Discuter:Marie Calumet

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Dire qu'il n'y a rien de provocant ni d'indécent dans ce roman, mais du même souffle résumer deux passages très provocateurs (la scène de la crinoline et la finale), c'est manquer de jugement. Par ailleurs, le roman aussitôt publié essuie les foudres de l'Église qui y voit un danger de perversion morale. Rien d'indécent ni de provocant?

Autre chose. La version publicisée (l'édition 1990 de la Bibliothèque québécoise) est truffée d'erreurs dues à une reconnaissance de texte électronique dont on n'a pas vérifié l'exactitude après coup. À moins que cette page ne soit le fruit des éditions BQ qui veulent se publiciser elles-mêmes, il faut à tout prix éviter toute référence à cette édition ou alors la dénoncer. En attendant mieux, celle publiée l'année passée aux éditions Beauchemin est de loin meilleure et contient des notes. On y retrouve tout de même des coquilles et des contresens dans les notes, mais c'est au moins le fuit d'un réel travail d'édition.