Discuter:Mine G. Kirikkanat

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Sommaire

[modifier] Texte supprimé pour l'instant

Il semble y avoir une guerre de POV sur cet article.

Texte supprimé pour l'instant:


Elle a aussi écrit des articles racistes et fascistes sur les Kurdes, les Arabes et les gens de classe bas en Turquie dans le journal Radikal. Selon les journalistes célébrés turcs tels que Yildirim Turker et Nuray Mert, son discours fascisant à propos de ces groups venait de son complexe d’infériorité engendré, d’un coté par son désire d’être européenne, et d’un autre coté le fait d’être une femme turque vivent en France. Au 27 juillet 2005, à cause d’un de ces articles racistes, elle avait été virée par le directeur du journal Ismet Berkan.

Elle est victime de harcelement judiciaire, ayant en permanence de nombreux procès intentés d'un coté par les islamistes, de l'autre par des policiers.


Ces deux paragraphes totalement opposés ne sont pas sourcés. Merci de discuter ici avant de décider quel texte est à ajouter. Bradipus Bla 21 juillet 2007 à 15:51 (CEST)

[modifier] création de l'article

j'ai créé l'article d'après un article sur le Courrier International et la réf est partis dans les divers revert. Donc, l'article tel qu'il était à sa création était sourcé et je recherche la reference --Rosier 21 juillet 2007 à 16:20 (CEST)

Oui, oui, ici je parlais du paragraphe "Elle est victime de harcelement judiciaire, ayant en permanence de nombreux procès intentés d'un coté par les islamistes, de l'autre par des policiers.". De toute façon l'article est semi-protégé, source ça à ton aise. Bradipus Bla 21 juillet 2007 à 16:33 (CEST)

[modifier] sources

  • libération 07/10/2006 Mine G. Kirikkanat est née à Ankara (Turquie). Elle émigre à Istanbul à l'âge de 10 ans. Sociologue de formation, elle a collaboré avec plusieurs quotidiens turcs. Elle a été correspondante de Cumhuriyet à Bilbao et Madrid. En 1991 à Paris, elle est correspondante de Milliyet et éditorialiste de Radikal de 1993 a 2005. Depuis, elle est chroniqueuse au Vatan. Elue, à trois reprises, la journaliste «la plus courageuse» de Turquie, elle a aussi écrit huit livres. Son dernier roman la Malédiction de Constantin est paru aux éditions Métailié en septembre.--Rosier 21 juillet 2007 à 16:41 (CEST)
  • présentation des ed Metaillé :Née à Ankara, diplômée de l’Université d’Istanbul, elle est sociologue de formation. Elle débute dans le journalisme dans la revue humoristique Çarsaf en 1977, après avoir gagné un concours. Elle écrit pour la page humoristique Ciddiyet du quotidien Cumhuriyet pendant deux ans. Après un arrêt de presque 7 ans, elle revient au journalisme en tant que correspondante de Cumhuriyet à Bilbao, puis à Madrid. En 1991, elle est nommée à Paris et de 1993 à 2005, elle est correspondante de Milliyet et aussi éditorialiste de Radikal. Depuis 2005, elle est éditorialiste à Vatan et contribue régulièrement au programme Kiosque de TV5. Laïque, démocrate, Mine Kirikkanat a été élue à trois reprises la journaliste la plus courageuse de Turquie .

Elle a publié huit livres dont deux sont traduits en français: “Le Palais Aux Mouches” (L’Harmattan, 1995) et “L’Autre Nom De La Rose” (E-dit, Paris 2000). Son dernier roman, La Malédiction de Constantin (Bir Gün, Gece, 2003) est un best seller politico-criminel, la première fiction d’anticipation de la littérature turque qui relate l’après tremblement de terre attendu à Istanbul.

BIBLIOGRAPHIE Le Palais aux mouches, L’Harmattan, 1995 (sous le nom de Miné Saulnier) L’autre Nom de la rose,(en collaboration avec Jacques Jeulin et Jacques Thobie), E-dit, Paris, 2000 --Rosier 21 juillet 2007 à 16:46 (CEST)


  • Alibis n°21:Toute une tête… de Turque

[couverture] On ne peut manquer d’être intrigué par le roman La Malédiction de Constantin : son auteure, Mine G. Kirikkanat, est une journaliste-écrivaine fort réputée en Turquie, auteure de huit livres (deux sont traduits en français), aimée du public, mais dont le franc-parler et les prises de position lui valent constamment des procès de la part de policiers, ministres, députés, généraux, islamistes… Elle avait jusqu’à trente procès sur le dos simultanément à un moment ! Bref, la dame n’a pas froid aux yeux, et son nouveau roman, La Malédiction de Constantin, en témoigne.

Le livre s’ouvre d’abord sur une scène de meurtre très efficace, d’une grande tension : Féridé, correspondante à Paris d’un important journal turc,...

  • transfuge.fr : Pro-européenne, anti-américaine, très virulente vis-à-vis du gouvernement turc et des islamistes, Mine Kirrikanat n'a pas l'habitude de mâcher ses mots. Dans un contexte de presse muselée, ses articles polémiques lui ont valu quelques licenciements, d'innombrables procès et, à trois reprises, le titre de journaliste la plus courageuse du pays. Tout aussi fracassante a été la sortie de La Malédiction de Constantin qui, en divisant l'opinion, s'est hissé au rang de best seller en Turquie.

[modifier] Discussion avec IP

Tout d’abord je ne crois pas que votre article sur Mine G. Kirikkanat soit un article bien informé car elle est considérée comme une journaliste raciste, ici, en Turquie. C’est normal que je ne puisse pas rédiger en Français avec un langage bien élevé car c’est ne pas ma langue maternelle et ça m’interdit pas d’essayer de vous corriger sur ce point sensible. Renseigniez-vous bien sur Kirikkanat... (texte placé par 84.57.195.17 (d · c · b) sur la PdD de Bradipus, déplacé ici par Bradipus)

Je n'ai pas à me renseigner. Vous voulez ajouter du texte qui porte de graves accusations sans source que nous puissions vérifier. Désolé, mais c'est ici la WP en français, on a des gens capables de lire assez aisément un certain nombre de langues, tels que l'anglais, le neerlandais, l'espagnol, l'italien, mais le turc, je vois pas tout de suite qui pourrait nous dire ce que sont les sites que vous mettez en référence (l'un au moins a l'air d'être un blog, pas le genre de référence qu'on accepte). Bradipus Bla 21 juillet 2007 à 17:00 (CEST)