Discuter:Dette du tiers monde

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Bonjour, j'aimerais bien que quelqu'un relise ce que j'ai fait et voie pour les fautes. Et si y en a qui sont motivés pour wikifier un peu, ;-) Et puis, je sais pas comment on fait pour relier à la traduction anglaise??? Bon, en gros, je me débrouille en anglais, mais tout ce qui est informatique, j'ai du mal! Help wanted !!! Merci

Je m'en occupe de suite (relecture et wikification and co). :) --Playtime 5 juin 2006 à 21:15 (CEST)

Bravo et merci pour la qualité de la traduction. HDDTZUZDSQ 7 juin 2006 à 11:02 (CEST)

Cet article mériterait un désaccord de pertinence (mais bon, je ne recourre à ce bandeau que dans les cas les plus flagrants) car il fait très mal la distinction entre

• la dette auprès de créanciers souverains (états, banque mondiale...)
• celle contractée sur le marché des capitaux (fonds, banques...).

Quand on parle d'annulation de la dette, ils s'agit surtout de la première. Pour la seconde, lorsque le pays devient insolvable, il y a peu de recours de la part des créanciers privés, d'où un "marché gris" où ces créances se revendent avec une forte décote (on pourrait de ce fait dire un mot sur la notation financière et la prime de risque sur les taux d'emprunts). A noter aussi l'aléa moral qu'entraîne l'annulation de créances souveraines qui d'une part facilite pour les créanciers privés l'exibililité de la leur, et d'autre part crée de nouvelles latitudes d'emprunt pour les pays exonérés qui tendent à s'endetter à nouveau. Tout cela devrait figurer dans l'article qui passe à côté de ces phénomènes de "vases communiquants". Difficile a trouver la bonne place de ces points dans l'article, dont le plan est assez chaotique, mais cela devrait se situer dans, ou près de, l'introduction. Ah, on pourrait aussi expliquer la dérive financière de l'Argentine autrement que par l'intervention du FMI. ce pays est un ancien pays riche qui a connu près d'un siècle de déclin économique et de populisme politique. D'ailleurs il est en cours de rachat par Hugo Chavez, qui a refinancé une parti de ces créances, une quasi OPA sur ce pays (il est en train de faire subir le même sort à la Bolivie). Entre nous, par ailleurs, l'exemple argentin est à méditer pour la France, mais bon l'article sur le déclin français et son entrée dans le tiers monde reste à faire. ;-). --Pgreenfinch 7 juin 2006 à 15:18 (CEST)

Bonjour, quelques remarques : - "dette insolvable" ??? N'y aurait-il pas un problème de traduction ? D'où provient ce concept ? - problème sur le rôle de FMI et de la BM "dans les premières décennies qui suivent la décolonisation" : à l'époque, ces organismes prêtent peu aux PED, mais plutôt aux pays industrialisés. Ce n'est qu'après les 70's, avec la fin du SMI de Bretton Woods, que ces institutions réorientent progressivement leur action vers les PED, trouvant ainsi une nouvelle utilité et une nouvelle légitimité. - le plan de l'article est pour le moins chaotique... Bon courage !