunis.

Pierre Mendès France était titulaire, entre autres, de la Croix de Guerre et la Médaille de la Résistance

En 1933, Pierre Mendès France épouse Lily Cicurel (1910-1967). Ils ont deux enfants : Bernard Mendès France (1934-1991) et Michel Mendès France (né en 1936). En 1971, Pierre Mendès France épouse Marie-Claire de Fleurieu (née Servan-Schreiber).

Michel Mendès France a épousé Joan Horsley. Ils ont eu deux enfants : Tristan Mendès France (1970) et Margot Mendès France (1975)."

figure t il dans la section : "La bête noire de l'extrême droite" ? --194.119.125.25 28 juillet 2006 à 17:42 (CEST)

[modifier] j'ai effacé ce passage

Bonjour,

Pour répondre au précédent, j'ai effacé le passage sur la vie privée de Mendès qui me semblait dénuer de tout intérêt.

Pour le reste, j'ai enrichi la page sur la base de mes travaux de recherche d'étudiant sur Pierre Mendès France.

Florimond.


[modifier] Passage non-neutre et non sourcé

Le passage suivant non-neutre n'était pas sourcé et j'en avais demandé des références : "Pierre Mendès France demeure alors une référence comme symbole d'une conception exigeante de la politique"

Jrmy a fourni ces liens comme "référence" :

- Un article de Politis, hebdomadaire de la gauche anti-libérale : "Pierre Mendès France, mythe de la morale en politique", Olivier Doubre, 29 mars 2007. La seule référence à notre phrase que l'on peut y trouver est dans le titre "Le mythe de la morale"

- Une biographie de Mendès par Jean Lacouture, journaliste défendeur de Boudarel et des Khmers rouges, qui précise lui-même que ces biographies sont emplies de subjectivité et d'emphase. Aucune référence n'est donné en rapport avec la phrase en question.

- Un ouvrage de 1990 par Édith Aberdam, Janine Chêne : "Pierre Mendès France, la morale en politique" issu d'un Colloque Pierre Mendès France . Janine Chene, par ailleurs co-auteur en 2003 de "La Tentation populiste au coeur de l'Europe" et Édith Aberdam auteur de "Comment devient-on dreyfussard ?" en 1998 . Une référence indirect existe dans le résumé de cet ouvrage universitaire : D'après ces auteurs Mendès aurait agit en fonction d'un morale personnelle. (Des universitaires nécrotélépathes sans nul doute)


Comme nous pouvons le voir, il n'y aucune véritable référence à la phrase non-neutre "Pierre Mendès France demeure alors une référence comme symbole d'une conception exigeante de la politique".


Tout au plus nous pouvons dire que :

"Depuis sa mort en 1982, la personne de Mendès-France jouit d'un certain prestige dans les milieux de gauche."


Cordialement.Kintaro Oe | 18 septembre 2007 à 14:19 (CEST)

Je comprend que quelqu'un comme mendès incarne la morale en politique soit difficile a accepter pour certains. Il n'empeche que dans le monde extérieur, soit à travers ses démissions, ses choix plitiques ou ses choix personnels, il est frequemment cité en temps que tel. Mais on peut pas tout savoir. Jrmy 18 septembre 2007 à 14:43 (CEST)

Effectivement nul ne peut tout savoir. C'est pour cela que nous avons besoin de référence précises. Cela étant dit chacun à le droit d'avoir son opinion personnelle .Kintaro Oe | 18 septembre 2007 à 15:38 (CEST)
Extrait de la bio d'Eric Roussel : « Pour plusieurs générations de hauts fonctionnaires, de cadres dirigeants, d'intellectuels et de citoyens anonymes, Mendès France a été une référence morale. Si de Gaulle avait une certaine idée de la France, lui incarnait une certaine idée de la République, avec pour principes le souci du bien commun, le respect de l'adversaire, la volonté de dire toujours la vérité. », un titre d'ouvrage Éthique et démocratie : L'exemple de Pierre Mendès France, qui, s'il est publié par l'institut PMF et préfacé par Jospin, montre bien sur quoi tient l'héritage de PMF pour la gauche actuelle, et surtout discours de Debré (qui n'est pas de sa tendance) comme président de l'Assemblée : « Cinquante ans jour pour jour après le discours qu'il prononça pour proposer aux députés un contrat de gouvernement et les convaincre de lui accorder leur confiance, Pierre Mendès France reste, en effet, pour beaucoup de nos concitoyens, une référence. Il est juste que l'Assemblée nationale honore aujourd'hui, quelle que soit la place des uns et des autres sur l'échiquier politique, la mémoire de celui qui a pris place parmi les meilleurs pédagogues de l'idée républicaine. Et qu'elle continue ainsi de méditer son message. ». A cela s'ajoute les références des divers politiciens de gauche à l'image mendesiste, notamment Rocard. HaguardDuNord 18 septembre 2007 à 15:46 (CEST)
Les opinions de ces personnes sont fort intéressantes, et mériterait d'être indiquées dans l'article. Un paragraphe pourrait même être créé afin d'évoquer l'héritage intellectuel et politique de Mendès-France. ( Je m'interroge, personnellement, sur la raison du discours de Debré. Il y a bien sûr sa fonction qui lui impose ce genre de discours, mais peut-être y avait-il une autre raison). Cordialement.Kintaro Oe | 18 septembre 2007 à 16:49 (CEST)
Résistant dans les FFI, Président du conseil qui a agit sous la IV, "destin brisé" par l'instabilité et de l'inefficacité de la IVe, gouvernement "d'ouverture" avec des gaullistes comme Chaban et des CNIP comme Bettencourt, des socialistes comme Mitterrand, etc), une vision moderne de la politique, une conception particulière de la politique qui le fait démissionner plusieurs fois, du coup peu de responsabilité apres son gouvernement, partisan du parlemantarisme... PMF a vraiment marqué une génération, des gaullistes centristes au PS d'Epinay. Voila, je suppose, les raisons pour Debré. Et puis, ils furent tous 2 députés de l'Eure. HaguardDuNord 18 septembre 2007 à 20:53 (CEST)
Je ne suis pas certain que cela se trouve dans des affinités locales ou dans un passé partagé. Je me demande plutôt si Debré ne partage dans une mesure les vues politiques de Mendès. En relisant son discours, je suis sidéré de le voir parler ainsi de Jean Lacouture. :/.Kintaro Oe | 18 septembre 2007 à 21:05 (CEST)
Debré parle là entant que "chef des députés". Il est ici, je pense, la voix de son institution plus que l'expression de sa pensée. Mais, si je doute qu'il existe des affinités politiques, il est certain que Debré a eu, comme président de l'Assemblée, une conscience des institutions qui pourrait se rapprocher de l'idée que s'en faisait Mendes (je n'ai lu ni l'un ni lautre, donc ce commentaire, hors propos de toute facon, est hautement spéculatif Sourire). HaguardDuNord 18 septembre 2007 à 21:13 (CEST)
La "voix de son institution". Un terme est bien choisi. :).Kintaro Oe | 18 septembre 2007 à 21:45 (CEST)


C'est étonnant oui, pourtant Debré n'est pas connu pour avoir une religion particulière ? a moins que tu ais des informations particulières a ce sujet ? Jrmy 18 septembre 2007 à 19:27 (CEST)
Pardon? A quoi faites vous allusion, Jrmy ?.Kintaro Oe | 18 septembre 2007 à 21:05 (CEST)


Ce passage est-il vraiment neutre ? "La gauche avant de le béatifier lui reprocha ses positions "Algérie française", son activisme anti-européen et sa présence irresponsable au Stade Charléty où se tenait un grand meeting de soutien aux trublions qui avaient fomenté les évènements de mai 68 et qui avaient plongé la France dans le chaos." Roswellmatt (d) 17 janvier 2008 à 01:03 (CET)