Discuter:Paternité des œuvres de Molière

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Sommaire

[modifier] Demande de vérification

Quelqu'un pourrait vérifier ce diff pour voir si ça correspond à la réalité ? Traroth | @ 18 janvier 2006 à 14:36 (CET)

Il semble y avoir une erreur dans les chiffres : Si tous les mots sont employés dans deux textes à la même fréquence, la distance relative est 1. Si les textes ne partagent aucun mot en commun, la distance est de 0. Mais la suite dit le contraire, enfin, si je comprends quelque chose.

[modifier] Vérification faite

Pour ton second paragraphe, tu as raison: la proximité tend vers zéro (c'est habituel en mathématique), et l'éloignement vers 1. Il y a peut-être eu une confusion avec les probabiblités, où la certitude est 1?

Sans prendre parti sur le sujet lui-même, certains contre-arguments me semblent débiles: pourquoi les "détracteurs" modernes s'en prendraient-ils à Molière avec autant de mauvaise foi qu'au XVII? Le caractère odieux des accusations de l'époque (cocufiage, inceste...) ne sont pas à comparer avec les arguments philologiques modernes. Volapük 18 mars 2006 à 16:54 (CET)

[modifier] Les initiales J. B. Molière...

J'ai déplacé ici ce paragraphe surprenant (mais problématique) :

L’idée que Corneille a écrit une partie de l’œuvre attribuée à Molière est soutenue par une coïncidence étonnante. Si on remplace les trois premières lettres de J.B. Molière (Jean-Baptiste Molière[1]) par les lettres qui les suivent dans l’alphabet, en changeant ainsi J B M en L C N, on obtient les mots L.C. Nolière, qui ne sont qu’ une anagramme du nom Corneille! On peut supposer alors que Corneille changea les trois premières lettres pour rendre impossible un déchiffrement fait au hasard. Ainsi il pourrait prouver qu’il était Molière, s’il voulait le faire, mais personne ne pourrait le savoir autrement.[2]

Notes et références

  1. E.M. Miller, Molière and his homonym Louis de Mollier, Modern Language Notes, vol. 74, Nov. 1959, p. 620, note 53.
  2. Delphine Peras, Corneille fut-il le nègre de Molière?, Lire, Février 2007, p. 36.

Le souci de ce résultat oulipien (méthode S±n) étant surtout que les trois vraies lettres suivant J.B.M. sont K.C.N. (et non L.C.N.) on obtient donc l'anagrame de « Corneikle »... c'est beaucoup moins impressionnant... ou de « or nickelé » ce qui a déja plus de sens... 夕鹤 13 février 2007 à 00:57 (CET)

Reste à savoir si la lettre K était au XVIIe s. considérée comme inhérente à l'alphabet français. Si tel n'était pas le cas l'hypothèse serait tout à fait cohérente. Fpo, 13 février 2007 à 02:16 (CET)

Je n'irais pas jusqu'à dire "cohérente", c'est plutôt tiré par les cheveux, mais effectivement c'est une solution imaginaire qui peut tenir debout... Dans ce jeu anagrammatique on voit aussi qu'en fait c'est peut-être Molière qui serait la vraie personnalité et Corneille qu'une copie puisque l'anagramme de Molière peut se lire : réel moi et celui de Corneille : lire «clone»... 夕鹤 13 février 2007 à 09:40 (CET)
C'est quand même très capillotracté... J'aurais pensé que "Molière" était le pseudo de "Jean-Baptiste Poquelin" et donc qu'il ne se faisait pas appeler "Jean-Baptiste Molière", mais juste "Molière". Quelqu'un en sait plus ? Zorgspliff
Je trouve l'argument d'autant plus debile que Jean-Baptiste était le prénom de Molière bien avant qu'il (ou Corneille) choisisse son nom de scene. Cet Argument a-t-il vraiment sa place dans cet article ?
Je trouve que ça ressemble franchement à des arguments foireux pseudo-cabalistiques (Dans le genre, Umberto Eco montrait qu'en triturant bien les mesures d'un kiosque à journaux, addition, division... on pouvait trouver des rapports de longueurs qu'on retrouvait aussi dans la pyramide de Cheops...) Bref, c'est une supposition rigolotte, ça ne peut être une preuve, ni un argument si on n'a pas plus d'éléments. Je ne vois pas bien ce que ça a à faire dans cet article.

J'ai (de nouveau) retiré la section : l'article du magazine Lire (reproduit ici) ne parle pas de cette histoire d'initiales et d'anagrammes. La seule mention que j'en ai trouvée est . Je subodore que celle-ci est à l'origine de la section. R 12 octobre 2007 à 00:06 (CEST)

Vu l'historique, ce n'est plus une supposition mais une certitude ! R 12 octobre 2007 à 00:08 (CEST)

Comme on parle de Corneille comme étant le nègre de Molière, ne serait-il pas intéressant de mentionner que Molière a volé à Cyrano la réplique "qu'allait-il faire dans cette galère?" du Pédant joué. source:http://bullesprodth.ibelgique.com/le_vrai.htm

[modifier] Titre

J’aime pas du tout le titre de cet article, je trouve que ça fait un peu sensationnaliste… Je me propose de le renommer en Paternité des œuvres de Molière. Les anglophones ont en:Shakespeare authorship question, mais je ne parviens pas à le rendre autrement. Des oppositions, ou d’autres idées ? keriluamox reloaded (d · c) 28 octobre 2007 à 18:39 (CET)