Miko (marque)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Cet article est une ébauche concernant le projet entreprises.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant. (Comment ?).

Miko est une marque de crème glacée française. Créé par Luis Ortiz à Saint-Dizier, l'entreprise fait partie depuis 1994 du groupe Unilever.

Sommaire

1 Historique
2 Produits
3 Miko Aujourd'hui
- 3.1 Mouvements sociaux en 2008
4 Voir aussi
- 4.1 Liens internes
- 4.2 Liens externes
5 Notes et références

[modifier] Historique

Louis Ortiz, artisan de crèmes et marrons glacés, s'installe à Saint-Dizier (52) en 1918, tout commence ici lorsqu'il rachète le fort carré (ex-fabricant de bières) dans les années 1945, la production commence, ses frères rapportent d'Amérique des machines automatisées pour la fabrication de glaces le début d'une grande aventure. Proposée aux bragads aux sortis des cinémas, concerts... les glaces font un véritable succès et Louis Ortiz se fait connaitre auprès des magasins, lieux divers ... et même présent lors du tour de France plusieurs années durant, véhicules, vélos et camions tous plus extravagants font leurs apparition à Saint-Dizier, en France et dans le monde, une marque est née MIKO. L'entreprise rachetée par Unilever en 1994 renommée COGESAL-MIKO déménage à la zone de trois fontaines toujours à Saint-Dizier en laissant la fameuse tour MIKO de l'ex usine aujourd'hui Musée de Miko et cinéma.

[modifier] Produits

Liste de quelques-uns des produits Miko :

Cornetto ; Cornetto Passion ; Cornetto Miniature ; Cornetto Soft
Zebra
Le Miko, le bâtonnet original !
Glaces pour enfants
Calippo Tubes (Fruits, Fraise et Tropical)
Magnum (diverses formes)

[modifier] Miko Aujourd'hui

L'usine a déménagée en 1996, et l'usine est détruite en 2005 pour laisser place au complexe ciné-quai, a une grande surface et des habitations, il ne reste plus que la tour Miko ainsi qu'un musée à l'intérieur du cinéma.

[modifier] Mouvements sociaux en 2008

Depuis Janvier 2008, l'usine Miko de Saint-Dizier est en grève. On prévoit la suppression de 309 postes sur 493 postes^[1]. Depuis le 25 janvier, la direction ne paye plus les salariés non-grévistes de l'usine^[2]. 1 million d'euros de pertes sont annoncées^[3].