Utilisateur:De Villeroché

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ébauche: L’inventeur des appareils d’aide à la navigation automobile, appelés « GPS », est un français

Gérard A. de VILLEROCHE, l’Inventeur mondial des appareils de navigation automobiles, dits GPS, est très actif au sein d’associations d’inventeurs : Vice Président Fondateur de l’Association des Inventeurs de Paris(AIP) ; Membre du Conseil d’Administration de la Fédération Nationales des Associations d’inventeurs Français (FNAFI) ;Vice Président de l ‘ Association Européenne des Inventeurs (AEI) ; Membre du Comité Directeur de l ‘ Association Mondiale des Inventeurs (IFIA).

L’idée de départ date de 1982 Les appareils de navigation automobile appelés « GPS » sont une invention conçue dès le départ pour le guidage de tous les véhicules du monde. L’idée née en 1982 conduit l’inventeur à travailler avec l’ENSEM de Nancy et la Faculté d’Informatique de Metz pour fabriquer des prototypes du GUIDE INTELLIGENT (ou SMART GUIDE), qui reçoivent une aide de l’Anvar et bénéficient plus tard d’une aide remboursable. Il travaillera aussi avec l’ENST de Marne la Vallée et avec l’INT d’Evry. L’invention obtient la Médaille d’or au Salon International de Genève et au Salon International Brussels Eureka. Les brevets ont été obtenus dans quatorze pays : France, Allemagne, Belgique, Italie, Suède, Suisse, Lichtenstein, Luxembourg, Danemark, Pays-Bas, Norvège, et aussi aux Etats-Unis, Canada, Japon.La société GUIDETRONIC a été créée en 1989 pour fabriquer l’invention et plus tard pour commercialiser les brevets.

Technique : La première génération est basée sur une électronique de type PC). Ils sont intégrés en 1ère monte, dans les véhicules neufs, et installés par les constructeurs. Leurs données cartographiques sont lues sur un CD ROM ou un DVD ROM. En 2ème monte, ils sont commercialisés dans des circuits de distribution, et montés par l’utilisateur. La deuxième génération est basée sur une électronique de type PDA, TOM TOM, GARMIN, NAVMAN, VIA MICHELIN, MEDION, DANEW, MIO, ACER, NAVIGON, etc.) Ils sont commercialisés dans les circuits de distribution. La cartographie est lue dans des mémoires SD ou sur des disques durs. Ils sont montés par l’utilisateur le plus souvent avec une ventouse ce que l’inventeur critique très fort, car il a déposé un brevet sur un autre système de fixation universelle, dont il pressent aussi le succès mondial. La troisième génération est représentée par les mobiles GPRS, EDGE, 3G, HSDPA, etc. par de nombreuses marques : NOKIA, RIM, MOTOROLA, HTC, QTEK, SAMSUNG, etc. Ils lisent leur cartographie sur des mémoires fixes et de serveurs pour la mise à jour des données. GUIDETRONIC a déposé un Brevet en Europe en 1998, l’a obtenu, puis les brevets correspondants aux États-Unis, en Corée et en Chine. Le concept suivra l’évolution des normes 3G, DVBH, etc. Gérard de VILLEROCHE définit cette nouvelleinvention comme « un appareil de navigation de la troisième génération pour toutes les générations ». Qui le fabriquera mondialement ? Il se retrouve en 2007 dans la position de l’inventeur refusé dès 1984, malgré l’essor exceptionnel des appareils de navigation dont il est à l’origine mondialement.

Tentatives de fabrication de GUIDETRONIC en 1989-1996 L’inventeur a trop d’avance. Un programme Européen est contrefaisant :CARMINAT d’EUREKA avec PHILIPS, RENAULT SAGEM et TDF1.Gérard de VILLEROCHE n’est ni suivi par les banquiers et capitaux à risque, ni par les grands groupes pour fabriquer l’appareil, malgré des efforts constamment renouvelés de 1984 à 1996. Les grandes sociétés refusent de suivre : SAGEM, JAEGER, NEIMAN, THOMSON CSF, etc. après une demande de 12 millions de francs rejetée au Ministère de l’Industrie et au Ministère des Transports. Le tissu industriel des PME est aussi chloroformé par le programme CARMINAT. GUIDETRONIC expose ses prototypes à Paris, Berlin, Turin, Orlando, Kuala Lumpur, Séoul, et participe 1O fois aux salons du MONDIAL DE L’AUTOMOBILE et à EQUIP’AUTO à Paris, et aussi à Brest, Toulouse, Nancy.

Les grandes firmes entrent dans le marché en 1994, PHILIPS est leader, BOSCH BLAUPUNKT, licencié d’Etak (US) et MAGNETI MARELLI (Fiat), puis les marques japonaises arrivent sur le marché. L’inventeur change de stratégie et décide de concéder des licences mondiales non exclusives. Premier licencié: PHILIPS. L’inventeur devient le père du programme Européen CARMINAT. De fait, en raison de la présence de CARMINAT, aucune industrie française de la première génération ne voit lejour, et l’inventeur subit un manque à gagner pour plusieurs grand fabricants européens du fait des contrefaçons présumées.

Les premiers développements techniques Les prototypes de GUIDETRONIC démontrent des performances inégalées dans toutes les expositions, et par comparaison de fonctionnement avec des marques concurrentes sur le même tableau de bord. Il intègre la cartographie dans des mémoires fixes alors que tous les constructeurs de la première génération utilisent des CD-ROMs, très lents. Les appareils de la deuxième génération (TOM-TOM, GARMIN, VIA MICHELIN, etc.) utilisent aujourd’hui des mêmes mémoires fixes (SD). Il utilise le tachymètre alors que PHILIPS, BOSCH et RENAULT travaillent sur des différentiels de roues. Il se sert d'un gyromètre Japonais et a même essayé un gyromètre à gaz. Son « map matching » est très performant, que l’appareil soit interfacé ou non au récepteur de GPS qu’il a adopté de la marque Trimble, très connue. Le Guide Intelligent est aussi en avance sur bien d’autres caractéristiques. Il utilise un gyromètre quand les grands constructeurs utilisent un compas. SAGEM et SONY échouent avec des appareils aux cartographies scannées au lieu d’être vectorisées. GENERAL MOTORS échoue avec un matériel donnant une direction à vol d’oiseau. Insuffisante. Tous les matériels des constructeurs se servent au départ d’une télécommande pour renseigner l’écran, alors que le Guide Intelligent utilise un simple joystick.

Une lutte juridique sans merci contre la contrefaçon Modèle:Modèle ou page à inclure L'inventeur a mené une lutte titanesque pour défendre ses droits de brevets contre les grands groupes. Il lui a fallu de 1984 à 1996 ( 12 ans) pour tenter d'industrialiser, puis il a renoncé à sa volonté industrielle pour lui substituer une stratégie de licences mondiales de 1996 à 2007 (11ans). 23 marques de constructeurs automobiles ou de fabricants d'appareils de navigation ont été licenciées directement ou indirectement au prix de 10 actions en justice et demie, gagnées. Son brevet a été confirmé par la justice française et par la justice allemande. Son action contre Toyota a été à moitié gagnée, cette société ayant prétendu que la cartographie de la France était fabriquée au Japon or les cartographies sont d’origine Navteq : elle sont constituées de données relevées sur le terrain en Europe. L'inventeur a effectué 12 missions au Japon pour rencontrer 15 constructeurs Japonais, présumés contrefacteurs, tels que NISSAN, HONDA, CLARION, PIONEER, MATSUSHITA, SONY, DENSO, FUJITSU TEN, CASIO, etc., avec son avocat parisien de propriété industrielle, ayant un avocat japonais sur place. En vain, soit donc aucune signature Japonaise en 2 ans et demi, malgré plus d'une centaine de réunions de négociation. Il est aussi présumé contrefait aux USA à 100 %, malgré de très nombreux échanges avec GM, FORD, CHRYSLER,, mais auusi plus récemment avec TOM TOM, GARMIN, MAGELLAN, fabricants américains lui doivent des revenons redevances sur le passer, antérieurs à juillet 2007 date à laquelle le brevet USA est tombé dans le domaine public Le monde est ainsi fait, que les intérêts moraux et matériels des inventeurs ne sont pas protégés, et naturellement ceux-ci ont des limites financières bien inférieures aux moyens puissants des groupes. Beaucoup de sociétés ne répondent même pas aux lettres recommandées ou élues de le sujet de l'utilisation du brevet avec des arguments extrêmement légers afin que l'inventeur se désiste de sa prétention. La prudence veut que ne soient cités ici aucuns noms, car l'inventeur serait immédiatement attaqué pour dénigrement : l'inventeur du Guide Intelligent s'est même vu reprocher en justice par SIEMENS, le fait de lui avoir demandé de signer une licence, les juges allemands ayant interprété le fait comme une violation. Cela ne l'a pas empêché de gagner les procès faits par SIEMENS ou MANNESMANN à son encontre ou lui-même contre ce constructeur, ou pour comparer les attitudes de TOM TOM, de GARMIN ou de MAGELLAN, non signataires à la signature d’une licence mondiale a été des plus simples avec VIA MICHELIN.