Discuter:Exorcisme

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[modifier] ne pas confondre "psychique" et "spirituel"

l'expression "entité spirituelle" ne veut rien dire. Dans l'ésotérisme régulier, les entité sont de nature psychique car elle relève d'une nature propre à entrer en relation avec le mental. Si l'on qualifie un être de "spirituel" c'est au sens d'une qualité et non d'une nature. Une idée, une pensée, un concept peuvent être spirituels. On peut à la rigueur définir "Dieu" comme pur spirituel, mais les êtres, quand bien même il sont supposés "réels" mais "invisibles", ne sont censés être que des créatures et relèvent donc du monde psychique selon la division ésotérique traditionnelle :

  • plan matériel
  • plan psychique
  • plan spirituel

que l'on peut traduire dans un langage religieux par "corps, âme, esprit".Sonusfaber 26 mai 2006 à 00:25 (CEST)

Je déplace ici cette section, qui à amha n'a rien à faire dans l'article (POV + non-encyclopédique) --bsm15 2 juillet 2006 à 03:44 (CEST)

[modifier] dans 90% des cas, les problèmes sont, bien évidemment, de nature psychologique

"Dans plus de 90% des cas dits de possession, les problèmes sont de nature psychologique". Les autorités ecclésiastiques préfèrent créer des structures d'écoute et offrir un soutien psychologique aux personnes en difficulté.

  • Oui, et dans les 10% restants, une part importante revient pour partie, en proportion variable, (et fonction de chaque cas ) au psychologique.... pour les cas restants, l'exorciste (s'il y a), est au pied du mur (là où dit-on, se voit le "maçon"), et (s'il n'y a pas..), il reste à vivre et expérimenter, (ici-bas, dans sa "forme"), une grande misère, pour l'entité réelle (l'habitant originel, natif, le "légitime propriétaire" quoi.. du corps), sa personnalité est en danger de se trouver supplantée par la ou les personnalités étrangères et possédantes? (et là l'église, fort justement, pose la question "qui es tu ?" de l'"id"-entité.. possédante, ce qu'un Christ n'a pas même à faire étant reconnu "de facto" par l'entité(és), obligé(es) là aussi "de facto" de répondre d'elle-même, et qu'elle ne le fasse pas "volontiers".. est une autre "affaire"), cela par phases, ou pour des durées longues et variables selon les cas, voire pour une durée "définitive", soit: jusqu'à la fin de l'incarnation prévue, ou parfois considérablement raccourcie de l'incarnation.. à suivre (éventuellement, (car je ne suis ici, pas plus qu'un autre, tenu de rien, cela étant fonction de la sincérité ou "formulation" de la demande). Tout ceci n'étant par ailleurs que simple PDV, n'est ce pas ? ....lamadelama ..le :. 13 juillet 2006 à 10:51 (CEST)


"Dans plus de 90% des cas dits de possession, les problèmes sont de nature psychologique"

Cette phrase est entre guillemets. S'agit-il d'une citation du nouveau rituel ? Il faudrait dans ce cas bien en préciser les références car il ne me semble pas qu'il y ait d'études statistiques faites à ce sujet. Et en absence d'études statistiques ce chiffre de 90% ne veut strictement rien dire. Edwardan 5 septembre 2006 à 23:20 (CEST)

[modifier] Possession par un esprit et exorcisme

Réaction d'un sujet "possédé" :

"Un psychiatre m'adressa Serge, dix neuf ans. Prostré sur sa chaise, il regardait fixement le ciel en émettant des grognements. Je commençai mon exorcisme. Soudain les grognements s'accentuent, Serge tourne sa tête vers moi et me "fusille" d'un regard meurtrier, les yeux exorbités striés de filets de sang, l'écume aux lèvres. Il se lève et les mains en avant, se précipite sur moi en criant avec rage, cherchant à m'étrangler. Je saisis ma fiole d'eau bénite et je l'asperge. Il s'arrête net et se roule par terre en écumant de rage. Il se redresse brutalement, me fixe dans les yeux. Il se précipite vers moi pour me mordre. Deuxième aspersion d'eau bénite, il s'écroule à terre comme foudroyé. Je ne lui laisse pas le temps de se relever. Crucifix en main gauche, je saisis de la main droite mon épée d'exorcisme et je commence le rituel d'exorcisme. Au bout d'une heure de ce combat, l'entité du mal qui possède Serge est plus excitée que jamais. Je concentre toute mon énergie sur les mots du rituel et je trace sur son front l'esquisse d'un signe de croix avec le crucifix. Il hurle, empoigne avec ses deux mains mon avant-bras. Je lâche le crucifix, mais de l'épée que je tiens de la main droite, je touche son poignet. Il lâche mon bras et se recule, stupéfait. Je prononce les paroles du rituel. Mon épée tient momentanément en respect le possédé. Une paix s'installe en moi, ma voix s'affermit. Tout devient plus facile, comme si une force supérieure se manifestait à travers moi. Après huit heures de combat éreintant, je le laisse, rejoignant mon domicile pour dormir. Le lendemain, je ressens des douleurs dans tout le corps, et j'ai l'impression qu'une partie de mon énergie vitale me manque. Nous arrivons alors aux tests ultimes. Il est capable d'accepter une hostie consacrée sans la vomir ou la recracher. Il supporte l'eau bénite, il accepte les onctions d'huile et récite en même temps que moi les prières usuelles. Je trouve dans son regard une expression amicale, sans aucune lueur provenant d'une autre présence en lui."


Conclusions : Les personnes qui anciennement étaient considérées comme possédées par le diable, sont le plus souvent actuellement remises entre les mains des psychiatres. Alors, ne voit-on plus assez le démon où il se trouve, lui laissant les mains libres ? Le malin, "roi des menteurs" a-t-il réussi à duper les hommes une foi de plus en dissimulant ses possessions sous la maladie apparente ? Afin d'obtenir une réponse, il faudrait être plus rusé que le diable.