Discuter:Laurence Parisot

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Sommaire

[modifier] Interprétation

Je ne connais rien à Laurence Parisot mais je suis étonné par cette phrase : Après sa déclaration très libérale ("La liberté de penser s'arrête là où commence le code du travail"), elle a voulu apaiser les esprits en déclarant qu'elle voulait "prouver que libéral ne veut pas dire antisocial".. En effet la citation "La liberté de penser s'arrête là où commence le code du travail" ne me semble pas "très libérale", bien au contraire, puisqu'elle dit (à mon sens) que ce que peut être imaginé (en matière d'entreprise je suppose) doit rester encadré par le code du travail et donc que le code du travail est un cadre qui ne doit pas être remis en question. Enfin à moins que ça ne soit pas une déclaration d'intention mais le constat d'une situation à faire évoluer. Cependant cette phrase est parallèle à "La liberté des uns s'arrête ou commence celle des autres" (et vice-versa), en l'absence de contexte je penche pour ma première interprêtation : l'affirmation du caractère sacré du code du travail. (->Jn) 3 septembre 2006 à 11:17 (CEST)

La phrase est ambigue selon moi et n'a rien à voir avec un quelconque libéralisme. J'y distingue deux chose:
  • La liberté de penser ne peut pas être bornée. Personne ne pourra enpêcher quelqu'un de penser qu'Hitler était un individu génial.
  • Le code du travail s'impose effectivement comme borne à un certain nombre d'autres libertés: Choix des vêtements (un ouvrier a été condamné pour être venu travailler en short malgré le danger des machines), liberté d'expression (?), peut on diffamer son entreprise? Mais on pourrait discuter si ça ne devrait pas surtout être le rôle du contrat de travail.

Sur le libéralisme qui est social voir ce texte de Jacques de Guenin:[1] --Hayek 3 septembre 2006 à 11:25 (CEST)

Ton interprètation donne le sentiment que le code du travail ne doit borner la liberté de penser que des employés. Je pense que c'était plus large. Arrête avec ta pub pour Alternative Libérale, c'est pathétique, au sens américain du terme (foireux ?). Le sujet n'est ni toi ni le parti pour lequel tu voterais s'il se présentait, le sujet est une phrase de Laurence Parisot. (->Jn) 3 septembre 2006 à 11:39 (CEST)
J'ai pris un texte pertinent sur le sujet pas un texte de propagande, ce monsieur n'est pas d'AL. Pour revenir au sujet, tu ne peux pas borner la liberté de penser. La liberté d'expression éventuellement mais la liberté de penser, il faudra m'expliquer.--Hayek 3 septembre 2006 à 11:49 (CEST)
Tu peux très bien borner la liberté de penser. Exemple : tu es resté au niveau 1ere en philo apparemment, avec ces élans romantiques on ne peut pas borner la liberté de penser. De première ES même si ça se trouve. La liberté de penser se borne aussi facilement que la liberté de circuler à contre-sens, voir : trépanation, sciences cognitives, manipulation mentale, lavage de cerveau, propagande, thought-terminating cliché, etc. (->Jn) 3 septembre 2006 à 14:48 (CEST)
On est tout à fait d'accord, ce que je veux dire c'est que le droit du travail n'a rien à voir la dedans. Ensuite, les attaques personnelles, on évite, ok?--Hayek 3 septembre 2006 à 14:51 (CEST)
Je ne te connais pas, j'attaque ton discours et ce qu'il m'évoque. Borner ses réflexions sur l'entreprise au code du travail existant signifie qu'on s'interdit de le remettre en cause et qu'on veut l'utiliser comme cadre à tout accord nouveau. Je ne lis rien d'autre dans la phrase de Laurence Parisot, mais je peux me tromper, peut-être qu'elle voulait juste dire qu'il ne faut pas bosser en short. (->Jn) 3 septembre 2006 à 15:00 (CEST)

A mon sens, quand "le code du travail" est oppose dans sa declaration avec "la liberté de penser", c'est bien une provocation de plus. La loi n'empeche personne de penser, mais peut etre pas finalement, le mot code du travail empeche peut etre madame parisot de dormir l'esprit libre...c'est elle que ca regarde et peut etre la loi aussi.

[modifier] Autre citation

qui peut compléter l’article.

Récemment[1], elle a également repris une citation de Jean Jaurès :

« Il n’y a de classe dirigeante que courageuse »

. Point. La suite du discours de Jaurès est :

« À toute époque, les classes dirigeantes se sont constituées par le courage, par l’acceptation consciente du risque. Dirige celui qui accepte ce que les dirigés ne veulent pas risquer. Est respecté celui qui, volontairement, accomplit pour les autres les actes difficiles ou dangereux. Est un chef celui qui procure aux autres la sécurité, en prenant sur soi les dangers. »

Je ne sais pas si ça s’applique à la dirigeante qui a doublé son salaire en démissionnant. Archeos ¿∞? 5 février 2007 à 20:47 (CET)

[modifier] Laurence Parisot dans le saint des saints au conseil d'administration de BNP Paribas

Laurence parisot a été intronisé au conseil d'administration de BNP Paribas au coté du Mentor du Capitalisme Français Claude Bébéar.

[modifier] Pensée

Il m'a été donné de constater que les phrases extraites des déclarations de Mme Parisot peuvent être interprétées comme des perles de bêtise et de cynisme alors qu’il est facile, avec un peu de réflexion de déjouer un tel piège. La présentation de sa pensée par ces fragments contre lesquels le passant ne peut que se révolter me semble une façon très orientée de présenter les choses. Je le dis car un de mes colistiers sur une liste de discussion s'est servi de cette liste en la copiant-collant pour prouver par A+B que le MEDEF est quelque chose de monstrueux. Je souhaite conseiller aux contributeurs des articles sur l’économie (je ne saurais pas le faire moi-même) d’exposer la pensée de Mme Parisot avec plus d’objectivité, de fidélité et de cohérence. Un débat politique digne de ce nom devrait éviter la rhétorique de la petite phrase et une encyclopédie devrait s'attacher à la neutralité, une neutralité pas seulement superficielle. Nous devrions tenter d'élever le débat au-dessus du niveau journalistique. Pardon si je me suis un peu emporté... --Nicolas Messina (d) 4 mars 2008 à 01:09 (CET)

[modifier] Revert

Bonjour Efbé, je me suis permis d’effacer la majeure partie des citations pour les raisons évoquées dans mon message précédent. Il me semble que cette liste de citations où abondent les doublons réduisent, par un effet cumulatoire qui enfonce le clou, la pensée de L. Parisot à sa caricature et que la quantité de texte contenu dans le reste de l’article ne permet pas de la compenser. Il s’agissait plus pour moi de proposer un équilibre objectif que d’effacer des informations. Je te laisse rétablir cet effacement qui me semble nécessaire et pertinent. --Nicolas Messina (d) 4 avril 2008 à 22:54 (CEST)

Bonjour,
C'est donc fait car la motivation me convient.
Cordialement. Efbé Je suis un WikiLover 5 avril 2008 à 10:48 (CEST)
Sur WP on ne rétablit jamais l'équilibre souhaité à coup de suppression. On complète, on reformule, telle est la méthode pour établir un équilibre. Kelson (d) 5 avril 2008 à 11:26 (CEST)