Utilisateur:Drtissot/Bac à sable

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Sommaire

[modifier] Articles (ou ébauches) en rédaction

[modifier] Modèle article veirge pour médecine

Définition

[modifier] Épidémiologie

[modifier] Physiopathologie

[modifier] Mécanismes physiologiques

[modifier] Causes

[modifier] Diagnostic

[modifier] Signes fonctionnels

[modifier] Examen clinique

[modifier] Examens complémentaires

[modifier] Prise en charge

[modifier] Évolution et complications

[modifier] Notes et références de l'article

[modifier] Voir aussi

[modifier] Articles connexes

[modifier] Liens et documents externes

[[Catégorie:]]

[modifier] Rétrécissement mitral

Toujours d'origine rhumatismale (cardite post rhumatisme articulaire aigu), elle est devenur rare dans les pays occidentaux.

  • Une angine bactérienne (streptocoques), en règle chez la personne jeune, non traitée par antibiothérapie, va se compliquer quelques semaines plus tard d'un rhumatisme articulaire. Une angine virale (la très grande majorité des cas) ne se complique jamais de rhumatisme articulaire aiguë.
  • Ce rhumatisme peut se compliquer d'une inflammation du cœur : la cardite
  • Cette cardite va laisser des séquelles valvulaires (épaississement fibrose) qui peuvent s'aggraver au fil des années.

Du fait de cette origine, c'est une maladie de l'adulte jeune. Elle est en voie de disparition dans les pays développés du fait d'une bonne prise en charge des angines. Il n' y a théoriquement pas de retentissement sur le ventricule gauche. L'évolution se fait fréquemment vers le passage en fibrillation auriculaire (activité rapide et anarchique des oreillettes) Le traitement peut consister en un remplacement valvulaire par valve artificielle si le rétrécissement est serré et symptomatique. Si le rétrécissement est pur (sans fuite associé) et que les valves ne sont pas trop remaniées, on peut proposer une valvuloplastie per cutanée : un ballon est glissé par ponction veineuse fémorale dans la valve mitrale. Il est alors gonflé, écartant les deux valvules. Cette procédure se fait sous anesthésie locale, sans circulation extra corporelle. L'hospitalisation en est beaucoup plus courte. En cas de fibrillation auriculaire, un traitement par médicaments anti arythmiques et par médicaments anticoagulants s'impose.

[modifier] Hypertension artérielle pulmonaire

http://www.escardio.org/NR/rdonlyres/4C7E0B84-A6E8-4666-A305-05E3CBE1254B/0/PAH021204_376Kb.pdf

[modifier] lignes de Kerley

  1. Toujours sur le cliché radiologique de la périphérie des poumons, on constate la présence d'une zone claire et des lignes de Kerley B. Ce terme utilisé par le britannique Peter Kerley en 1933 caractérise les fines opacités apparaissant sous forme de petites lignes blanches quelquefois visibles sur les radiographies des poumons pathologiques. On en distingue 4 types : Les lignes A, centrales, dirigées vers le hile.
  2. Les lignes B, les plus fréquentes sont horizontales, périphériques et situées dans l'espace (sinus costo-diaphragmatique). Elles se rencontrent chez les patients présentant une pathologie cardiaque et plus particulièrement ceux qui ont une atteinte des valves mitrales associée à une élévation de la tension artérielle de l'appareil pulmonaire. On les observe également dans d'autres pathologies pulmonaires associées à une leucémie, une réticulose, un cancer, une sarcoïdose et une silicose. Elles sont le résultat d'un oedème (collection de liquide) et de l'accumulation de poussière ou encore de calcification des régions situées entre les lobules pulmonaires : les septum interlobulaires.
  3. Les lignes C sont des opacités apparaissant sous forme d'un petit filet (opacités réticulaires).
  4. Les lignes D plus épaisses et plus longues siègent dans les régions en avant et en haut des poumons.

Les lignes septales de Kerley correspondent à l'élargissement des septa interlobulaires par l'oedème ; les lignes B siègent aux bases orientées transversalement, perpendiculairement à la paroi ; les lignes A aux lobes supérieurs et se dirigent obliquement de la périphérie vers le hile. Enfin, un épaississement des scissures interlobaires, le comblement d'un cul de sac diaphragmatique, traduisent l'accumulation de l'oedème dans l'espace sous pleural. Souvent, notamment en position couché, en réanimation, l'aspect est moins évident

[modifier] Idées diverses

[modifier] Virus

[modifier] Coronavirus

ARN monocaténaire Capside hélicoïdale Enveloppe avec spicules en club de golf Mise en évidence par ME

[modifier] Bactéries

[modifier] ?

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu d’une traduction de l’article en anglais : « xx».

[modifier] Hypertension artérielle

[modifier] Sites

Pas maladie cardiovasculaire = facteur de risque cardiovasculaire

[modifier] Physiopathologie

Pa = Qc x R (résistances artériolaires péritphériques) régularisaiton de la PA : mise en jeu de plueisuer systèmes

  • système nerveux (sympathique et parasympathique) : baro et chémorécepteurs
    • sympathique : augmentation de la PA (augmentation du Qc et augmentation des résustances artérilaires pérophériques)
    • parasympathique : diminution de la PA : iminution du Ac, mais pas d'innervation parasympathique vasculaire
  • système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA)
  • autres sytèes hormonaux
    • facteur atrial natriurétiquz (FAN) : s'oppose au SRAA
    • kinines : vasodilatation par augmnetation de llibération de sprostaglandines
    • EDRF
  • réguation rénale (par réguilation de la volémie)

[modifier] Circonstaznces de découverte

  • découverte fortuire +++
  • signes fonctionnels : céphalées, acouphènes, phoshènes, vertiges, épistaxis, paresthésie, PK nocturne
  • complciations révélatrices : HTA maligne, dissection aortique, AVC, OAP, toxémie gravidique

[modifier] Classification manométrique de l'hypertension artérielle

Stade Type d'HTA Systolique (mmHg) Diastolique (mmHg)
Stade 1 Légère 140 - 159 90 - 99
Stade 2 Modérée 160 - 179 100 - 109
Stade 3 Sévère 180 - 209 110 - 119
Stade 4 Très sévère 210 > 120

D'après[1]

[modifier] Urgences hypertensives et hypertension artérielle maligne

Il ne faut pas confondre poussée (ou crise) hypertensive et urgence hypertensive : la première correspond à une hypertension artérielle sévère sans retentissement et les secondes à une hypertension artérielle avec retentissement viscéral.

Causes des crises hypertensives et urgences hypertensives :

  • causes fréquentes :
    • poussée d'HTA sans cause particulière chez un hypertendu
    • sevrage d'anti-HTA (centreaux, bêta-bloquant)
  • causes rares :
    • ingestion de sympathomimétiques 'amphétamines, LSD, cocaïne), d'ADT
    • maladies rénales ou réno-vasculaires, dopnt la glomérulonéphrite aigue
    • traumatisme cranien
    • 'pré)-éclampsie, phéochromocytome, tumeur à rénine et autres raretés

[modifier] Notes

  1. Hypertension artérielle au service d'accueil et d'urgence, femmes enceintes et enfants de moins de 15 ans exclus. 4ème conférence de consensus en médecine d'urgence. Carpentier F. Bouvier A.M. Fournier J.P. Lechevallier B. Lestavel P. Priolet B. Van der Roost D. Réan Urg 1994 ; 3 : 493-503

[modifier] Rétinopathie hypertensive

Titre du document / Document title La rétinopathie hypertensive (Hypertensive retinopathy) Auteur(s) / Author(s) CHAINE G. ; KOHNER E. M. ; Affiliation(s) du ou des auteurs / Author(s) Affiliation(s) Clin. ophthalmologique univ. Créteil, INCONNU Résumé / Abstract La rétinopathie hypertensive, décrite il y a plus d'un siècle, est le témoin au niveau des vaisseaux rétiniens et de la papille d'une rupture de la barrière hématorétinienne lorsque les mécanismes d'autorégulation sont dépassés. Les manifestations propres de la rétinopathie hypertensive telle que la vasoconstriction artérielle, les hémorragies rétiniennes, les nodules cotonneux, l'œdème papillaire, doivent être différenciées des manifestations rétiniennes liées à l'artériosclérose à type d'accentuation du reflet artériel ou de signes du croisement. La classification de Keith et Wagener bien qu'encore largement utilisée mérite donc d'être considérée car elle ne distingue pas les atteintes rétiniennes liées à l'hypertension artérielle, de celles liées à l'artériosclérose. L'angiographie à fluorescence a permis aussi de mettre en évidence les anomalies choroïdiennes associées à l'hypertension artérielle, ainsi que les complications de l'hypertension artérielle par exemple les macronévrysmes, la neuropathie optique antérieure ischémique Revue / Journal Title Journal français d'ophtalmologie (J. fr. ophtalmol.) ISSN 0181-5512 CODEN JFOPDG Source / Source 1983, vol. 6, no12, pp. 995-1005 (78 ref.)

[modifier] Crise aigue hypertensive et Urgences hypertensives