Gianna Maria Canale
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Gianna Maria Canale est une actrice italienne née à Reggio de Calabre le 12 septembre 1927.
En 1947, elle se présente au concours de Miss Italie, et termine deuxième derrière Lucia Bosé et devant... Gina Lollobrigida.
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[modifier] Riccardo Freda
Elle est bientôt remarquée par le réalisateur italien Riccardo Freda qui l'épouse, et en moins de dix ans, l'emploiera dans une bonne douzaine de films parmi lesquels :
- Le Cavalier mystérieux (1948)
- Trahison (1951)
- Le Fils de d'Artagnan (1949)
- Spartacus (1953)
- Théodora (film) impératrice de Byzance (1954)
- Les Vampires (1956)
[modifier] L'univers du péplum
Dans les années 50, elle devient l’une des “super-stars” du “péplum”.
- Spartacus (de Riccardo Freda)
- Theodora imperatrice de byzance de Riccardo Freda
- Sous le signe de la croix (Les Esclaves de Carthage) de Guido Brignone (1957)
- Les Travaux d'Hercule de Pietro Francisci (1958)
- La Révolte des gladiateurs de Vittorio Cottafavi (1958)
- La Reine des Amazones de Vittorio Sala (1960)
- Le conquérant d'Orient de Tanio Boccia (1960)
- Maciste contre le fantôme (Maciste contro il vampiro) de Sergio Corbucci (1961)
- La Bataille de Corinthe de Mario Costa (1962)
- Le Fils de Spartacus de Sergio Corbucci (1963)
[modifier] Mais sa notoriété dépasse ce cadre et elle brille aussi dans :
- Madame du Barry de Christian Jaque (1954)
- Napoléon de Sacha Guitry (1955)
- La Reine des pirates de Mario Costa (1960)
- Les Nuits de Raspoutine de Pierre Chenal (1960)
Malgré tout, elle abandonne assez tôt le cinéma après « Le Pont des soupirs » un film réalisé par Carlo Campogalliani et Piero Pierotti en 1964.
[modifier] Anecdote
La légende (ou la réalité) veut que Gianna Maria Canale ait quitté Riccardo Freda pour un coiffeur, et que, depuis, le réalisateur n'a plus souhaité de coiffeur sur ses plateaux, les vedettes devant se faire coiffer elles même ou hors plateau.
