George de Peyrebrune

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Mathilde-Marie Georgina Élisabeth de Peyrebrune, dite George de Peyrebrune,[1] née à Peyrebrune, hameau de Sainte-Orse (Dordogne), le 18 avril 1841 et morte à Paris en 1917, est une femme de lettres française, auteur de romans populaires.

Venue à Paris après la guerre de 1870, elle contribua à plusieurs revues féminines et publia un grand nombre de romans qui connurent un succès éphémère. Elle fit partie du premier jury du prix Fémina en 1905. Elle mourut dans la pauvreté et l'oubli en 1917.

[modifier] Œuvres

  • Contes en l'air. L'Apollon pythien. Une fenêtre sur l'autre monde. Tante Berthe. Une horrible histoire. Histoire d'un pantalon gris perle. Sous les branches (1877)
  • Les Femmes qui tombent (1882)
  • Gatienne (1882)
  • Marco (1882)
  • Jean Bernard (1883)
  • Victoire la Rouge (1883)
  • Une séparation (1884)
  • Les Frêres Colombe (1885)
  • Mademoiselle de Tremos (1885)
  • Les Roses d'Arlette (1886)
  • Les Ensevelis (1887)
  • La Margotti (1887)
  • Colombine, conte-fantaisie (1888)
  • Laquelle ? (1888)
  • Le Curé d'Anchelles (1891)
  • Giselle (1891) Texte en ligne
  • Le Roman d'un bas bleu (1892)
  • Celui qui revient (1894)
  • Vers l'amour (1896)
  • Les Fiancés (1897)
  • Libres (1897)
  • Victoire la Rouge (1898) Texte en ligne
  • Au pied du mât (1899)
  • Les Passionnés (1900)
  • Une expérience (1901)
  • Et l'amour vint (1902)
  • Deux Amoureuses (1902)
  • Une sentimentale (1903)
  • Les Trois Demoiselles (1905)
  • Doña Quichotta (1906)
  • Le Réveil d'Ève (1909)
  • Les Belles Martyres (1911)

[modifier] Note

  1. Ou Georges de Peyrebrune. Elle fut la fille naturelle de Françoise Céline Judicis et l'épouse de Paul-Adrien Eimery.