Utilisateur:JCM88

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Sommaire

[modifier] DORVILLE

Image:Dorville.jpg




[modifier] INFORMATIONS NESSESAIRES

Dorville est né Georges Henri DODANE le 1er Mars 1883 dans le 3eme arrondisement de Paris.

Décédé le 10 Aout 1940 est pas 1941 , beaucoup le disent, car des films qu'il a tourné en 1940 ou 1939 sont sortis en 1941, mais sur son extrai de décés, il est décédé le 10 Aout 1940




[modifier] LE DECES

Dorville est décédé en son domicile Hotel Bellevue à Souillac, à sept heures du matin -sans doute : pas présisé-.

Ont ne peux rien dire sur le décés de Dorville, certains et la plus part disent qu'il est mort de mort naturelle : dificille a croire quand on meur à 58 ans qu'on meur d'une mort naturelle. C'est sur qu'on peu dire qu'il est mort d'un aret du coeur et pas une crise cardique . Suivant des supositions, ont disait qu'il buvait de l'alcool...

Ont ne sais pas vraiment...


[modifier] FAMILLE

Dorville avait des enfants ? Dorville était marié ?

Dorville avait des enfants ? Personne le sait en véritée : peux-être oui, peux être non...

Mais Dorville était marié, ça c'est vrai ! Il est était l'époux de Léontine Marie Lorge. Est-elle vivante ? Ont ne le sait pas...

LA MERE DE DORVILLE

La mére de Dorville était Olvina Dodane, décédée avant 1940. Quand, ont le sais pas...


[modifier] Ont ne sais malheureusement peux de choses de Dorville


Dorville avait des enfants, Qui était le pére de Dorville : pas précisé dans l'éxtrai de décés, orphelin... ?

Que devient la mémoire de Dorville ?



[modifier] BIOGRAPHIE

l suffit de l'avoir vu une fois à l'écran pour se rappeler sa gouaille et son physique dont il savait se servir pour faire rire des salles entières.

D'abord employé dans un magasin de chaussures (on peut penser qu'il y était à sa place tout comme Fernandel pouvait être à la sienne en croque-mort), il monte sur les planches vers 1899 (il a à peine seize ans) en imitant les vedettes de l'époque : Dranem, Mayol et d'autres. Puis, vers 1904, il découvre son véritable style, celui que l'on connaît et qu'on connaîtra longtemps, jusqu'à sa mort en fait, qui surviendra 37 ans plus tard : un mélange de clown et de chanteur comique que, seul, un physique comme le sien pouvait réunir dans une sorte de monsieur-tout-le-monde qui rend tout le monde, justement, de bonne humeur dès son entrée en scène.

C'est en 1921 qu'il devient véritablement célèbre en lançant une sorte de crie de phoque dans une chanson faisant partie d'une revue mettant en vedette le célèbre Dréan intitulée Cach' ton piano, le même qui allait enregistrer Elle s'était fat couper les cheveux. Ce cri, c'est un «ouin» (la chanson s'appelait Ouin-Ouin) qui accentue son apparence déjà comique.

Dès lors, le théâtre et le cinéma s'empare de lui.

Il tient en 1930 le rôle principal dans Les Aventures du Roi Pausole (musique d'Arthur Honneger) puis en 1933, c'est la consécration en Sancho Panza dans le Don Quichotte de Georg Wilhelm Pabst.

Pami ses chansons, outre ce célèbre Ouin-ouin, on peut retenir La foire d'Asnières ou encore C'est l'amour qui passe mais pour vraiment profiter du talent de ce personnage, il faut le voir. C'est ainsi que nous offrons à nos lecteurs non pas seulement une chanson mais bien un extrait de film où il entame Comme de bien entendu dont Arletty poussera le couplet suivant en face d'un Michel Simon, quelque peu surpris.


[modifier] SES PRICIPAUX FILMS

Ont retien tout d'abord : CIRCONSTANCES ATTENUANTES

La rencontre avec Arlettyet Michel Simon, Suzanne Dantés, Andrex et le jeune Michel François qui est François Simon.

  • LES VOICIS :


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         Sans famille de Marc Allégret (1934)
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         Trois cents à l'heure de Willie Rozier (1934)
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         Pluie d'or de Willie Rozier (1935)
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         Deux gosses, Les de Fernand Rivers (1936)
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         Affaire du courrier de Lyon, L' de Claude Autant-Lara et Maurice Lehmann (1937)
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         Drame de Shanghaï, Le de Georg Wilhelm Pabst (1938)
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         Goualeuse, La de Fernand Rivers (1938)
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         Otages, Les de Raymond Bernard (1938)
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         Dompteur, Le de Pierre Colmbier (1938)
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         Veau gras, Le de Serge de Poligny (1939)
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         Entente cordiale de Marcel L'Herbier (1939)
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         Cavalcade d'amour de Raymond Bernard (1940)
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         Enfer des anges, L' de Christian-Jaque (1941)


[modifier] CONCLUSION

Dorville était surnomé comme dit dans la Biographie, l'Homme Otarie, fut, un grand homme du cinéma français.

--JCM88 2 juillet 2007 à 18:37 (CEST) JCM88