Olivier Chastel

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Olivier Chastel est un homme politique belge, membre du Mouvement réformateur, né à Liège le 22 novembre 1964. Olivier Chastel obtient le diplôme de pharmacien à l'Université Libre de Bruxelles en 1987.

[modifier] Biographie

1993 - 2006 ; juin 2007 - à ce jour : Conseiller communal à Charleroi
1998 - 1999 : Député wallon et de la Communauté française
1999 - février 2004 : Député fédéral
février 2004 - juillet 2004 : Ministre des Arts, des Lettres et de l'Audiovisuel du Gouvernement de la Communauté française Wallonie-Bruxelles
juillet 2004 - mars 2008 : Député fédéral, Vice-Président de la Chambre de Représentants.
4 décembre 2006 - 1 juin 2007 : Premier échevin de la Ville de Charleroi. Attributions : Affaires économiques – Commerce – Marchés – Emploi et Economie sociale.
20 mars 2008 - à ce jour : secrétaire d’État aux affaires Étrangères, chargé de la Préparation de la Présidence belge de l'Union européenne du Gouvernement Leterme I

Il a commencé sa carrière parlementaire comme député régional en 1998, en remplacement d'Étienne Knoops, démissionnaire.

En 2005, il a dénoncé des pratiques frauduleuses au sein de la La Carolorégienne, une société de logements sociaux.

Il présente sa démission en tant qu'échevin le 28 mai 2007 suite à ce qu'il nomme un "manque de loyauté" du PS de Charleroi dans le problème du départ forcé de Jean-Pol Demacq, l'échevin PS inculpé ^[1]. Démission actée lors de la réunion extraordinaire du Conseil communal de Charleroi le 1^er juin 2007.

[modifier] Affaires

Deux ans après l'affaire Daniel Ducarme du même parti politique, Olivier Chastel, marié depuis juin 2000, a continué à remplir des déclarations fiscales séparées avec sa femme en 2001 et en 2002. Un oubli qu'il a rectifié lui-même auprès de l'administration du ministère des Finances fin 2003 et qui a valu à cet homme politique de devoir payer la différence d'impôts. D'après le journal Vers L'Avenir, il semblerait que la fuite ait été orchestrée par le PS en représailles des révélations de ce dernier qui ont donné lieu aux affaires carolorégiennes. Jean-Claude Van Cauwenberghe, ayant d'ailleurs déclaré que le PS se préparait à "lancer quelques scuds pour ébranler la soi-disant transparence fiscale d'Olivier Chastel".

Fin janvier 2006, l'homme doit répondre à des accusations qui pèsent sur lui à propos de l’achat d’un terrain à bas prix à une société de logement social. Selon lui, il s'agit d'une attaque de Jean-Claude Van Cauwenberghe qui tente de se venger de son attitude concernant le dossier de La Carolo ^[2]. Il a totalement été blanchi^{[réf. nécessaire]}.