Discuter:La Ville dont le prince est un enfant

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Montherlant a toujours présenté La Ville dont le prince est un enfant et Les Garçons comme étant d'inspiration autobiographique (voir la préface aux Garçons, le "dossier" de ce même livre dans La Marée du soir et les appendices de La Ville dans la Pléiade). Je retire donc la phrase "son aspect autobiographique, que, de son vivant, l'auteur déniait maladroitement, est aujourd'hui reconnu". AdS 18 septembre 2007 à 15:24 (CEST) Montherlant avait tiré d'un de ses premiers écrits ("Le sang du collège")une scène destinée à la Radio de 1940, intitulée "Fils des autres ou la Relève du matin"qui est déjà presque mots pour mots la grande scène entre De Pradts et SANDRIER-SOUPLIER de la "VILLE".La débâcle de Juin 4O empêcha l'enregistrement qui devait être fait par MAURICE ESCANDE, mais le texte en fut publié dans COMEDIA.JEAN DARNEL, alors èlève d'ESCANDE, le mit en scène et l'interpréta au Casino de Biarritz en 1947 au cours d'une extravagante soirée, avec ESCANDE et CECILE SOREL.Montherlant dédicaça ainsi son livre "A JEAN DARNEL, qui a prsque créé un peu du rôle de l'Abbé de Pradts, etc.—Merci de ces renseignements.AdS 5 novembre 2007 à 11:52 (CET)