Nonancourt
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Nonancourt | |
Pays | France |
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Région | Haute-Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Évreux |
Canton | Nonancourt |
Code Insee | 27438 |
Code postal | 27320 |
Maire Mandat en cours |
Eric Aubry 2006-2008 |
Intercommunalité | Communauté de communes du Val d'Avre |
Latitude Longitude |
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Altitude | 97 m (mini) – 152 m (maxi) |
Superficie | 7,21 km² |
Population sans doubles comptes |
2 320 hab. (1999) |
Densité | 321 hab./km² |
Nonancourt est une commune française, située dans le département de l'Eure et la région Haute-Normandie. Les Nonancourtois y résident.
Sommaire |
[modifier] Géographie
[modifier] Histoire
- 1189 : Philippe-Auguste et Richard Cœur de Lion y signent une trève qu'ils ne respecteront pas.
[modifier] Administration
Liste des maires successifs | ||||
Période | Identité | Parti | Qualité | |
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1581 | Nicolas de L'Hospital | |||
début 17e | Pierre de L'Hospital | |||
1789 | Eustache L'Hopital | |||
2002 | 2006 | Jacques Bion | ||
2006 | 2008 | Eric Aubry | ||
Toutes les données ne sont pas encore connues. |
[modifier] Démographie
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Graphique de l'évolution de la population 1794-1999
[modifier] Lieux et monuments
Église Saint-Martin (XIIe-XVIe siècle), maisons à colombage, restes de remparts du XIIe siècle et de nombreuses balades au fil de l'eau (Vallée de l'Avre).
[modifier] Personnalités liées à la commune
- Jacques François Stuart faillit y tomber dans une embuscade, sauvé grâce à la présence d'esprit de Suzanne Delacour, épouse du maître de poste Pierre l'Hopital.
- Pierre-Marie-Théodore Choumara fut un brillant officier du génie qui naquit à Nonancourt le 11 février 1787. Après de remarquables états de service sous l'Empire, il inventa en 1829 le fourneau à la Choumara qui équipa pendant une cinquantaine d'années les cuisines des forts français. Parallèlement, il écrivit d'importantes contributions sur les fortifications, particulièrement celles de Paris, contributions dont les principes ont été cités par de nombreux professeurs de fortification ou auteurs d'ouvrages spécialisés. Chevalier puis officier de la Légion d'honneur, il prit sa retraite en 1845 avec le grade de chef de bataillon, son caractère assez entier ayant sans doute été un obstacle à la progression vers le grade de colonel. Décédé à Paris le 4 février 1870, il est transféré à l'ancien cimetière de Nonancourt, où sa tombe est ornée des insignes de la Légion d'honneur.
Sources : états de services du service historique de la défense, archives départementales de Paris, recherches personnelles, ouvrages détenus personnellement par le rédacteur de la présente notice[2].