Henri Sérandour
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Henri Sérandour, né le 15 avril 1937 au Mans, est un membre du CIO français.
Cet ancien international de water-polo a d'abord assuré des fonctions au sein de la natation. Puis, après avoir été chef de mission aux Jeux Olympiques d'été de 1992 à Barcelone et vice-président du CNOSF, il succède à Nelson Paillou en tant que président du CNOSF.
En 2000, il devient également membre du Comité international olympique.
Il fut également membre du Comité fondateur du Comité Paris 2012, qui avait pour mission de soutenir et de promouvoir la candidature de Paris à l'organisation des jeux olympiques et paralympiques de 2012.
En 2008, devant la polémique quant à l'attitude du gouvernement chinois vis à vis du Tibet, Henri Sérandour s'avère incapable de prendre une décision claire quant au badge "pour un monde meilleur" proposé par les athlètes français. Finalement après de multiples changements d'avis il interdit aux athlètes français de porter ce badge pour aller à Pékin au nom du respect de la charte olympique.
[modifier] Carrière
- Professeur d'éducation physique au collège Saint-Vincent à Rennes[1] dans les années 60
- Directeur de la piscine municipale de Dinard
- Président de la fédération française de natation (1980-1993)
- vice-président de la Ligue européenne de natation (1984-1992)
- membre du bureau de la Fédération internationale de natation (FINA) (1992-1996)
- chef de mission aux Jeux Olympiques d'été de 1992 à Barcelone
- Président du CNOSF
- Membre du CIO depuis 2000
- Membre de l'Académie des Sports
[modifier] Références
- ↑ je fus un de ses élèves