Paul de Viguerie

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Cet article est une ébauche concernant une personnalité française.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant. (Comment ?).

Cet article ou cette section ne cite pas suffisamment ses sources. (date inconnue)

Son contenu est donc sujet à caution. Wikipédia doit être fondée sur des sources fiables et indépendantes. Améliorez cet article en liant les informations à des sources, au moyen de notes de bas de page (voir les recommandations).

Paul de Viguerie, né le 12 mai 1947, est une personnalité française active au sein d'associations familiales.

Maître-ès-sciences économiques, il obtient le diplôme d'ingénieur agronome de l'École nationale supérieure agronomique de Montpellier (ENSAM).

Après avoir occupé différents postes dans les Chambres d'Agriculture, il fut Directeur général de l'Assemblée des Départements de France jusqu'en mai 2004.

Son activité publique se situe au sein des associations familiales où il fut :

Président de la Confédération nationale des associations familiales catholiques (CNAFC) de mars 2001 à mars 2007.
Membre du Conseil d'administration de l'UNAF de 1989 à 1993, de 1995 à 2001, de 2003 à 2006.

C'est au titre de cette activité au sein des associations familiales qu'il siège au Conseil économique et social depuis septembre 1999. Paul de Viguerie s'intéresse particulièrement aux "intérêts matériels et moraux" des familles et des générations qui nous suivront. C'est ainsi qu'en tant que membre de la section du cadre de vie, il fut le rapporteur des travaux du Conseil économique et social en avril 2006 sur le thème "Les politiques de l'urbanisme et de l'habitat face au changement climatique" (ISBN 2-11-120695-4). Dans la lutte contre le changement climatique, contre l'augmentation des gaz à effet de serre dans l'atmosphère, les secteurs de l'urbanisme et de l'habitat ont un rôle très important à jouer. En effet ils sont directement ou indirectement à l'origine de près de 45% des émissions de gaz à effet de serre et cette part ne fait que croître depuis quelques années. De façon à pouvoir respecter le Protocole de Kyōto, il est indispensable pour la France de 2006 de mieux maîtriser les émissions de gaz à effet de serre issues de ces secteurs.