Coe-Rexecode

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Le Centre d'Observation Économique et de Recherches pour l'Expansion de l'Économie et le Développement des Entreprises, en abrégé Coe-Rexecode, et généralement appelé Rexecode, se présente comme le premier centre privé français de recherche en économie[1].

L'actuel directeur est Michel Didier, également membre du Conseil d'analyse économique depuis 1997.

Sommaire

[modifier] Présentation

Coe-Rexecode est issu du rapprochement en 2006 entre l’association Rexecode, et des équipes du COE de la Chambre de commerce et d'industrie de Paris (CCIP).

C’est un des rares centres français de prévisions macroéconomiques indépendants des pouvoirs publics.

Très proche de la CCIP, il fournit à ses entreprises adhérentes, une veille conjoncturelle, des analyses sectorielles ou régionales, des bases de données statistiques... Il se présente lui même comme « le "service d'étude économique intégré" de chacune des quatre-vingt entreprises industrielles, banques et grandes institutions adhérentes.»[2]

Il intervient également dans les débats publics à dimension économique notamment en participant à de nombreuses instances consultatives[3].

Rexecode a, par exemple, fourni une évaluation des programmes économiques des principaux candidats à l'Élection présidentielle française de 2007[4], qui a donné lieu à une petite polémique[5], [6].

Certains le considèrent comme proche des organisations patronales françaises[7], [8], [9],[10].

[modifier] Notes et références de l'article

  1. Site Rexecode [1]
  2. Site Rexecode [2]
  3. Conseil d'Analyse Economique, Commissions des Assemblées Parlementaires, Conseil Economique et Social
  4. Les Échos, 16/03/07, Présidentielle 2007 : l'étude Rexecode sur l'impact économique des mesures des candidats concernant le travail [3]
  5. Libération 4/05/07 Rexecode : libre mais proche du Medef [4]
  6. (fr) lecture critique du rapport Rexecode, site orienté politiquement à gauche.
  7. 20 Minutes, 3/05/2007, « Parfaitement indépendant » ou « proche du Medef »
  8. La Croix, 30/01/05, Les 35 heures passent à la flexibilité[5]
  9. L'Humanité, 15/10/04 [6]
  10. La Tribune 09/05/07 coût du travail Le casse-tête des charges sociales [7]

[modifier] Voir aussi

[modifier] Articles connexes

[modifier] Liens et documents externes