Discuter:La Chanson de Roland

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Le lien vers Aix est ambigu. Vu le contexte, je suppose qu'il s'agit d'Aix-la-Chapelle. Qui pourrait s'en assurer ? - Alain Caraco 14 déc 2003 à 00:08 (CET)

vu le contexte je pense qu'il s'agit effectivement d'aix la chapelle qui était la capitale de l'empire de charlemagne. Je fait quelques recherches :) Ashar Voultoiz 14 déc 2003 à 00:25 (CET)
je ne vois que des références à aix la chapelle :) c est partis !!! :p Ashar Voultoiz 14 déc 2003 à 00:26 (CET)

[modifier] Déplacement

Je déplace l'extrait suivant ici. Il s'agit d'une thèse assez bizarre d'un historien dont on ne connaît pas le nom. Ca donne à l'article un tour un peu "forum", pas encyclopédique du tout. Surtout avec des gras partout. PierreL 31 octobre 2007 à 16:53 (CET)


D'où vient ROLAND, légende ou réalité oubliée ?

On le dit duc ou marquis de Bretagne, mais on l'a souvent considéré comme un mythe, une invention, lui et ses parents n'apparaissant nulle part dans les documents anciens. Qu'en est-il réellement ?

Il est cepedant et uniquement sur la façade d'une Cathédrale, pas n'importe laquelle puisqu'elle draîne toujours de nombreux pélerins depuis le moyen âge, celle de Saint Jacques de Compostelle. Il y est représenté debout, portant sur son flanc gauche une épée (la célèble Durandal ?) et tenant de la main droite un étendart ; sur sa gauche, une autre statue de taille identique représente un religieux, Saint Etienne, qui l'accompagne tenant verticalement sur sa poitrine un livre de culte.

Dans les années 1978/83, un historien tient à ce sujet un colloque à Lille. Non seulement, il donne nombres de preuves de l’existence de Roland, mais convainc aisément l’assemblée qu’il est issu d’amours fautives du « bien aimé empereur Charlemagne » et de l’une des ses très proches parentes, nommée Berthe.

La sœur aînée de Charlemagne, Berthe (née v. 737, épouse v.756 de Millon) a très probablement eu un enfant hors mariage, enfant qui aurait été nommé Roland, celui de la célèbre Chanson de geste de Roncevaux, lui qui n’apparaît jamais dans les généalogies, mais dont les aventures par cette chanson de geste ont été clamées du XI au XIIIème siècle par nombres d’armées européennes, fait assez curieux en lui-même !

Il a remarqué en effet que des versions de moindre portée linguistique, le basque, l’islandais, le finlandais sont absolument restées intactes. Il a d’autre part acquis la certitude qu’elles n’ont été ni réécrites, ni trafiquées ; ces langues, encore moins courantes à l’époque qu’aujourd’hui, n’ont enfin jamais eu entre elles ni relation ni fréquentation du fait de leur éloignement et de leur rareté.

Les envoyés du roi ne les connaissant pas, elles ont purement et simplement été oubliées des censeurs envoyés par Louis le Pieux.

Serait-ce après sa propre exaction, très mal prise à l'époque, contre Bernard roi d’Italie, petit-fils de Charlemagne et fils de Pépin d'Italie, son propre aîné que Louis le Pieux décida de corriger, dans tous les pays d’Europe, toute trace des frasques de ses père, frères et sœurs. Pensait-il qu'en effaçant toute trace de cette pratique infamante, en la condamnant officiellement, il parvindrait à légitimer le remplacement de Bernard par l'un de ses propres fils.

On serait tenté de le croire car il ne s’était pas montré si porté sur la religion auparavant et avait bien besoin de légitimité et probité après le sacrilège de la mise à mort de ce neveu. Mais cela n'a pas marché comme il fallait, Louis fut emprisonné par ses propres fils.

Pour la mère de Rolant, seules deux femmes de l’entourage de Charlemagne étaient nommées « Berthe » ; l'historien les avait retenues au départ sans parvenir à les départager. Il s'gissait d'une sœur et d'une tante de l'empereur, pour finalement ne retenir que la soeur, épouse de Millon.

Quoiqu'il en soit, que Roland repose en paix, à Blaye où son tombeau se trouve, en les ruines de l'église Saint Romain ; on peut toujours visiter la crypte ou il fut inhumé après sa mort à Roncevaux ; il y fut vénéré à l'égal d'un saint par les pèlerins en partance pour Compostelle. En 1526, un roi de France vint même s'y icnliner, François 1er, ceci bien avant que Louis XIV fasse édifier la citadelle (1676).