Discussion Utilisateur:David Berardan/amnistia

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Transféré depuis ta page utilisateur ( K!roman | ☺‼♫♥☻ 12 décembre 2005 à 20:40 (CET) )

A propos des modifications de l'article Amnistia.net: Cher Monsieur, puisque on ne trouve pas une adresse mail pour vous contacter, nous sommes obligés de faire figurer ce message sur votre page personnelle. La version de l'article que vous avez réétabli contient des propos diffamatoires inacceptables. Nous vous rappelons que la loi réprime la diffamation. C'est pourquoi nous rétablissons une version "correcte" de cet article qui nous concerne. Si vous avez quelque chose à redire, nous vous prions de nous contacter directement: redaction@amnistia.net.

Cher monsieur,Ce ne sont pas des menaces de procès : vous prenez la responsabilité, à plusieurs reprises, d'accuser publiquement des gens de "complicité d'assassinat" et cela sans aucun fondement. Ou vous apportez les preuves de ce que vous avancez, ce qui est impossible étant donné que c'est de la plus pure invention, de la multiplication de rumeurs, ou vous faites figurer sur vos articles les éléments que vous êtes en mesure de contrôler scientifiquement. Vous pouvez avoir un avis sur la ligne éditoriale de amnistia.net, sur les personnalités de ses animateurs. Mais rien ne vous autorise à réitérer des accusations gravement diffamatoires. La charte de wikipedia ne vous autorise pas à ce genre de dérives, et si vous persistez dans votre volonté de nuire, il faut vous attendre à devoir en justifier. La réputation de ce projet d'encyclopédie nécessite que ses initiateurs ne se laissent pas aller à la facilité du colportage.

Cher monsieur, Je ne connais pas le fonctionnement de votre site et j'ai autre chose à faire que de consacrer du temps à passer par tous les protocoles. Je constate simplement que vous prenez la responsabilité de rétablir des informations d'une gravité exceptionnelle : accuser sans preuve quelqu'un de complicité d'assassinat est une agression d'une extrême violence, pouvez-vous le comprendre ? En rétablissant ces informations, vous vous en faîtes l'auteur et vous vous exposez à devoir en justifier. Ce n'est pas vous qui êtes agressé, mais ceux que vous dites ne pas connaître et que vous vous permettez de traîner dans la boue. Je comprend néanmoins la situation : cela ne semble pas porter à conséquence de taper quelques mots sur un clavier. Mais oseriez-vous, face à moi, en me regardant dans les yeux, me traiter de "complice d'assassinat" et de terroriste ? Je ne le pense pas. Cordialement

lien en rapport

Cher monsieur, Vous placez un lien en rapport pour conforter vos dires. Vous devez ignorer qu'à la direction de Valeurs Actuelles se trouve un ex-militant de l'extrême-droite la plus radicale, collaborateur de Alain de Benoist. Je place en copié-collé l'information complète sur votre "source" :


Un ancien dirigeant de l’extrême droite représente la presse française Pascal Dillane février 2005 Première publication le dimanche 19 décembre 2004

François d’Orcival, président du comité éditorial du groupe Valmonde (Valeurs actuelles, Le Spectacle du monde, propriétés de Dassault) a été élu le 15 décembre 2004 président de la Fédération Nationale de la Presse Française (FNPF), organisation patronale de la presse.

François d’Orcival a été l’un des principaux dirigeants de la mouvance nationaliste-européenne de l’extrême droite française. Il a été l’un des animateurs de Jeune Nation, groupe violent dissous par le gouvernement en 1958 après un attentat à la bombe à l’Assemblée nationale, mais qui poursuivra ses activités avec pour objectif de renverser la Ve République. En 1960, D’Orcival est l’un des fondateurs de la Fédération des étudiants nationalistes (FEN) - qui s’oppose à l’UNEF et soutient les défenseurs de l’Algérie française -, dont il va s’" imposer comme le leader incontesté ", " le chef historique et emblématique " [1]. A la fin de la guerre d’Algérie, des militants de la FEN participent aux attentats de l’OAS, et au début de l’année 1962, après une " nuit bleue ", D’Orcival fait partie des militants embarqués par la police, et internés au camp de Saint-Maurice-l’Ardoise (Gard), où il reste quatre semaines. C’est en dirigeant le journal de la FEN, Les Cahiers universitaires, que François D’Orcival " fait l’apprentissage de son futur métier " [2]. " Il entretient des contacts étroits avec Spectacle du monde, une revue où il fera ses débuts dans la grande presse, en 1966, éditée par Raymond Bourgine, fils d’un ancien gouverneur des colonies, chaud partisan de l’Algérie française. " Bourgine soutient financièrement la FEN, et en retour les étudiants nationalistes sont chargés de placer des abonnements à Spectacle du monde...

D’Orcival est aussi à cette époque l’un des principaux collaborateurs de la revue Défense de l’Occident [3] et de la revue Europe Action (1963-66), animée par Dominique Venner et Alain de Benoist [4]. Aux éditions Saint-Just, créées en 1962 par Dominique Venner, il cosigne avec Alain de Benoist (alias Fabrice Laroche) deux livres, sur la Rhodésie de Ian Smith, et sur l’OAS : Le courage est leur patrie... Début 1964, la direction de la FEN exclut plusieurs militants (Alain Madelin, Alain Robert, Gérard Longuet, François Duprat...), qui contestent la ligne " nationaliste européenne " impulsée par D’Orcival, Venner et de Benoist. Les exclus fonderont le mouvement Occident.

François d’Orcival participe en 1966 à la création du Mouvement nationaliste de progrès (MNP), qui présente quelques candidats aux élections législatives de 1967 sous l’étiquette du Rassemblement européen de la liberté (REL). Il fait ensuite partie des fondateurs de la revue Nouvelle école et du Groupement de recherche et d’études pour la civilisation européenne (GRECE, fondé officiellement en janvier 1969) [5]. Dans les années 1970, le GRECE investit la presse de droite, d’abord, dès 1970, le groupe de Raymond Bourgine (Valeurs actuelles, Le Spectacle du monde), qui avait déjà accueilli D’Orcival en 1966, puis Le Figaro-Magazine, sous l’égide de Louis Pauwels, en 1977-78. Rédacteur en chef de Valeurs actuelles, François d’Orcival aurait rompu avec le GRECE en 1976 [6].


Cher monsieur,Il est hors de qiuestion de discuter avec les gens d'extrème-droite qui ont modifié l'article concernant amnistia.Il est évident que cela a été ensuite relayé sans vérification et que le fait d'être présent sur le site donnait aux infos dioffamatoires une apparence de réalité.C'est le danger du système wkpd, et il est nécessaire de pratiquer avec beaucoup plus de prudence. Cordialement