L'Éclair qui effaçait tout

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

L’Éclair qui effaçait tout
Auteur Philippe Ébly
Genre Science-fiction
Pays d’origine France France
Éditeur Hachette
Date de parution 1972
Dessinateur Yvon Le Gall
Couverture par Yvon Le Gall
Nombre de pages 190
ISBN 2-01-003579-8
Collection Bibliothèque verte
Série Les Conquérants de l'impossible
Précédé par Celui qui revenait de loin
Suivi par L'Évadé de l'an II

L’Éclair qui effaçait tout est le troisième roman de la série Les Conquérants de l'impossible par Philippe Ébly. Ce roman a été édité pour la première fois en 1972 dans la bibliothèque verte. L'épisode suivant est L'Évadé de l'an II.

[modifier] Le résumé

Alors qu'ils ont décidé de camper en Italie, Serge persuade les frères Forestier, Xolotl et Thibaut de rendre visite à un ami de son père, le professeur Lorenzo. Cela tombe plutôt bien, puisque le professeur leur propose de les héberger au moment où un terrible orage s'abat sur la région.

Mais quand la foudre frappe la maison, Serge et Xolotl disparaissent purement et simplement, sans laisser de trace. Tandis que leurs compagnons et le professeur les cherchent en vain à travers la maison, et la campagne environnante, les deux jeunes gens se relèvent en rase campagne. Et lorsque le soleil se lève enfin, ils découvrent la voie romaine voisine en parfait état - et une légion romaine on ne peut plus crédible qui s'avance à travers la plaine.

Ce n'est pas un film que l'on tourne, mais bien une nouvelle réalité, et les deux adolescents vont désormais devoir survivre à l'époque de la Rome antique, sans aucun espoir de retour.

[modifier] Les différentes éditions

[modifier] Notes

  • Il s'agit d'un des romans les plus populaires de la série.
  • C'est le premier voyage temporel des héros, et la première apparition de l'Autinios, un alliage inventé par le père de Serge, qui se révèle capable de transporter son porteur à travers le temps, pourvu qu'il entre dans un champ électro-magnétique suffisamment puissant.
  • La révision de 2002 est assez profonde, et altère notamment la fin d'une très chaste de scène entre Serge et une charmante jeune fille romaine, en un dénouement beaucoup plus ouvert.