Friedrich Nietzsche et le bouddhisme
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Sommaire |
[modifier] La découverte du bouddhisme
[modifier] Ecce homo
Chapitre VI :
"Le ressentiment doit pour le malade être essentiellement tabou, c'est sa maladie elle-même : c'est aussi malheureusement son penchant le plus naturel Bouddha l'avait compris, le grand physiologiste. Sa "religion" - qu'on ferait mieux d'appeler hygiène pour ne pas la commettre avec d'aussi pitoyables choses que le christianisme - faisait dépendre son efficacité de la défaite du ressentiment : libérer l'âme du ressentiment c'est le premier pas vers la guérison. "Ce n'est pas l'inimitié, mais l'amitié qui met un terme à l'inimitié"[1] : voilà la première leçon du Bouddha ; ce n'est pas la langage de la morale, c'est celui de la physiologie".
Dans de texte, plusieurs points se dégagent :
- Si le rejet du christianisme est constant, il est plus notable que Nietzsche complimente le bouddhisme alors qu'Ecce homo est un texte tardif, son dernier livre.
- Il oppose la morale, à la physiologie. Cette formulation est liée à la célèbre analogie : le bouddha comparé à un médecin.
[modifier] Nietzsche, le stoïcisme et le bouddhisme
[modifier] Références
- ↑ La citation est extraite du Dhammapada
[modifier] Voir aussi
- Arthur Schopenhauer, autre philosophe occidental, plus intéressé encore par le bouddhisme.
- Marcel Conche, Nietzsche et le bouddhisme, 1997, Encre Martine