Friedrich Nietzsche et le bouddhisme

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Sommaire

[modifier] La découverte du bouddhisme

[modifier] Ecce homo

Chapitre VI :
"Le ressentiment doit pour le malade être essentiellement tabou, c'est sa maladie elle-même : c'est aussi malheureusement son penchant le plus naturel Bouddha l'avait compris, le grand physiologiste. Sa "religion" - qu'on ferait mieux d'appeler hygiène pour ne pas la commettre avec d'aussi pitoyables choses que le christianisme - faisait dépendre son efficacité de la défaite du ressentiment : libérer l'âme du ressentiment c'est le premier pas vers la guérison. "Ce n'est pas l'inimitié, mais l'amitié qui met un terme à l'inimitié"[1] : voilà la première leçon du Bouddha ; ce n'est pas la langage de la morale, c'est celui de la physiologie".

Dans de texte, plusieurs points se dégagent :

  • Si le rejet du christianisme est constant, il est plus notable que Nietzsche complimente le bouddhisme alors qu'Ecce homo est un texte tardif, son dernier livre.
  • Il oppose la morale, à la physiologie. Cette formulation est liée à la célèbre analogie : le bouddha comparé à un médecin.

[modifier] Nietzsche, le stoïcisme et le bouddhisme

[modifier] Références

  1. La citation est extraite du Dhammapada

[modifier] Voir aussi

  • Arthur Schopenhauer, autre philosophe occidental, plus intéressé encore par le bouddhisme.
  • Marcel Conche, Nietzsche et le bouddhisme, 1997, Encre Martine