Wikipédia:Pastiches/Théorème du con

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Caricature douteuse. (il faut être con, par exemple, pour douter de la connerie)
Caricature douteuse. (il faut être con, par exemple, pour douter de la connerie)
Médaille prix Nobel

Le théorème du con a été formulé en 2007 par Yann Pérodin, prix Nobel du génie, 1921.

Sommaire

[modifier] Interprétation

Le théorème du con formalise, d'une façon incroyablement complexe, une question toute simple: Est-ce que cet individu est con ou pas? La subtilité candide avec laquelle l'Équation répond à l'Énigme lui value, en 1922, le prix Nobel du génie.

[modifier] Formulation

[modifier] Sa formulation exacte est:

 Connerie = h \cdot\left(\frac{ \sqrt{Imbecillite^2 - Intelligence^2}} {MasseCervicale + VolumeCervical}\right)

Où:

h est la constante de Planck
\left( \cdot \right) sont des parenthèses avec un point au milieu

[modifier] Sa formulation relativiste est:

 Connerie = \sqrt{VitesseNeuronale^4}+\frac{1}{\sqrt[]{\hbar}}\cdot\left( \frac{ \sqrt{Imbecillite^2 - Intelligence^2}} {MasseCervicale + VolumeCervical}\right) /  C^2

Où:

\hbar est la constante de Dirac
C est la vitesse de la lumière dans le vide.
\left( \cdot \right) sont des parenthèses avec un point au milieu
sont des idéogrammes, probablement chinois, qui veulent dire quelque chose.

[modifier] Impossibilité quantique

Pour des raisons qui dépassent l'entendement, il est impossible de penser le théorème du con en terme quantique.

La superposition d'état:

\frac{1}{\sqrt[]{2}}\cdot(\alpha \cdot \left| Intelligent \right\rangle + \beta \cdot \left| Imbecile \right\rangle)

est évidemment hors de question, puisque même les systèmes quantique ne peuvent se trouver que dans un seul de ces deux état à la fois.

[modifier] Solution

Soit on est con, soit on ne l'est pas.


[modifier] Résonance sociale de la théorie du con

La vérité de l'être con

Quel hasard qu'une telle chose concorde tant avec le sujet sur lequel ce con me fait me pencher contre mon gré. Un con est un con d'abord et simplement parce qu'il ne concède pas à l'autre la gentillesse qu'il se devrait à lui-même de concéder. D'une.
De deux, un con est un con du fait qu'il se considère, lui, et lui seul, comme tenancier de ce qui n 'est pas la demeure de la connerie. Ce qui, architecturalement parlant, puisqu'il construit cette demeure, est paradoxal du fait qu'il se dit ne pas y demeurer alors qu'il y couche à toute heure du jour et de la nuit,et dans ses rêves même.
Et puis un con est con parce qu'il se pense outremesure au-dessus des autres par commodité connesque, si je puis dire, de sorte que l'annonce de sa connerie ne supportera pas plus longuement, car il ne sais pas lire plus d'un demi-paragraphe, ce qui le concerne et qui pourrait lui apporter un semblant (à sa mesure, s'il vous plait) de standardisation qui eut pu avoir comme résultat d'amoindrir sa bêtise en la réduisant au commun du temps, de sorte à ce qu'il s'en apprerçoive.
Mais c'est, de toutes les manières perdu, parce que celle qui habite notre hôte est telle qu'il semble qu'elle semble rédibitoire à toute tentative de prise de conscience, de bonne-avenue, l'aloi.
De fait, confronté au pouvoir qu'il s'octroie, et que moultes dispositions sociales lui concèdent (notament celle du dernier disant admis), il faut faire queue basse et attendre un moment plus favorable (celui où il se sera rendu compte de son état -- à quand ?) de sorte, à un tant soi peu pouvoir s'exprimer en dehors de sa conception du monde... si tant conne.

[modifier] Voir aussi

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