Discuter:Intelligence

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Sommaire

[modifier] Physiologie

Ajouter le travail de André Leroi-Gourhan dans ce domaine, en particulier Le Geste et la parole, me semble necessaire. Il y explique que c'est par le processus de l'evolution biologique mais aussi grace a l'outillation (du en particulier au pouce opposable) que l'etre humain a pu concentrer sa depense d'energie sur une de ses specificites (on pourrait ici parler d'avantage competitif) a savoir l'intelligence.

Utopiah 13 juin 2007 à 23:39 (CEST)


J'ai retire le texte ci-dessous. Si quelqu'un le trouve pertinent, qu'il le remete. Aineko 24 déc 2004 à 07:36 (CET)


Il est obcur et une recherche google ne ait ressortir que des baratins confus liés à l'association Mensa. Des références bibliographiques pour creuser la question? GL 25 déc 2004 à 11:37 (CET)


-o-O-o-

Message à l'attention de GL: - Monsieur, pensez-vous que le ton de votre message op. cit. puisse donner envie de vous informer ou de vous instruire? Vous êtes administrateur de Wikipédia, je crois. Ben comme on dit "Je n'en pense pas moins" - Dorylak, en 2004.


[modifier] Réduire l'intelligence à une "fonction mentale" ?

Je n'ai pas creusé la question mais que l'intelligence soit présentée comme une (parmis d'autre) fonction mentale me semble hyper réducteur !!! Cela insulte même l'intelligence (ou du moins la mienne puisque je ne peut parler que de moi et de que je ressent).

En fait cela me rapelle les parents débile qui font passer des test de QI, tout aussi débile soit dit en passant, et qui s'imagine convaincu que leur rejeton est un être supérieur des qu'il atteint tant de point(, temps de point, taon de point, tant de poing..).

Je pense que tout l'article (heureusement il est pas lourd) est à refaire.

Dès que j'ai plus d'infos j'essaierai de faire qqchose... --•Šªgε• | 12 jan 2005 à 18:46 (CET)

Tes propos sont assez insultants, Sylvano. Les tests de QI sont parfois nécessaire pour comprendre un problème chez un enfant turbulant, par exemple. Je pense que lorsque l'on fait passer un test de QI à un enfant de 6 ans parce qu'il ne communique pas, parce qu'il est infernal en classe et indomptable, ce n'est pas par plaisir des parents. Un enfant de ce type, qui, au vu des résultats de ces tests, obtient un score de 160, part en vrille, il comprend en cinq minutes ce que les enfants « normaux » comprennent en trente... et occupe le reste de son temps comme il le peut. Si le problème n'est pas détecté, la scolarité de cet enfant sera très fortement compromise, il finira par lâcher l'école à 16 ans et aura ainsi gâché les possibilités qui auraient pu lui être offertes. J'ai été cet enfant et j'en ai souffert. ©éréales Kille® | |☺ 26 jan 2005 à 19:52 (CET)

oH Là , insultant, insultant, tu n'as rien compris à ce que j'ai écrit. Ce n'est pas ta faute mais la mienne tant pis. Je fût cet enfant aussi...--•Šªgε• | 4 fev 2005 à 18:26 (CET)

OK, Sylvano, mésentente... Cela m'étonnait aussi que tu aies cette opinion assez cassante : En fait cela me rapelle les parents débile qui font passer des test de QI, tout aussi débile soit dit en passant, et qui s'imagine convaincu que leur rejeton est un être supérieur des qu'il atteint tant de point(, temps de point, taon de point, tant de poing..). Tu t'es mal exprimé, et je n'ai pas su lire entre les lignes. ©éréales Kille® | |☺ 4 fev 2005 à 18:39 (CET)

Je vous ai écrit directement. ©éréales Kille® | |☺ 26 jan 2005 à 18:06 (CET)

je suis plutot d'accord avec Sylvano, je pense que cette définition est un peu réductrice notemment dans la partie que concilie "intelligence et agressivité" et qui sort en exemple des modèles intelligents les plantes, coraux et autres êtres vivants. --Sonik 15 jun 2005 à 20:10 (CEST)

Je rappelle que personne n'a de définition de l'intelligence, et que c'est bien précisé dans l'article. Mais peut-être que implicitement l'article est basé sur une définition trop "mentale" (?) ? Dans ce cas il ne faut pas hésiter à élargir. Sans perdre de vue que l'intelligence "supérieure" est supposée être une propriété caractéristique d'homo sapiens. gem 1 jul 2005 à 17:52 (CEST)



L'intelligence est bien une fonction mentale, en réalité une fonction psycho-somatique. En revanche, c'est le terme d'"intelligence artificielle" qui est abusif. Une machine ne pensera jamais parce qu'elle n'éprouve pas d'émotions, qu'elle ne possède pas de corps organique. En attendant que cette éventualité voie le jour, je propose de remplacer ce terme en évitant de faire référence au terme "intelligence" car il s'agit en fait de "programmation" et rien de plus, même si l'on fait intervenir des neurones découplés d'un organisme. Je n'ai rien de satisfaisant à proposer, à moins d'aller chercher un nouveau mot dérivé du grec. Appel aux hellénistes. Robocop.

[modifier] liens externes à ne pas mettre

  • les liens vers des services secrets
  • liens spécialisé concernant l'intelligence articificielle ou lautre veriante spécialisée

[modifier] Définitions

J'ai ajouté la citation de Piaget mais je ne connais pas sa source exacte (ouvrage, chapitre, etc.). Si quelqu'un peut l'ajouter... Merci.
Oxag อ๊อกซัก 17 septembre 2005 à 08:02 (CEST)

Piaget, intelligence ? Peut être dans La psychologie de l'intelligence phe

[modifier] Ajouts douteux

Quelques thread blagueur sur fr.sci.philo, fr.soc.politique, fr.sci.physique comme source encyclopédique à ces modifications ? phe 30 octobre 2005 à 07:02 (CET)

[modifier] Risque de NPOV

Globalement, il apparait que l'Homme est construit pour être intelligent, à la fois sur le plan individuel et sur le plan social.

Je suis d’accord avec l’idée sous-jacente, mais la formulation a des relents de créationnisme. Qu’en pensez-vous ? Une idée de neutralisation ? ✒ Répondre (sur Wikipédia ou par mail) à David Latapie 1 avril 2006 à 18:03 (CEST)

Finalement sous-jacent

J'adhère à la remarque au-dessus, qui me paraît comporter un finalisme dont la pertinence — philosophique ou scientifique — est assez douteuse, ou du moins pas encore avérée...

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Ni a-t-il pas un lien entre l'intelligence et ce qui differencie l'humain de l'animal? je me pose la question (je pars sans doute dans un delire la

L'homme et l'animal ne peuvent se différencier que tres arbitrairement. Meme les elephants peuvent a priori faire preuvent de compassion. (Resultat etude 2005/3006). Ils revent souffrent sont parfois homo, on des relation sexuelle de plaisir sans but d'accuplement bonobo. Enfin bref on est des animaux que la selection a differencié n'ont pas par la vitesse mais par une modification du larynx

La phrase suivant me parait aussi contestable

Il est bien évident que l'intelligence est en grande partie un caractère héréditaire (sinon, un chimpanzé ou même un chien éduqué comme un humain devrait avoir l'intelligence d'un humain, ce qui n'est manifestement pas le cas).

C'est le language parlé qui permet le concept abstrait donc a supposé qu'on fasse une opération du larynx et de la machoire à un singe et en lui donnant une éducation adéquate ne pourrait il pas acquérir de l'intelligence? .melusin 19 août 2006 à 00:06 (CEST) M:)

Pas d'accord : le concept abtrait n'a pas besoin du langage parlé (les sourds-muets ont-ils une intelligence de chimpanzé?). Des expériences d'apprentissage d'un langage des signes rudimentaires à une mère chimpanzée ont montré d'excellents résultat, je crois même limite dans le langage abstrait (c'est vieux dans ma mémoire), ainsi que l'enseignement spontané à son enfant (avec une moindre efficacité, cependant). Pour le reste, par un cercle verteux de biorétroaction (le langage influe sur le développement du néocortex, qui permet un langage amélioré, qui impacte sur le néocortex et ainsi de suite), on doit pouvoir arriver après un temps indéterminé à une intelligence proche (80 ?) de celle des enseignants (ici, l'espèce humaine). Lire provolution.

Je propose de remplacer la première phrase par: Globalement, la sélection naturelle a développé chez l'homme des caractéristiques propres à favoriser l'intelligence tant sur le plan individuel que sur le plan social.

Pas d'accord! la formulation "sélection naturelle" ne me semble pas assez neutre. L'intelligence fait-elle partie ou non d'un processus de développement interne à la nature, c'est là la question. Par cette formule, on ferme le débat! Je propose donc plutôt : Globalement, se sont développées chez l'homme des caractéristiques propres à favoriser l'intelligence tant sur le plan individuel que sur le plan social. Pippobuono 19 août 2006 à 09:36 (CEST)

Sans dire qu'elle est meilleure, ta phrase est plus neutre effectivement. Elle peut donc remplacer celle de la version actuelle. .melusin 19 août 2006 à 10:20 (CEST) M:)

et de remetre la version de gem precedant la modif du 19 juillet 2006 à 23:12 196.217.103.231 en supprimant cependant le raisonnement contestable soit s'en tenir a : Il est bien évident que l'intelligence est en partie un caractère héréditaire. .melusin 19 août 2006 à 00:19 (CEST) M:)

J'ajouterais « Globalement, se sont développées chez l'homme des caractéristiques propres à favoriser l'intelligence tant sur le plan individuel que sur le plan social. La science ne voit pas d'obstacle théorique à ce que ces capacités se développent chez d'autres animaux, en témoigne quelques expériences multi-génération de langage des signes avec des primates, comme Kanzi. (Kanzi)
David Latapie ( | @) 20 août 2006 à 08:44 (CEST)

[modifier] Article à recycler

J'ai tenté de lancer des pistes. Peut être certain penseront-ils que je me suis complètement planté ? De toute façon on ne pouvait pas laisser cet article dans l'état où il était. Il reste beaucoup de travail à faire pour rendre les différentes parties plus cohérentes, voire pour élaborer un tout autre plan. Mais j'ai vraiment le sentiment que nous privilégions notre idée occidentale, voire française, de l'intelligence et que nous avons besoin de chercher plus loin. Je remarque que l'article anglais semble très pratique dans son approche autant que j'ai pu le comprendre. Il conviendrait d'aller voir ce que les autres langues ont écrit sur ce sujet. Je précise qu'au plan académique, je ne suis absolument pas qualifié pour traiter de ce sujet, je n'ai aucun diplôme d'études supérieures. MAis cela ne me gène pas pour vous interpeller.--Mutima 20 octobre 2007 à 00:03 (CEST)

[modifier] Définition introduction - Proposition de reprise

Dans le texte d’introduction, la première partie est cohérente au différentes définitions trouvées dans les dictionnaires et encyclopédies: Capacité de comprendre (mais comprendre quoi ?!)…

Une remarque quand même: « Dans la culture francophone,… ». . C’est équivalent à dire qu’en français, tel mot français possède tel sens. Évidemment. « Intelligence » est un mot français. Et il n’existe donc pas dans d’autres langues! Dans les autres langues il s’agit d’autres concepts qui sont plus ou moins équivalent à celui d’ « intelligence » …

Les phrases suivantes (à partir de «Ainsi en est-il du langage … ») sont de prime abord confuses et peu compréhensibles. Mieux réfléchis, cette manière de vouloir introduire la langage, du fait précisément de cette confusion et de ce manque de clarté, semble être un parti pris à posteriori, et donc un affirmation partiale.

Par ailleurs dans les définitions l’intelligence apparaît en premier lieu comme la capacité de compréhension des choses (la réalité donc….).


  • LES DIFFERENTES DEFINITIONS
    • 1) dans aucunes des quelques définitions consultées (Robert Larrousse Littré, TLFI, Universalis, Encycl. Alpha) il s’agit bien essentiellement de la capacité de comprendre, mais aucune ne mentionne « comprendre le langage »
    • 2) dans deux définitions il s’agit clairement et d'abord de la compréhension du réel: TLFI « [...]Fonction mentale d'organisation du réel en pensées chez l'être humain, en actes chez l'être humain et l'animal [...]» - Dictionnaire encyclopédique Alpha (1996): « [...] Faculté de comprendre, de découvrir des relations (de causalité, d'identité, etc.) entre les faits et les choses. Intelligence pratique: adaptation réfléchie de moyens à des fins, observée chez certains animaux supérieurs et chez l'enfant. Intelligence conceptuelle: faculté de connaître inséparable du langage et fondée sur la raison discursive.[...]  »
    • 3) Un certain nombre de définition il est fait référence à une intelligence chez les animaux. Et les animaux ne possèdent pas le langages des mots.
    • 4) comprendre signifie dans le dictionnaire en ligne de l'Ecyclopédie Universalis « être composé de - englober dans un tout, être intégré dans un tout - saisir la signification - percevoir l'origine, le but, les raisons - se rendre compte - ». Et excepté « saisir la signification » qui peut être indifféremment saisir la signification de mots (discours) ou de faits, et « comprendre au sens « contenir », le reste sous entend bien qu’il s’agit de la compréhension du réel.
    • Par conséquent, l’intelligence est clairement la capacité de compréhension (sous entendu -la plupart du temps-) DU REEL (les « faits » , les « choses » , la « nature » …)!


  • CRITIQUE
    • « Ainsi en est-il du langage qui permettrait à l'intelligence de saisir et d'exprimer le sens qui unit les mots, les phrases, les discours, etc.. ».
      • Selon cette phrase et de la même manière que l’intelligence (« Ainsi en est-il du langage » faisant référence à ce qui précède et concernant l’intelligence), le langage permettrait (à l’intelligence) de saisir et d’exprimer le sens qui unit les mots…
      • « Saisir le sens de… ». Cela parait être le rôle de l’intelligence
      • « exprimer le sens ». « Exprimer quelque chose, une idée une vue ». Cela me semble être le rôle du langage. Mais « exprimer le sens » voudrait peut-être dire « expliquer » le sens, c’est à dire « expliquer » la signification (des choses elles-mêmes, ou des signes…)
      • « le sens qui unit les mots ». Exprimé ainsi, cela ne veut rien dire (on dit « cela n’a pas de sens »); le mot « sens » étant synonyme de « signification », le « sens » ne peut « unir » des mots; par contre les mots « ont » un sens, comme les phrases, ou les discours…
      • Il me paraît au final qu’il y a probablement ici une confusion entre les mots –ou les discours- et les éléments de réalité (ou « La » Réalité ) que les mots représentent…
    • « Ce serait donc la capacité à construire et utiliser des liens entre des éléments disparates, ce serait savoir interpréter au sens le plus large : lire les signes exprimés par l'homme, mais aussi les signes inscrits dans la nature, voire des signes au-delà de la nature (intelligence métaphysique), qui sont les éléments constitutifs du langage. »
      • Cette deuxième partie continue la confusion entre les éléments de réalité et les signes qui les représentent :
      • « Ce serait donc la capacité à construire et utiliser des liens entre des éléments disparates ». Cela semble cohérent aux définitions. Et c’est effectivement « savoir interpréter ». Mais ce n’est pas « lire les signes exprimés par l'homme » PUIS « mais aussi les signes inscrits dans la nature » ; c’est l’inverse! L’intelligence est la capacité d’interpréter les éléments de réalités perçus ! Car un être intelligent ne se contente pas de simplement percevoir, mais interprète ce qu’il voit, c’est-à-dire, essaye de le relier à d’autre choses, de comprendre les relations de causes à effet entre les différentes choses, situer la chose perçue dans un tout plus large. Et ENSUITE, dans la mesure où cette opération est d’un certain niveau de complexité, elle ne peut se faire directement sur les perceptions mémorisées, mais à l’aide des mots (qui les représentent). Et cette opération à l’aide des mots porte le nom de « raisonnement »…
      • Enfin et de la même manière, «  des signes au-delà de la nature […], qui sont les éléments constitutifs du langage » : Les signes sont bien des « éléments constitutifs du langage », mais ils ne sont que l’expression, la « codification » de notre représentation mentale du réel ( la « nature »)!


  • MAIS LE CONCEPT D INTELLIGENCE est (en pratique) parfois mis en relation avec la possession d’un langage élaboré.

Également, une idée répandue est qu’être intelligent c’est (aussi ) comprendre le sens des mots et des phrases. Mais à y réfléchir un peu, un discours ou des affirmations incohérentes absurdes, « idiotes », une personne particulièrement intelligente peut très bien ne pas les comprendre, DE CE FAIT!


La relation n’est donc pas évidente, ne coule pas de source !


Si l’on veut ici introduire le langage , cela doit être fait de manière 1) la plus exacte possible 2) la plus explicite claire et compréhensible possible


  • JE PROPOSE DONC


Globalement en reprenant la partie inchangée:


Intelligence vient du latin intellegentia (faculté de comprendre), dérivé du latin intellegere signifiant comprendre, et dont le préfixe inter (entre), et le radical legere (choisir, cueillir) ou ligare (lier) suggèrent essentiellement l'aptitude à relier des éléments qui sans elle resteraient séparés.

Le concepts d’intelligence est parfois mis en relation avec celui de langage car il semblerait qu’une intelligence évoluée aille de paire avec la possession d’un langage élaboré. En effet, une intelligence évoluée permet (en principe) une représentation mentales des choses de la réalité plus complète et plus exacte. Un langage suffisamment diversifié est d’une part nécessaire pour son expression,. Par ailleurs, les raisonnements complexes nécessaires ne peuvent se faire simplement à partir des perceptions mémorisées, mais à l’aide d’un système de signes (représentant les éléments de cette réalité), le langage… grandG 05/05/08 11H30

Apparemment, plus personne ici.
Bon, ceci était une idée pour se mettre dans la bonne direction. Mais en y réfléchissant mieux et en relisant les définitions, la relation au langage n'est pas, comme je l'avais dit, qu'un fait d'usage. Il est mentionné également ce qui est considéré comme « d'autres formes d'intelligence », l'« intelligence pratique » et l'« intelligence conceptuelle ». Également, toujours dans l'usage ET les définitions, l'intelligence est admise aussi comme étant la faculté d'adaptation.
Je remplace donc la deuxième partie. Cela donne:
Intelligence vient du latin intellegentia (faculté de comprendre), dérivé du latin intellegere signifiant comprendre, et dont le préfixe inter (entre), et le radical legere (choisir, cueillir) ou ligare (lier) suggèrent essentiellement l'aptitude à relier des éléments qui sans elle resteraient séparés.
Selon l'usage et clairement selon certaines définitions, ce serait par conséquent la faculté de comprendre les faits et les choses, et donc de découvrir les relations entre eux. Elle est également admise comme étant ce qu'en fait elle permet; la faculté d'adaptation. Également l'« intelligence pratique » est la capacité d'agir de manière adaptée aux situations.
Enfin, et à un certain niveau d'évolution, la compréhension des faits et des choses ne peut se concevoir sans un système de codification diversifié. On aboutit donc ici à l'« intelligence conceptuelle » , inséparable d'une maîtrise du langage des mots permettant le raisonnement complexe. Le raisonnement serait l'action d'établir des relations entre les éléments, les comparer, et tirer des conclusions à l'aide des mots. grandG 10/05/08 18h15
Toujours personne. Je continu donc ma réflexion et ma propre critique.
Compte tenu que nous contribuons ici à une encyclopédie, je pense que la troisième mouture est plus adaptée. Etant donné la règle comme quoi il ne doit pas y avoir de textes d’auteur (qui traduisent des opinions personnelles), j’ai choisi de mieux coller au sens d’usage et surtout aux définitions. J’ai donc choisi d’adopter la démarche; après l’étymologie, le sens principal, puis les sens « dérivés » et les « différentes sortes d’intelligence »
Intelligence vient du latin intellegentia (faculté de comprendre), dérivé du latin intellegere signifiant comprendre, et dont le préfixe inter (entre), et le radical legere (choisir, cueillir) ou ligare (lier) suggèrent essentiellement l'aptitude à relier des éléments qui sans elle resteraient séparés. C’est la faculté de comprendre les choses et les faits, de découvrir les relations entre eux. L’intelligence est également admise comme étant ce qu'en fait elle permet; la faculté d'adaptation. Également l'« intelligence pratique » est la capacité d'agir de manière adaptée aux situations. Enfin, et à un certain niveau d'évolution, la compréhension ne peut se concevoir sans un système de codification diversifié. On aboutit donc à l' « intelligence conceptuelle » , inséparable d'une maîtrise du langage des mots permettant le raisonnement complexe, le raisonnement étant l’opération mentale d’analyse permettant d'établir les relations entre les éléments.
Sources: dictionnaires L, R et TLFI, D encyclopédique Alpha. Pour le raisonnement: TLFI. grandG 11/05/08 13H00
Après avoir relu différentes définitions voici sa forme définitive (hormis d'éventuelles fautes rédactionnelles)
Intelligence vient du latin intellegentia (faculté de comprendre), dérivé du latin intellegere signifiant comprendre, et dont le préfixe inter (entre), et le radical legere (choisir, cueillir) ou ligare (lier) suggèrent essentiellement l'aptitude à relier des éléments qui sans elle resteraient séparés.
C’est l'ensemble de facultés mentales permettant de comprendre les choses et les faits, de découvrir les relations entre eux. L’intelligence est également admise comme étant ce qu'en fait elle permet; la faculté d'adaptation. Également l'« intelligence pratique » est la capacité d'agir de manière adaptée aux situations. Au niveau d'évolution de l'humain, la compréhension ne peut se concevoir sans un système de codification diversifié. On aboutit donc à l’ « intelligence conceptuelle’ , inséparable d'une maîtrise du langage des mots permettant le raisonnement complexe, le raisonnement étant l’opération mentale d’analyse permettant d'établir les relations entre les éléments. Enfin, et à ce même niveau, l'objet de l'intelligence est la connaissance conceptuelle et rationnelle.
Sources : Dictionnaire Encyclopédique Alpha, dictionnaire Ethymologique Larousse, dictionnaires Larousse et Robert. Pour le raisonnement, dictionnaire en ligne TLFI. grandG 12/05/08 18h40