Utilisateur:Grook Da Oger/Mes chansons préférées

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Sommaire

[modifier] L'aventure - Jacques Brel

Jacques Brel        
L'aventure
(L'aventure, L'aventure,) L'aventure commence à l'aurore A l'aurore de chaque matin L'aventure commence alors Que la lumière nous lave les mains
L'aventure commence à l'aurore Et l'aurore nous guide en chemin L'aventure c'est le trésor Que l'on découvre à chaque matin
Pour Martin c'est le fer sur l'enclume Pour César le vin qui chantera Pour Yvon c'est la mer qu'il écume C'est le jour qui s'allume C'est le blé que l'on bat
L'aventure commence à l'aurore A l'aurore de chaque matin L'aventure commence alors Que la lumière nous lave les mains
Tout ce que l'on cherche à redécouvrir Fleurit chaque jour au coin de nos vies La grande aventure il faut la cueillir Entre notre église et notre mairie Entre la barrière du Père Machin Et le bois joli de monsieur le Baron Et entre la vigne de notre voisin Et le doux sourire de la Madelon, (la Madelon)
L'aventure commence à l'aurore A l'aurore de chaque matin L'aventure commence alors Que la lumière nous lave les mains L'aventure commence à l'aurore Et l'aurore nous guide en chemin L'aventure c'est le trésor Que l'on découvre à chaque matin
Pour Martin c'est le fer sur l'enclume Pour César le vin qui chantera Pour Yvon c'est la mer qu'il écume C'est le jour qui s'allume C'est le blé que l'on bat
L'aventure commence à l'aurore A l'aurore de chaque matin L'aventure commence alors Que la lumière nous lave les mains
Tous ceux que l'on cherche à pouvoir aimer Sont auprès de nous et à chaque instant Dans le creux des rues dans l'ombre des près Au bout du chemin au milieu des champs Debouts dans le vent et semant le blé Pliés vers le sol saluant la terre Assis près des vieux et tressant l'osier Couchés au soleil buvant la lumière Dans la lumière

[modifier] Nuit et brouillard - Jean Ferrat

Ils étaient vingt et cent, ils étaient des milliers
Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombés
Qui déchiraient la nuit de leurs ongles battants
Ils étaient des milliers, ils étaient vingt et cent
Ils se croyaient des hommes, n'étaient plus que des nombres Depuis longtemps leurs dés avaient été jetés Dès que la main retombe il ne reste qu'une ombre Ils ne devaient jamais plus revoir un été
La fuite monotone et sans hâte du temps Survivre encore un jour, une heure, obstinément Combien de tours de roues, d'arrêts et de départs Qui n'en finissent pas de distiller l'espoir
Ils s'appelaient Jean-Pierre, Natacha ou Samuel Certains priaient Jésus, Jéhovah ou Vichnou D'autres ne priaient pas, mais qu'importe le ciel Ils voulaient simplement ne plus vivre à genoux
Ils n'arrivaient pas tous à la fin du voyage Ceux qui sont revenus peuvent-ils être heureux Ils essaient d'oublier, étonnés qu'à leur âge Les veines de leurs bras soient devenues si bleues
Les Allemands guettaient du haut des miradors La lune se taisait comme vous vous taisiez En regardant au loin, en regardant dehors Votre chair était tendre à leurs chiens policiers
On me dit à présent que ces mots n'ont plus cours Qu'il vaut mieux ne chanter que des chansons d'amour Que le sang sèche vite en entrant dans l'histoire Et qu'il ne sert à rien de prendre une guitare
Mais qui donc est de taille à pouvoir m'arrêter ? L'ombre s'est faite humaine, aujourd'hui c'est l'été Je twisterais les mots s'il fallait les twister Pour qu'un jour les enfants sachent qui vous étiez
Vous étiez vingt et cent, vous étiez des milliers Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombés Qui déchiriez la nuit de vos ongles battants Vous étiez des milliers, vous étiez vingt et cent

[modifier] Je l'aime à mourir - Francis Cabrel

Vous pouvez détruire
Tout ce qu'il vous plaira
Elle n'a qu'à ouvrir
L'espace de ses bras
Pour tout reconstruire
[...] Elle a dû faire toutes les guerres Pour être si forte aujourd'hui Elle a dû faire toutes les guerres De la vie, et l'amour aussi Elle vit de son mieux Son rêve d'opaline Elle danse au milieu Des forêts qu'elle dessine Je l'aime à mourir - Francis Cabrel

[modifier] "Everybody Knows" - Leonard Cohen

Everybody knows that the dice are loaded
Everybody rolls with their fingers crossed
Everybody knows that the war is over
Everybody knows the good guys lost
Everybody knows the fight was fixed
The poor stay poor, the rich get rich
That's how it goes
Everybody knows.
  - Leonard Cohen, "Everybody Knows" (co-written with Sharon Robinson) I'm Your Man (1988)

[modifier] La Rumeur - Yves Duteuil

   La Rumeur
la rumeur ouvre ses ailes elle s’envole à travers nous c’est une fausse nouvelle mais si belle après tout elle se propage à voix basse à la messe, à midi entre l’église et les glaces entre confesse et confis
la rumeur a des antennes elle se nourrit de can-cans elle est bavarde et hautaine et grandit avec le temps c’est un arbre sans racine à la sève de venin avec des feuilles d’épines et des pommes à pépins ça occupe, ça converse ça nourrit la controverse ça pimente les passions le sel des conversations
la rumeur est un microbe qui se transmet par la voix se déguise sous la robe de la vertu d’autrefois la parole était d’argent mais la rumeur est de plomb elle s’écoule, elle s’étend elle s’étale, elle se répand
c’est du miel, c’est du fiel on la croit tombée du ciel jamais nulle ne saura qui la lance et qui la croit
c’est bien plus fort qu’un mensonge ça grossit comme une éponge plus c’est faux, plus c’est vrai plus c’est gros et plus ça plait calomnie, plus on nie plus elle enfle et réjouit démentir, protester c’est encore la propager
elle peut tuer sans raison sans coupable et sans prison sans procès ni procession sans fusil, ni munition c’est une arme redoutable implacable, impalpable adversaire invulnérable c’est du vent, c’est du sable elle rode autour de la table nous amuse, nous accable c’est selon qu’il sagit de quiquonque ou d’un ami
un jour elle a disparu tout d’un coup, dans les rues comme elle était apparue a tous ceux qui l’avaient crue
la rumeur qui s’est tue ne reviendra jamais plus dans un coeur, la rancoeur ne s’en ira pas non plus!
- Yves Duteil


[modifier] Francis Lalanne - On se retrouvera

Promets moi si tu me survis
D'être plus forte que jamais
Je serais toujours dans ta vie
Près de toi, je te promets
Et si la mort me programme
Sur son grand ordinateur
De ne pas en faire un drame
De ne pas en avoir peur
Pense à moi, comme je t'aime Et tu me délivreras Tu briseras l'anathème Qui me tiens loin de tes bras Pense à moi, comme je t'aime Rien ne nous séparera Même pas les chrysanthèmes Tu verras, on se retrouvera
N'oublie pas ce que je t'ai dit L'amour est plus fort que tout Ni l'enfer ni le paradis Ne se mettront entre nous Et si la mort me programme Sur son grand ordinateur Elle ne prendra que mon âme Mais elle n'aura pas mon cœur
Pense à moi, comme je t'aime Et tu me délivreras Tu briseras l'anathème Qui me tiens loin de tes bras Pense à moi, comme je t'aime Rien ne nous séparera Même pas les chrysanthèmes Tu verras, on se retrouvera On se retrouvera On se retrouvera...

[modifier] L'hymne à l'amour - Edith Piaf

Le ciel bleu sur nous peut s'effondrer
Et la terre peut bien s'écrouler
Peu m'importe si tu m'aimes
Je me fous du monde entier
Tant que l'amour inondera mes matins
Tant que mon corps frémira sous tes mains
Peu m'importe les problèmes
Mon amour puisque tu m'aimes

[modifier] La vie en rose - Edith Piaf

Des yeux qui font baisser les miens
Un rire qui se perd sur sa bouche
Voilà le portrait sans retouche
De l'homme auquel j'appartiens
Quand il me prend dans ses bras,
Il me parle tout bas
Je vois la vie en rose,
Il me dit des mots d'amour
Des mots de tous les jours,
Et ça me fait quelque chose
Il est entré dans mon coeur,
Une part de bonheur
Dont je connais la cause,
C'est lui pour moi,
Moi pour lui dans la vie
Il me l'a dit, l'a juré
Pour la vie.
Et dès que je l'aperçois
Alors je sens en moi
Mon coeur qui bat.
Des nuits d'amour à plus finir
Un grand bonheur qui prend sa place
Des ennuis;des chagrins s'effacent
Heureux;heureux à en mourir
Quand il me prend dans ses bras,
Il me parle tout bas
Je vois la vie en rose,
Il me dit des mots d'amour
Des mots de tous les jours,
Et ça me fait quelque chose
Il est entré dans mon coeur,
Une part de bonheur
Dont je connais la cause,
C'est toi pour moi,
Moi pour toi dans la vie
Il me l'a dit, l'a juré
Pour la vie.
Et dès que je t'aperçois
Alors je sens en moi
Mon coeur qui bat.

[modifier] Comme d'habitude - Claude Francois

Comme d'habitude, toute la journée
Je vais jouer à faire semblant
Comme d'habitude je vais sourire
Comme d'habitude je vais même rire
Comme d'habitude, enfin je vais vivre
Comme d'habitude

[modifier] Johnny Hallyday - Je te promets

Je te promets le sel au baiser de ma bouche
Je te promets le miel à ma main qui te touche
Je te promets le ciel au dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces
Je te promets la clé des secrets de mon âme Je te promets ma vie de mes rires à mes larmes Je te promets le feu à la place des armes Plus jamais des adieux rien que des au-revoirs
J'y crois comme à la terre, j'y crois comme au soleil J'y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel J'y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent J'te promets une histoire différente des autres J'ai tant besoin d'y croire encore

[modifier] Jean-Jacques Lafon - Le Géant de Papier

Demandez-moi de combattre le diable
D'aller défier les dragons du néant
De vous construire des tours, des cathédrales
Sur des sables mouvants
Demandez-moi de briser les montagnes
D'aller plonger dans la gueule des volcans
Tout me paraît réalisable, et pourtant...
Quand je la regarde, moi l'homme loup au cœur d'acier Devant son corps de femme, je suis un géant de papier Quand je la caresse et que j'ai peur de l'éveiller De toute ma tendresse, je suis un géant de papier
Demandez-moi de réduire en poussière Cette planète où un dieu se perdrait Elle est pour moi comme une fourmilière Qu'on écrase du pied Demandez-moi de tuer la lumière Et d'arrêter ce soir le cours du temps Tout me paraît réalisable, et pourtant...
Quand je la regarde, moi l'homme loup au cœur d'acier Devant son corps de femme, je suis un géant de papier Quand je la caresse et que j'ai peur de l'éveiller De toute ma tendresse, je suis un géant de papier
Quand je la regarde, moi l'homme loup au cœur d'acier Devant son cœur de femme, je suis un géant de papier


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