Utilisateur:Jerzfr
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La route des Andes a velo : Equateur, Perou, Chili, Bolivie, Argentine.
Un projet de Jerome BOSSERT et Nelly GUIDICI
Bienvenue à tous sur le site www.pedalemoinsvite.org[1], le site qui déraille !
Cet espace, que nous espérons agréable, nous suivra tout au long de notre périple sur les routes des Andes.
Comme le nom du site l’indique, nous aspirons à une certaine tranquillité car c’est pour nous les fondements d’une harmonie, avec les gens ainsi que leur environnement.
Nous vivons dans un petit village Inuit du Canada depuis plus d’un an, c’est ici que l’on a compris ce que « sérénité et silence » veut dire… houlà on ne se précipite pas ici, et c’est tellement mieux ainsi !
Notre voyage en Amérique du sud est en gestation depuis longtemps, il prend forme aujourd’hui, le départ est prévu pour début novembre 2007 Vous trouverez toutes les infos a ce propos sur ce site, mais aussi nos anciennes « aventures » puisque nous tenons un journal depuis 2 ans, qui a été transféré ICI.
Enfin, si vous voulez nous dire un petit bonjour, un encouragement, (un juron),ou si vous avez des problèmes avec ce site, merci de nous faire parvenir un commentaire sur ce formulaire [2]
Une petite brochure est dispo ICI [3]
On espère que ca va vous plaire, alors BONNE VISITE !
Vous vous trouvez dans : Projet
La culture autochtone :
Dans le cadre des mes études d'anthropologie, je me suis penchée sur la culture des peuples Cree et Inuit que j'ai côtoyée pendant 1 année a Kuujjuarapik.
Je me suis aperçue que les ressources alimentaires étaient, pour ces deux peuples, au centre de leur culture autochtone (le phoque pour les Inuit et l'oie pour les Cree).
Ce voyage en Amérique du Sud sera l'occasion d'observer et d'étudier les traditions culinaires des autochtones.
Malgré l'éloignement géographique et la différence de langage, les "premières nations" ont certainement des points culturels en commun que j'aimerai découvrir.
-Nelly-
L'informatique libre :
Pour moi, le monde de l‘informatique est divisé en deux :
Le premier s’inscrit dans une logique purement capitaliste, le but des compagnies qui suivent ce modèle est de vendre le plus de produits ou services possibles, les modèles (logiciels et matériels) sont fermés et soumis à des « copyrights » restrictifs.
Le second, quant à lui, suit plutôt l’idée de fournir à tous la possibilité d’accéder aux technologies de l’information, sans l’intérêt, à priori, commercial. Tout est basé sur l’ouverture : ouverture d’esprit, ouverture des brevets. Un brevet « open source », c’est son nom, sera donc copiable, réutilisable, adaptable à plusieurs besoins et … gratuit.
Je ne vais pas me risquer à comparer ces deux modèles, ils ont chacun leurs caractéristiques intrinsèques. Je trouve que le débat qui anime les médicaments génériques aux médicaments propriétaires se rapproche assez de notre sujet. Je me suis spécialisé il y a 5 ans maintenant aux technologies « open source », par intérêt intellectuel et par les possibilités d’adaptation de ces produits. On peut tout changer à souhait, à nous de maitriser ces changements.
Depuis je travaille dans ce milieu, les compagnies qui m’ont embauché faisaient leurs profits sur le service que j’apportais au client. J’ai beaucoup adapté de produits « open source » pour les populations autochtones du Québec, qui n’avaient pas les moyens de se payer les technologies propriétaires, ni les besoins couverts par ces dernières.
Je suis convaincu que ces expériences sont renouvelables en Amérique du sud, et je suis bien décidé à me donner les moyens d’analyser la situation, de promouvoir et pourquoi pas de mettre en place de telles technologies.
-Jérôme-
La photo :
Une image, une photographie, un sourire, un souvenir ... nous partons avec l’idée de prendre des photos qui accrochent notre regard.
Nous ne voulons pas simplement immortaliser un site archéologique ou tirer le portrait des autochtones, ce que nous voulons c’est découvrir les endroits, les situations et les personnes qui illumineront nos images. Le respect des sujets et des endroits est aussi primordial pour nous, c’est la raison pour laquelle nous apportons à chacun de nos clichés une attention particulière et nécessaire.
La photographie est devenue pour nous l’un des moyens de transmettre nos sentiments et impressions.
Un coucher de soleil peut avoir autant d’intérêt photographique que la “capture” d’un animal sauvage car comme l’a si bien dit John Stuart Mill : “La photographie est une brève complicité entre la prévoyance et le hasard”.
-Nelly-
Pour Terminer, Une Brochure succinte est disponible en ligne, au format PDF.
