Escrennes

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Escrennes

Pays	France
Région	Centre
Département	Loiret
Arrondissement	Arrondissement de Pithiviers
Canton	Canton de Pithiviers
Code Insee	45137
Code postal	45300
Maire Mandat en cours	Philippe Gilbert 2001-2008
Intercommunalité	Communauté de communes de Beauce et du Gâtinais
Latitude Longitude	48° 08′ 02″ Nord 2° 11′ 22″ Est / 48.1338888889, 2.18944444444
Altitude	102 m (mini) – 123 m (maxi)
Superficie	11,55 km²
Population sans doubles comptes	650 hab. (1999)
Densité	56,3 hab./km²

Escrennes est une commune française, située dans le département du Loiret et la région Centre.

Le nom de la commune se prononce écrenn. Vient du bas-latin SCREONA, synonyme du latin classique "Domus", maison.

Sommaire

1 Géographie
- 1.1 Lieux-dits et écarts
- 1.2 Communes limitrophes
2 Histoire
3 Administration
4 Démographie
5 Personnalités
6 Patrimoine
7 Archives
8 Voir aussi
9 Notes et références
10 Liens externes

[modifier] Géographie

Sur les bords de la rivière OEuf.

[modifier] Lieux-dits et écarts

Hameau de Montvilliers à 2km d'Escrennes, dépendant de cette commune. Château des XVIIe et XVIIIe siècles.

[modifier] Communes limitrophes

[modifier] Histoire

Terre appartenant au XI^e siècle aux religieux de l'abbaye de Saint-Benoit. Au XV^e siècle, elle échut à Henri Ier, Duc d'Enghien et Prince de Conti. Escrennes devint ensuite propriété de la famille des Etangs (de 1632 à 1786), de François de Toustain (1786-1791) puis d'un notaire parisien, Gaspard Monnet, qui l'acquit en 1791 au titre de bien national. Un château fut édifié en 1650 au milieu du bourg puis agrandi par Gaspard Monnet en 1791. Délaissé à la fin du XIXe siècle, il fut démoli en 1905 (seule l'orangerie subsiste à ce jour). Source : "Escrennes, mon village, monographie d'un village du Pithiverais" par Joseph Languille (1970).

[modifier] Administration

De 1926 à 1942, Escrennes, comme toutes les communes du canton de Pithiviers, dépendantes depuis 1800 (an VIII) de l'arrondissement de Pithiviers, fut rattachée à l'arrondissement d'Orléans, durant la suppression temporaire de l'arrondissement. La réforme de 1942 reconstitua cet arrondissement dans les limites et le découpage qui étaient les siens jusqu'en 1926.