Gilles Artigues

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Gilles Artigues

Parlementaire français
Naissance	4 janvier 1965
Décès
Mandat	Député 2002-2007
Début du mandat	{{{début du mandat}}}
Fin du mandat	{{{fin du mandat}}}
Circonscription	Première circonscription de la Loire
Groupe parlementaire	Union pour la démocratie française
V^e république

Gilles Artigues est un homme politique français né le 4 janvier 1965 à Saint-Étienne (Loire). Il est membre du bureau exécutif provisoire du Mouvement Démocrate.

Ancien député de la 1^re circonscription de la Loire et candidat aux élections municipales de 2008 à Saint-Étienne, il est élu le 16 mars 2008 conseiller général du canton de Saint-Étienne-Nord-Est-2.^[1]

Sommaire

1 Parcours politique
- 1.1 Mandats
  - 1.1.1 Anciens mandats
2 Anecdotes
3 Notes et références
- 3.1 Voir aussi
- 3.2 Liens externes

[modifier] Parcours politique

Le 16 juin 2002, il est élu député pour la XII^e législature (2002-2007), dans la 1^re circonscription de la Loire. Il fait partie du groupe UDF. Avec 20,81% des suffrages, il est battu dès le premier tour lors des élections législatives de juin 2007 et perd son siège au profit du socialiste Régis Juanico.

Le 19 novembre 2007, il annonce sa candidature aux élections municipales 2008 à Saint-Étienne. Arrivé en troisième position au premier tour avec 20,23% des voix, il se maintient comme la loi le lui permet au second tour et obtient 12,27% des voix.^[2]

[modifier] Mandats

16/03/2008 - : Conseiller général du canton de Saint-Étienne-Nord-Est-2
16/03/2008 - : Conseiller municipal de Saint-Étienne

[modifier] Anciens mandats

19/06/1995 - 18/03/2001 : Adjoint au Maire de Saint-Étienne (Loire), à la vie associative
2001-2007 : Adjoint au Maire de Saint-Étienne (Loire) chargé des services publiques et de la proximité, ainsi que de la démocratie locale.
2002-2007 : Député de la première circonscription de la Loire (Nord de Saint-Étienne, Saint-Priest-en-Jarez, Saint-Jean-Bonnefonds, Saint-Genest-Lerpt, Villars et Roche-la-Molière), siègeant au groupe Union pour la Démocratie Française.

[modifier] Anecdotes

Arrivé 3e au premier tour des municipales de 2008, il se maintient au second tour favorisant l'élection du socialiste Maurice Vincent le 16 mars 2008.
Le 19 novembre 2007, il annonce, au palais des congrès de Saint Etienne, sa candidature pour les élections municipales de Saint Etienne 2008. Il conduit la liste pluraliste la voix des stéphanois.
Le mercredi 9 mai 2007, suite au ralliement de 22 des 29 députés UDF à la majorité présidentielle de Sarkozy, [1] il dénonce la charte que ces élus UDF sont contraint de signer envers le futur gouvernement. Selon cette charte, alors même qu'ils ne connaissent pas les futurs budgets et les raisons d'un éventuel vote de confiance/défiance, il leur est interdit de désapprouver ces futurs bugdets ainsi que de voter la censure contre ce futur gouvernement.
Avant de devenir député de la Loire, Gilles Artigues était professeur de mathématiques.
Il créa l'association chrétienne, « Jeune pour une foi » et, lors du réveillon de Noël, il animait une émission radiophonique à l'antenne de « RCF » où il écoutait, de 22 heures à 7 heures du matin, les personnes seules, dont la solitude est encore plus perceptible pendant ces jours de fête.
Gilles Artigues travailla aussi sur les ondes de la radio lyonnaise Radio Fourvière, sur l'antenne stéphanoise de Radio Fourvière et ensuite sur R.C.F Saint-Etienne
Aujourd'hui, il est le père de deux filles et un garçon : Claire-Marie, Louise et Augustin.
Lors de sa campagne électorale pour les élections législatives de 2002 (qu'il remporta), son slogan était « Gilles Artigues, la volonté d'agir... ».
Il est apparu sur la scène politique stéphanoise en 1995, en se présentant aux élections municipales sur la liste de Michel Thiollière (maire de Saint-Étienne jusqu'au 16 mars 2008). Il possédait déjà à l'époque, un DEUG A, une licence de mathématiques et un CAPES.
Les collèges et lycées stéphanois où il enseigna avant de devenir député sont l'externat Saint-Michel et Valbenoite.